Notes

[NI00004] A son baptême le parrain était Lucien Laverdure et la marraine, Claire Lamothe.

[NI00005] Alectance était un mécanicien de machinerie fixe. Il a réussi à s'enroler dans l'aviation, lors de la deuxième guerre. On dit qu'il était cantonné à l'ile du Prince Edouard. Il aurait été engagé ainsi jusqu'en 1950-51. Il aurait eu le grade de sergent.

Il a travaillé chez Booth (E. B. Eddy) et aussi sur les trains de chemin de fer. Ensuite il fut à l'emploi de la C.I.P. (Canadian International Paper) à Gatineau, en tant que (stationary engineer) ingénieur de machinerie fixe, pendant 20 ans.

Il était Chevalier de Colomb.

Détails de son certificat d'inhumation: Alectance dit Alexandre Scott, époux de Fleur-Ange Fortin, décédé à 60 ans et 4 mois. Il a été inhumé au cimetière de Notre-Dame de Grâce le 8 février 1954, dans le lot numéro 2208, section H. Ont signé, Ernest Martel et Rodolphe Tourigny, prêtre. Au moment de son décès, à l'hôpital Général d'Ottawa, Alectance demeurait au 115 1/2 boulevard St-Laurent. Entrepreneur de pompes funèbres; Gauthier.

Dans son missel il y est signé: Mr Alex Scott, No 315 Notre-Dame, Hull, P.Q.

Plusieurs documents montrent Alexandre au lieu d'Alectance.

Au cimetière Notre-Dame de Hull, sont inhumés dans le même lot: Alectance, Fleur-Ange, Fernand, Gérald, Fleurette, Bernard, François (fils de Raymond) et René Fortin (frère de Fleur-Ange).

Le parrain d'Alectance était Jos (Joseph) Pilon, qui possédait la compagnie Pilon Lumber, marié à la soeur de Mélina Lanctôt, Lumina Lacoste (Lanctôt).

[NI00006] Elle s'appelait Marie-Célina Fleur-Ange Fortin.

[NI00007] On dit aussi qu'il serait né à Aberdeen ou à Edinburgh, en Ecosse.

William est décédé le jeudi 9 mai 1918, à 69 ans. Il habitait alors au 97 de la rue Charlevoix, à Hull, dans la paroisse du Très St-Rédempteur. Il fut inhumé dans le cimetière Notre-Dame de Grâce, le samedi 11 mai à 8 heures 15 minutes, dans le lot numéro 5.

Il est à noter que les archives des registres de l'église Notre-Dame de Grâce, à Hull, pour la période entre 1871 et 1886, ont été incendiées. En ce qui concerne les archives du district judiciaire de Hull, elles ont été perdues dans un incendie, pour la période entre 1815 et 1900. De là la difficulté de trouver des renseignements sur William et sa famille à cette époque.

Sur le certificat de baptême de Marie Louise Delphina, il est inscrit que William est journalier.

A noter que sur un registre la date d'inhumation est le 11 avril et sur un autre la date du décès est le 9 avril...

[NI00008] Mélina portait aussi le nom de Lacoste dit Lanctôt (qui provient de Lacoste dit Languedoc).

ELLE FUT BAPTISÉE SOUS LE NOM DE EMÉLINA LACOSTE.

Son parrain était Joseph Lacoste et sa marraine, Julie Demers.

Dans la rubrique nécrologique on l'appela Mélina Lacoste dit Lanctôt. Après son décès, à l'Hospice St-Charles d'Ottawa, le mercredi 26 février 1930, à l'âge de 74 ans, elle fut exposée dans la maison familiale d'Alectance au 315 de la rue Notre-Dame, à Hull. Elle fut inhumée au cimetière de Notre-Dame de Grâce, dans le lot numéro 5.

[NI00014] Daniel était un musicien.

Il était décédé, selon les registres, en 1946.

Au registre de l'église Notre-Dame il est incrit sous le prénom de DONALD (qui ressemble à Daniel prononcé à l'anglaise), lors de son mariage avec Rosanna qui est inscrite sous le nom de OCTAVIE. Au mariage de son fils Roland il est inscrit dans le registre sous le prénom de DAVID.

[NI00015] Il était le plus vieux des enfants de William. Il était garagiste.

Nelson a été confirmé le 1er juin 1896, à l'âge de 11 ans, à l'église Notre-Dame de Grâce, à Hull. Son père, William était présent, ainsi que sa mère, Mélina Lanctôt. Le parrain était son oncle, le frère de sa mère, Norbert Lanctôt.

Nelson et Exilia ont perdu 7 enfants en l'espace de 10 ans; Alice (septembre 1909), Laurette (juin 1913), Rollande, deux semaines plus tard (juillet 1913), Rodolphe (février 1915) et Roger, à l'âge de 22 mois (septembre 1917 - lot # 5), Réginald (novembre 1918 - lot # 5) et Georgette (mai 1919 - lot # 5).

La famille a demeuré au 121 rue Champlain, à Hull.

[NI00016] Roland était sourd et muet. Bon vivant, il était cordonnier.

[NI00017] Fernand était aviateur. Cet emploi est inscrit après son nom sur le registre de son mariage. Il s'est d'ailleurs marié pendant le deuxième guerre mondiale, en 1942.

A son décès, Fernand demeurait au 129 rue Fontaine à Hull.

[NI00018] Membre des Chevaliers de Colomb, division de Aylmer et membre de la Légion Canadienne de Aylmer.

Il s'était enrollé dans la marine, lors de la deuxième guerre mondiale.

Maison funéraire Serge Legault, 81, boul. St-Laurent, Hull. Pas de visites au salon. Service religieux à l'église St-Médard de Deschênes.

[NI00019] Au moment de son décès, Gérald demeurait au 288 Cité des Jeunes, Hull.

Le salon était la Maison funéraire Serge Legault, au 81 boul. St-Laurent. Service à l'église St-Pierre-Chanel.

Il n`y a pas eu de visites à la Maison funéraire.

[NI00024] La marraine de Raymond est Dora (Laura) Cabana.

[NI00027] Alvine Laflamme a épousé, en seconde noce, Charles Boutet, fils de Michel Boutet et Hermine Giguère, lui-même veuf de Marie-Louise Savard, le 3 juillet 1943, à St-Gérard de Magella. Ce mariage eut lieu en même temps que le mariage de Armand Rousseau, son fils, avec Lucienne Boutet.

[NI00034] Pierre était menuisier.

[NI00042] Il demeurait, en 1908, sur la rue Alma (aujourd'hui) Notre-Dame, à Hull.

Il était journalier dans une scierie, selon le recensement de 1891. A ce moment là il déclare Marie Guénette, sa soeur de 11 ans, travaillant chez lui en tant que servante. Ils n'ont qu'un enfant, au recensement de 1891, une fille de 10 mois prénommée Bertha.

[NI00043] Elle s'appelait aussi Marie Saumur et prénommée aussi Mélina.

[NI00044] Dans un registre il est inscrit sous le prénom d'Alexandre.

Marcel demeurait sur la rue Laurier, à Hull, en 1908.

Il était journalier selon le recensement de 1891.

Il était fils unique. Il mesurait plus de 6 pieds.

Marcel signait tous les actes de sépultures de la paroisse Notre-Dame-de-Grâce, car il était fossoyeur. Il employait le nom Guénet et non Guénette. Il était fossoyeur. Il a bâti la maison qui est aujourd'hui le bureau du cimetière Notre-Dame de Grâce. Il l'a plus tard vendu.

[NI00045] Elle s'appelait aussi Dina Beauchamp.

Célina est décédée à l'âge de 39 ans.

[NI00048] Son nom s'écrivait aussi Gareault.

[NI00049] Elle s'appelait aussi Axilie.

[NI00051] Elle écrivait son nom aussi Daoust.

[NI00056] Etienne Guénet écrivait aussi son nom Guénette.

[NI00059] Son nom s'écrivait aussi ainsi Le Roux.

[NI00060] A noter que le nom des personnes de cette famille est Guenet et ne porte pas d'accent sur le "e".

Le 19 avril 1758, devant le notaire J. Fortier, inventaire et partage des biens entre Marie-Anne Maheu, veuve de Thomas Guenet, de la seigneurie de Beaumont, paroisse St-Charles, et Thomas Guenet, Joseph Guenet, Jean-Baptiste Lafontaine et Angélique Guenet, son épouse, Elisabeth Guenet, Marianne Guenet et Etienne Blaise, son époux. Rose Guenet, Geneviève Guenet, en l'absence de Pierre Guenet, Dalmasse et Marie-Josèphe Guenet, son épouse, Charles Chenue et Françoise Guenet, son épouse, et Larose et Marguerite Guenet, son épouse.

Doc. # 17580419PA003661 de la Chambre des notaires du Québec.

[NI00062] dit Sansoucy.

ANCÊTRE DE LOUIS FRÉCHETTE.

Au recensement de 1666 la famille habite l'île d'Orléans. Dans le registre son nom est écrit ainsi: Roulleaux. A noter que Guillaume et Anne sont jumeaux.

[NI00063] dite Maranda.

Elle écrivait aussi son nom; Vieillot.

Catherine était une "fille du roi".

Son mariage avec Pierre est son deuxième. Elle convola en premières noces avec Jacques Dubois, le 18 octobre 1667, à Québec. Elle eut un fils au nom de François Dubois.

[NI00064] Le nom Guenette ou Guénette est dérivé du nom Guène qui est d'origine germanique; wans, attente, espérance.

[NI00065] Son nom s'écrivait aussi St-Lô.

[NI00066] Il écrivait aussi son nom ainsi Gareau.

[NI00067] Julienne écrivait aussi son nom ainsi: Gastonguay.

[NI00068] Il écrivait son nom aussi son nom ainsi Garault.

[NI00069] Elle portait aussi le nom de Héneault.

[NI00070] Il écrivait aussi son nom ainsi Garo.

René émigra en Nouvelle-France vers 1755. Il était un soldat du régiment De Carigan, compagnie De Lignery.

Le 28 juillet 1761, devant le notaire T. Vuatier, René a acheté une terre, avec son épouse Marianne Rivière (de Quinchien), en la seignerie de l'Ile Pereau, de Joseph Emon, habitant et Marie Coquillard, son épouse, de l'Ile Pereau. Doc. # 17610728PA025989 de la Chambre des Notaires du Québec.

Le 1er avril 1763, devant le notaire T. Vuatier, vente d'une terre située en la seigneurie de l'Ile Pereau, par René Garo, habitant et Marianne Rivière, son épouse, de l'Ile Pereau, à Joseph Poirié dit Déloge, habitant, de l'Ile Pereau.
Doc. # 17630401PA026085.

[NI00071] Marie-Anne Larivière s'appelait aussi Marianne Rivière.

[NI00081] Alexandre demeurait sur la rue Wellington, en 1892 et en 1908, selon deux registres de la paroisse Notre-Dame.

Il était mineur au moment du mariage.

[NI00082] Dans les registres il est indiqué: Née de parents inconnus...

Cependant, dans un registre on a retrouvé Hector Lamoureux qui serait son père, probablement adoptif...

Elle était mineure au moment du mariage.

[NI00083] dit Barrois.

[NI00084] Dans les registres on voit aussi son prénom écrit ainsi: Eilia.

Au moment de son décès elle demeurait au 41 de la rue Dollard, à Hull. Elle est décédée à l'hôpital Général d'Ottawa. Maison funéraire Gauthier.

[NI00085] Aussi Rosanna Cyr. Son service funèbre fut célébré en l'église du Très St-Rédempteur, à Hull, Québec. Elle est inhumée au cimetière Notre-Dame de Grâce, à Hull.

Selon une chronique nécrologique, elle est décédée le 30 décembre 1969, à l'âge de 79 ans.

Au moment du décès, Rose-Anna demeurait sur la rue Garneau, à Hull.

Au registre de l'église Notre-Dame elle est inscrite sous le prénom de OCTAVIE lors de son mariage avec Daniel inscrit sous le prénom de DONALD.

[NI00088] 12 Mai 1717

Adhémar dit Saint-Martin, J.-B. (1714-1754)

(Mtl) Obligation de Madeleine Cezard, épouse actuelle de Pierre Cardinal, son époux, présentement dans les Pays d'en Haut en l'île de Montréal, à François-Marie Bouat, conseiller du Roi et son lieutenant général au siège de la juridiction royale, de Montréal.

Doc #: 17170512PA012202

[NI00099] Emile alias Olivier.

[NI00115] La Maison funéraire Serge Legault, 81, boul. St-Laurent, Hull.

[NI00117] Au moment de son décès elle demeurait au 147 de la rue Fleet (paroisse St-Jean Baptiste?) à Ottawa. Elle est décédée à l'hôpital Général d'Ottawa.

[NI00118] Ses parrain et marraine sont Elie Scott et Appoline Lanctôt. Baptisé à Notre-Dame de Hull.

[NI00120] Norbert est le parrain de Nelson Scott, lors de sa confirmation le 1er juin 1896, à l'église Notre-Dame de Hull.

Son parrain a lui était Arcade Marcotte et sa marraine, Cordélia Lacoste (une institutrice).

[NI00133] Il a été inhumé dans le cimetière Notre-Dame de Hull, lolt 2208, section H, avec son grand-père Alectance et sa grand-mère Fleur-Ange.

[NI00146] André est décédé dans la jeune quarantaine.

[NI00156] Ils ont eu 11 enfants.

[NI00157] Ils ont eu 10 enfants.

[NI00162] Marraine à Lise Guénette, épouse de Lucien Scott.

[NI00181] Jumelle de Marie Florida, baptisées toutes les deux le 8 mai 1898.

[NI00182] René Fortin est inhumé dans le lot d'Alectance, de Fleur-Ange, de Gérald, Fernand, Bernard, Fleurette ainsi que François Scott, au cimetière Notre-Dame de Hull. Lot numéro 2208, section H.

[NI00188] En 1908 il demeurait sur la rue Laurier, selon un registre de la paroisse Notre-Dame de Hull. Il appert qu'il aurait adopté Délima.

[NI00189] Ovila demeurait, en 1908, sur la rue Laurier, à Hull.

Parrain de mon grand-père Ernest Guénette.

[NI00215] Le nom Laperrière est aussi connu sous le nom de "Ouvrard".

[NI00217] Joseph était veuf de sa première épouse Thérèse Proulx (ou Proux).
Il écrivait aussi son nom ainsi: Roussaux.

[NI00243] Madeleine Daigle, veuve de France Rousseau, a épousé en seconde noce, François Hamel, le 29 décembre 1920, qui lui, était veuf de Lumina Barbeau. A St-Gérard de Magella.

[NI00259] De la paroisse St-Roch, à Québec.

[NI00306] Desneiges était religieuse. Elle s'appelait Soeur Marie Aloyisia.

[NI00310] Elle portait aussi le nom de Leblanc.

[NI00312] dite Lavallée.

Son nom s'écrit ainsi: Elisabeth Isabelle Marie Pasquier Vallée.

[NI00313] N'a vécu qu'une dizaine d'années.

[NI00315] Né à Beaumont, Québec.

[NI00316] Né à Beaumont, Québec.

[NI00317] Née à Beaumont, Québec.

[NI00318] Né à St-Laurent, Ile d'Orléans, Québec, Canada.

[NI00319] Né à La Durantaye, Québec.

[NI00320] Née à La Durantaye, Québec.

[NI00321] Née à La Durantaye.

[NI00325] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Meheu.

Il est seigneur du fief de la Rivière-Maheu.

Il n'hésite pas à faire prostituer son épouse. La vie libertine en Nouvelle-France au dix-septième siècle. Robert-Lionel Séguin. Léméac. Page 78.

[NI00326] Marguerite était une "fille du roi".

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[NI00327] Jean-Louis est un Cardinal.

[NI00335] Il écrivait aussi son nom ainsi: Hunaut et Héneau dit Déchamp.

A noter que Drouin établissait la date du mariage au 7 février 1763.

Vente de droits successsifs mobiliers et immobiliers situés en la seigneurie de l'Ile Pereau; par Pierre Leduc, habitant et Marie-Josèphe Lalonde, son épouse, de l'Ile Pereau, et Antoine Lalonde, habitant, de l'Ile Pereau, à Augustin Déchamp. habitant, de l'Ile Pereau, leur frère et beau-frère. Devant le notaire T. Vuatier, le 10 avril 1763. Doc. #: 17630410PA026087.

[NI00345] Elle se prénommait aussi Marie.

Au moment de son décès, à l'hôpital St-Vincent, elle demeurait au 270 St-Rédempteur, à Hull. Maison funéraire Beauchamps.

[NI00348] Décédé avant 1699 à Mont-Louis, Québec.

[NI00350] Né à Beaumont, Québec.

[NI00351] Né à Beaumont, Québec.

[NI00353] Né à St-Laurent, Ile d'Orléans, Québec.

[NI00354] Né à La Durantaye, Québec.

[NI00355] Née à La Durantaye, Québec.

[NI00356] Née à La Durantaye, Québec.

[NI00357] Née a Beaumont, n'a vécue que douze jours.Née à Beaumont. N'a vécue que douze (12) jours.

[NI00358] Héneau dit Déchamp.

Il habitait la paroisse Darpentini.

Vente d'une terre située en la côte de Quinchien, seigneurie de Veaudreuil, par Jean-Baptiste Heneau dit Déchamp, habitant, et Félicité D'Aoust, son épouse, de l'Ile Pereau, à Joseph D'arpentignié, garçon voyageur de l'Ile Pereau, le 5 août 1764, devant le notraire T. Vuatier. Doc. #: 17640805PA026130.

[NI00359] En 1752 elle était décédée.

[NI00361] Héneau dit Deschamps.

[NI00362] Vente d'une terre située en la seigneurie de l'Ile Perot; par François Bourbonnet et Marie Deschamps, son épouse, de l'Ile Perot, à François Lalonde et Marie-Madeleine Héneau dit Dechamps, son épouse, de l'Ile Perot, fils de François Lalonde. Devant le notaire T. Vuatier, le 21 mars 1753.

[NI00363] De la paroisse de Ste-Anne de l'Ile Perrot.

[NI00370] Contrat rédigé devant le notaire T. Vuatier, le 19 avril 1752.

[NI00371] Habitant la rivière L'Assomption.

[NI00376] Habitant de la côte de Lauson.

[NI00385] 18 Avril 1757 (Mtl)

Vuatier, T. (1751-1785)

Observation: Acte sans intitulé.

Contrat de mariage entre Joseph Lalonde, fils de François Lalonde, habitant, de l'île Pereau; et Marie-Angélique Braie, fille de Etienne Bray et de Barbe Dazé, de Soulange.

Doc #: 17570418PA025830



Vente d'une terre située à Kinchien, seigneurie de Veaudreuil; par Joseph Lalonde, habitant et Marie-Angélique Brai, son épouse, de l'Ile Pereau, à Etienne Bray, habitant et Marianne Lalonde, son épouse, de Soulange, leur frères, beau-frère et belle-soeur. Devant le notaire T. Vuatier, le 18 novembre 1757.
Doc. #: 17571118PA025849.

[NI00387] dit Major.

[NI00389] Son nom a aussi été écrit ainsi: Braie.

3 Janvier 1755 (Mtl)

Vuatier, T. (1751-1785)

Observation: Acte sans intitulé.

Contrat de mariage entre Dominique Braie, fils de Etienne Bré et de Barbe Dazé, de Soulange; et Marie-Catherine Lalonde, fille de Guillaume Lalonde, major de milice et de Angélique Bourbonnet, de l'île Pérot.

Doc #: 17550103PA025771

[NI00391] Habitant de l'Ile Pérot.

Il était Major de milice.

[NI00392] dit Bourbonnet.

[NI00393] A noter que son nom apparaît aussi ainsi: Charles Braie et Bré.

[NI00394] 28 Décembre 1753 (Mtl)

Vuatier, T. (1751-1785)

Observation: Acte sans intitulé.

Contrat de mariage entre Guillaume Lalonde, fils de feu Guillaume Lalonde et de
Marie-Madeleine Eline; et Charles Bré, fille de Etienne Bré et de Barbe Dazé, de Soulange.

Doc #: 17531228PA025717

[NI00395] Dit L'Espérance.

Son parrain était Guillaume D'Aoust, son beau-frère, marié à sa soeur Marie-Madeleine. C'est le Sieur Pierre Cavalier qui a agit en tant que parrain par procuration, pour Guillaume Daoust, parti combattre les Iroquois, en août 1684.

[NI00396] Elle fut re-baptisée Marie Madeleine Hélène. Car en fait, Sarah Allen est une femme qui fut enlevée lors du raid du 29 février 1704, contre les Américains, à Deerfield, au Massachuset. Elle fut amenée à Montréal et, plus tard, elle fut vendue en tant que domestique à Jean Quenet, de Baie D'Urfé.

Son nom s'est aussi écrit ainsi: Eline.

[NI00400] Habitant de Soulange.

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29 Avril 1756 (Mtl)

Vuatier, T. (1751-1785)

Observation: Acte sans intitulé.

Bail à ferme et loyer d'une terre située à Soulange; par Etienne Brée, habitant et Barbe Dazé, son épouse, de Soulange, à Etienne Braie, de Soulange, leur fils.

Doc #: 17560429PA025801

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Voir achat de terre de Joseph Lalonde et Marie-Angélique Brai, le 18 novembre 1757.

[NI00401] Il était commandant des Barques.

[NI00405] Il était capitaine de la Marine et chirurgien à Québec.

[NI00408] dit Larose.

Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré. Jean déclare être habitant. Le nom est écrit Bouttin dans le registre.

[NI00411] Nom standard Larelle.

[NI00412] dit Le Petit.

[NI00414] De Ste-Colombe, diocèse de Rouen, Normandie, France.

ANCÊTRE D'ALBANI, la cantatrice.

[NI00416] Mon 8ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666 la famille habite St-Jean, St-Michel ou St-François. Elle a un domestique engagé, Nicolas Vallain, 20 ans.

[NI00417] Au recensement de 1666 son nom est inscrit ainsi: Vieux.

[NI00424] Mon 10ième arrière-grand-père.

Il était maître-briqueleur.

Dans le recensement de 1666 il déclare être briquetier. La famille habite alors sur la côte de Beaupré.

ANCÊTRE DIRECT DE SIR CHARLES ALPHONSE PANTALÉON PELLETIER ET DE
L'HONORABLE HONORÉ MERCIER.

[NI00425] dit Lachapelle.

[NI00426] ANCÊTRE DIRECT DE SIR CHARLES-APHONSE-PANTALÉON PELLETIER, lieutenant-gouverneur du Québec, de septembre 1908 à avril 1911, ET DE L'HONORABLE HONORÉ MERCIER, premier ministre du Québec, du 29 janvier 1887 au 16 décembre 1891.

[NI00428] De St-Etienne de Brie-Comte-Robert, Ile de France, France.

[NI00431] Dans un registre son nom s'écrit ainsi: Marie-Renée Michel.

[NI00432] Aussi Brabant dit Lamothe.

Il s'est engagé pour aller travailler dans l'Ouest du pays le 2 août 1707.

[NI00434] Il est aussi prénommé Esprit.

[NI00440] De France.

ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE.

[NI00442] S'écrit aussi Hénault et Hunaut dit Deschamps. Aussi Aineau...

[NI00446] Mon 8ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666 la famille habite soit St-Michel, St-Jean ou St-François. Elle a deux domestiques engagés, Jean Beaudet, 18 ans, et Jean Mallerbaut, 13 ans.

[NI00448] Ils ont eu 6 enfants.

Ils ont un domestique engagé; Jean Groult, cordonnier, 17 ans, selon le recensement de 1666.

[NI00449] Aussi Odard.

[NI00450] De Ste-Geneviève, bourg de Vanves, près de Paris, France.

ANCÊTRE DE ALBERT LOZEAU.

[NI00460] Mon 9ième arrière-grand-père.

Dans le recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré. Jean déclare être habitant.

Au recensement de 1667 il possédait une tête de bétail.

Il a eu 13 enfants dont 11 se marièrent. Un de ses fils reprit la terre paternelle et six fils s'établirent à l'île d'Orléans; Sainte-Famille, Saint-Jean et Saint-François.

[NI00461] Ma 9ième arrière-grand-mère.

[NI00462] Né à Les Roches-Baritaud, commune de St-Germain de Princay, paroisse Chantonnay. France.

Il était serger et habitant, selon le recensement de 1666. Il habite alors à l'île d'Orléans avec sa femme et aucun enfant.

[NI00464] Du village des Roches-Baritauds, commune de St-Vincent-Sterlanges, diocèse de Luçon, Poitou. France.

ANCÊTRE DE BENJAMIN SULTE, historien, DE FERLAND, historien, DE LUC LETELLIER DE ST-JUST, lieutenant-gouverneur du Québec, de 1876 à 1879.

[NI00468] De St-Vénérand de Laval, diocèse du Mans, Maine, France.

[NI00476] dit De Paris.

[NI00478] ANCÊTRE DE SIR NARCISSE-FORTUNAT BELLEAU, lieutenant-gouverneur du Québec, de mai 1867 à février 1873.

[NI00480] De Bagneux, près de Soissons, Ile-de-France, France.

Dit le Picard.

Pierre fut fait prisonnier par les Iroquois Oneiouts, ainsi que son fils Charles, le 10 juin 1653.

ANCÊTRE DE FERLAND, historien, ET DE PAMPHILE LEMAY, poète.

[NI00484] Né à St-Etienne-du-Bois, diocèse de Luçon, Poitou, France.

[NI00503] dit Dechêne.

[NI00505] De Brouage, diocèse de Saintes, Saintonge, France.

Il était charon.

Mon 9ième arrière-grand-père.

ANCÊTRE DE THOMAS CHAPAIS ET DE FRANÇOIS-CHARLES-STANISLAS LANGELIER.

[NI00506] Elle s'appelait aussi ainsi: Catherine Rigoliet.

[NI00507] dit Châtillon, et il écrivait aussi son nom ainsi: Mignault.

Selon le Journal des Jésuites, il aurait voulut épouser une Amérindienne, probablement avant son épouse Cloutier, mais les gens de sa race l'ont dissuadée.

Il était tailleur d'habits et habitant, selon le recensement de 1666. Sa famille habite alors Beauport. Ils ont un domestique engagé, Paul Foucault, un tisserand âgé de 21 ans.

[NI00508] Cloustier.

[NI00509] De Châtillon-sous-Bagneux, près de Paris.

ANCÊTRE DE ALBANI ET DU CARDINAL VILLENEUVE.

[NI00513] Il était menuisier et fabricant de câbles.

ANCÊTRE DE FERLAND, historien, ET DU CARDINAL BÉGIN.

[NI00530] ANCÊTRE DE SIR FRANÇOIS CHARLES STANISLAS LANGELIER ET DE ETIENNE PARENT.

[NI00533] De Laleu, fauborg de La Rochelle, Aunis. France.

ANCÊTRE DE OCTAVE CRÉMAZIE ET DE LUC LETELLIER.

[NI00538] S'appelait aussi Jacqueline Liger.

[NI00539] Cordonnier de métier.

Il est arrivé au Canada en 1666. Il trouva une place de domestique chez Monseigneur Laval. Il y exerce même son métier de cordonnier. A temps perdu il est aussi menuisier.

Après quatre ans de cette vie calme et tranquille il trouva plus profitable de s'établir sur une terre et de la cultiver. Probablement par manque d'expérience il acheta et revenda plusieurs terres avant d'en trouver une à son goût.

En 1676, enfin fixé il pensa à se marier. Il épousa Marguerite Pasquier, une jeune veuve qui lui apporta trois enfants de son premier mariage. A cette époque Charles Couillard, alors seigneur de Beaumont, attirait les colons afin de défricher la terre de la seigneurie. C'était là le seul moyen pour un seigneur de mettre à profit ses terres et, de plus, les redevances des censitaires étaient son seul revenu. Alors plus il y avait de colons mieux c'était. Les Gontier alla s'établir sur la seigneurie qui comptait déjà, en 1681, une quinzaine de familles.

Marguerite Pasquier mourut en 1698. Elle laissa à Gontier ses sept enfants et le 31 juillet 1698 il se fit nommer tuteur de toute cette petite famille, puis, le même jour il fit dresser un inventaire des biens de la communauté entre lui et sa défunte épouse. Il envisageait de se remarier avec une telle famille et afin d'éviter toute contestation pour l'héritage.

Le 4 novembre 1698, il épousa en secondes noces Marie-Françoise Forgues. Il mourut à Beaumont le 13 janvier 1716.

[NI00547] Nicolas a émigré au Canada au printemps de 1662, à l'âge de vingt-trois ans. Cependant, dans le recensement de 1666, il est indiqué qu'il a 23 ans, ce qui ferait 1643 comme année de naissance et non 1639.

La famille habite la côte de Beaupré, en 1666, et Nicolas pratique le métier de "poigneur"(?). Ils ont un domestique engagné de 24 ans, Jean Brière, qui est aussi boulanger.

Il partit de La Rochelle sur l'un des deux bâteaux, "Le Jardin de Hollande" et "L'Aigle d'Or", qui transporta trois cent personnes. Il vint au pays avec sa mère, Anne Lemaistre, veuve, et son épouse, Jeanne Lelièvre, âgée de vingt-deux-ans, et deux de leurs enfants, Louis, âgé de trois ans et demi et Nicolas, âgé d'un an.

Le voyage dura quatre longs mois. Le scorbut fit ses ravages parmis les passagers et soixante d'entre eux moururent en mer. La caravane atteignit enfin Québec, le 22 septembre. A Québec, Nicolas Le Roy et sa famille furent reçus par Guillaume Lelièvre, son beau-père, qui était au pays depuis environ trois ans.

Nicolas s'installa d'abord sur la côte de Beaupré, près du saut Montmorency. Après y être demeuré dix-sept ans il alla s'établir sur la rive-sud, dans les limites de ce qui est aujourd'hui la paroisse de Beaumont. C'est là qu'il éleva sa nombreuse famille. Ses sept fils se marièrent et s'établir à Beaumont, à Saint-Michel et Saint-Vallier.

Cette famille a donné un bon nombre d'hommes remarquables qui ont rendu de grands services à l'Eglise et à l'Etat.

[NI00549] Toussaint écrivait aussi son nom ainsi: Le Dran.

[NI00550] Louise était une "fille du roi".

[NI00551] De St-Michel, du bourg de Brécy, diocèse de Soissons, Ile-de-France, France.
ANCÊTRE DU CARDINAL BÉGIN.

[NI00553] De Ste-Colombe-sur-Seine, diocèse de Langres, Bourgogne, France.

[NI00559] ANCÊTRE DE LOUIS FRÉCHETTE.

[NI00560] Aussi écrit De Rainville.

[NI00561] Mon 9ième arrière-grand-père.

Dans le recensement de 1666 Léonard déclare être maçon. La famille habite à Beauport.

[NI00563] De Blanzac, Marche, France.

ANCÊTRE DE THOMAS CHAPAIS, D'OCTAVE CRÉMAZIE ET DE LOUIS FRÉCHETTE.

[NI00565] Du Bourg-sous-la-Roche, Poitou, France.

[NI00567] ANCÊTRE DU CARDINAL BÉGIN.

[NI00569] dit Cambray.

[NI00571] Il était tonnelier.

ANCÊTRE DIRECT DE MONSEIGNEUR BOURGET.

[NI00573] De France.

ANCÊTRE DE MONSEIGNEUR BOURGET.

[NI00574] Elle se prénommait aussi Elisabeth dans certains registres.

[NI00581] Mon 8ième arrière-grand-père et le 9ième arrière-grand-père de Lise.

Paul est arrivé au Canada en 1653 et il s'établit à Beauport.

Il était notaire seigneurial et royal ainsi que procureur fiscal.

Il fut nommé notaire de la seigneurie de Notre-Dame-des-Anges en 1656, par les Jésuites.

En 1659, il est devenu le notaire de la seigneurie de Beauport.

Dans le recensement de 1666 la famille vit à Beauport. Ils ont un domestique engagé, Michel Aubin, âgé de 22 ans.

Le 10 novembre 1667, François de Montmorency-Laval, évêque de Pétrée et vicaire apostolique de la Nouvelle-France, donne des lettres de notaire à Paul pour ses seigneuries de la côte de Beaupré et de l'ile d'Orléans. Le 1er décembre suivant nous pouvons lire aux archives de Québec, un "acte de foi et hommage de Paul Vachon, procureur fiscal, fondé de procuration de Messire François de Laval, évêque de Pétrée, vicaire apostolique de la Nouvelle-France, pour partie de la seigneurie de Beaupré."

En novembre 1667, la veuve d'Ailleboust nommait Paul Vachon, notaire pour sa seigneurie d'Argentenay.

L'étude du notaire Paul Vachon comprend environ quinze cents actes dont le dernier porte la date du 2 novembre 1693. Cette étude est déposé aux Archives Judiciaires du Québec. L'inventaire en fut dressé en 1731 par le procureur général Verrier.

Paul Vachon cultivait aussi sa terre de Beauport et avait mit un fermier sur sa terre de l'Ile d'Orléans. En 1667, il possédait sept bestiaux et vingt arpents en valeur à Beauport tandis qu'à l'Ile d'Orléans son fermier, Thomas Le Sueur, rapportait cinq bestiaux et huit arpents en valeur. En 1681 Paul Vachon déclarait au recenseur qu'il avait treize bêtes à cornes et trente-cinq arpents en valeur. Il avait donc, quatorze ans plus tard, une ferme assez considérable.

Il mourut de la petite vérole en 1703 et inhumé à Beauport. La plupart de ses descendants sont connus sous le nom de Vachon, mais un bon nombre ont pris les surnoms de Laminée, Pomerleau et des Fourchettes. Les principaux foyers de la famille Vachon sont encore la côte de Beaupré et la Beauce.

[NI00582] Sa marraine était Marguerite Aubert, épouse de Martin Gravel, et son parrain Jamen Bourgignon. Le prêtre était Nicolas Adam, jésuite.

[NI00583] ANCÊTRE DE SIR WILFRID LAURIER, premier ministre du Canada, de 1896 à 1911. BENJAMIN SULTE, historien, ET DU CARDINAL PAUL-ÉMILE LÉGER.

[NI00585] dit Saint-Georges.

Il était fermier. Arrivé en Nouvelle-France en 1625.

Ils ont eu 11 enfants.

[NI00591] Dit La Chénette.

Elle travaillait, tout comme son frère Louis, en tant qu'interprète dans l'état de New-York, ainsi qu'en Pensylvanie et travaillait pour la traite des fourrues. Elle est décédée, aveugle, à Harpers' Ferry.

[NI00593] Il est un Algonquin.

[NI00596] Elle était Algonquienne.

Dans un registre son nom est Quiquetigoukoué.

[NI00599] Il se nommait aussi dit Peltier.

Il était maître-charpentier.

ANCÊTRE DE FRANÇOIS MARIE THOMAS CHEVALIER DE LORIMIER, notaire et patriote de 1837, éxécuté sur l'échaffaud le 15 février 1839, au Pied du Courant, ET DE FRANÇOIS-XAVIER GARNEAU.

Nicolas et sa famille ont quitté la France au printemps de 1636 et son arrivés en Nouvelle-France, à Québec, le 11 juin de la même année. Ils ont débarqués du même navire qui transportait alors Charles Huault-de-Montmagny, le nouveau Gouverneur de la Nouvelle-France, qui venait remplacer Champlain.

Nicolas est un charpentier-menuisier et il est reconnu qu'il a travaillé sur des maisons, à Québec, comme celle de Louis Hébert, la première maison à être construite à l'extérieur des fortifications, il a aussi travaillé sur la structure du clocher de l'église Notre-Dame et le toît du château St-Louis.

Six autres enfants sont nés en Nouvelle-France, cinq filles et un garçon.

En 1649, Nicolas se voit octroyé une terre, à l'extérieur de la ville de Québec, au sud-ouest, adjacent au fort St-François-Xavier, près de Cap Rouge, au bord du St-Laurent. en 1650, sa famille est attaquée par deux Iroquois, mais Nicolas défendit, avec succès, et sa famille et sa maison.

En 1669, il loua une grand partie de sa propriété à son fils Jean, pour une période de cinq ans, et, en 1670, il rejoigna son autre fils François, qui portait le nom de Pelletier dit Ontaya (ou Anthaïa devenu plus tard Antaya), et sa famille, à Saurel (Sorel). A la fin de 1677, Nicolas et son fils acquirent une propriété en bordure du St-Laurent, à Dautray (Seigneurie D'Autray), près de ce que l'on appelle, aujourd'hui, Berthierville.

C'est là que prirent fin les jours de cet ancêtre dont la date exacte est inconnue. Son épouse, Jeanne, décéda à Sorel, le 12 décembre 1689.

[NI00600] S'appelait aussi; Voisy et De Voissy, De Vouzy et De Roussy.

De France.

[NI00607] Il était chapelier.

ANCÊTRE DIRECT DU CARDINAL VILLENEUVE, D'ALBERT LOZEAU ET DU CARDINAL LÉGER.

[NI00608] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Roullet.

[NI00609] Son nom s'écrit aussi ainsi: D'Ardeyne, Dardenne.

[NI00615] ANCÊTRE DE PAMPHILE LEMAY.

[NI00617] Charron.

Mon 8ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666 la famille habite la région de Sainct-Jean, Sainc-François et Sainct-Michel. Avec elle demeure la veuve de Joseph Hébert (fils du premier mariage de Hélène Desportes), Marie Charlotte de Poyetiers (de Poictiers), ainsi qu'un domestique engagé, Jean Ballié, 26 ans.

[NI00618] ELLE EST LA PREMIÈRE FILLE À NAÎTRE DANS LA COLONIE.

Elle a reçu un héritage de Samuel de Champlain au montant de 300 livres.

[NI00619] De St-Etienne de Brie-Comte-Robert, Ile de France, France.

SIEUR DE ST-LUC. Il était charron.

ANCÊTRE DE PAMPHILE LEMAY.

[NI00623] dit Belhumeur.

[NI00624] dite Belhumeur.

[NI00625] dit Le Parisien.

[NI00627] ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE ET DE NARCISSE CARDINAL.

[NI00629] dit Lafortune.

Scieur de long et laboureur, il est arrivé dans la colonie en 1653.

Ont eu 5 enfants. Aussi indiqué comme étant né en 1628.

[NI00630] Arrivée dans la colonie en 1650.

[NI00631] Gabriel Picard est venu avec La Recrue en 1653.

ANCÊTRE D'ALBANI, DU CARDINAL VILLENEUVE ET DU CARDINAL LÉGER.

[NI00635] Il était soldat du régiment de Carignan.

ANCÊTRE DIRECT DU CARDINAL RODRIGUE VILLENEUVE ET DU CARDINAL LÉGER.

[NI00641] Il était Maître-Chirurgien.

ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE.

[NI00644] Elle fut captive des Iroquois.

[NI00645] Son nom s'écrit aussi ainsi: De La Faye.

[NI00647] Archer de la maréchaussée de Poitiers.

Mon 9ième arrière-grand-père.

ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE.

[NI00648] De Montierneuf.

[NI00651] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Courault, Courrault DIT LACOSTE.

Et son prénom s'écrivait aussi ainsi: Cybard.

[NI00652] Elle parlait l'Iroquois.

Interprète lors de la cause de Marie Chambly, une Iroquoise, qui ne parlait pas français. Elle demandait à la Cour ses honoraires pour avoir allaiter le sieur Pierre Rose qui était malade à l'estomac... en 1701.

[NI00653] D'Angoulème, (St-André), Angoumois, France.

Il était chirurgien.

ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE ET DE FRANÇOIS-CHARLES-STANISLAS LANGELIER.

[NI00654] Son nom s'écrit aussi Chambaud.

[NI00655] Dit Laviolette.

Nicolas est probablement parent avec le Bienheureux Martyr Canadien, René Goupil. Car on dit que ce nom est très rare et on ne retrouve que deux colons de ce nom dans les annales canadiennes. Il fut probablement son frère car ils vécurent tous deux à la même époque. René, un chirurgien, fut martyrisé par les Iroquois.

[NI00657] ANCÊTRE DE SIR FRANÇOIS-CHARLES-STANISLAS LANGELIER.

[NI00660] Mon 8ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré et Charles déclare être charpentier.

[NI00661] Né à St-Langis Lès Mortagne, France.

Au recensement de 1666 il est indiqué que Jean-Galleran est maçon. La famille habite alors la côte de Beaupré.

[NI00676] Ma 10ième arrière-grand-mère.

Elle s'est mariée à 11 ans.

[NI00677] Elle se prénommait aussi Jeanne.

[NI00678] Il portait aussi le nom de VIEN.

[NI00687] Dit Traversy.

Il a eu la Seigneurie de Port-Joly le 25 mai 1677.

[NI00689] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Lemaitre.

Anne était veuve et elle est venue de France avec son fils Nicolas, à titre de "fille du roi".

[NI00690] dit Dechène.

[NI00693] Il était pilote du Saint-Laurent.

Dans le recensement de 1666, la famille habite à l'île d'Orléans avec leurs 5 enfants et ils ont un "travaillant" engagé au mois, Guillaume Lemieux, 17 ans.

Lorsque Jean voulut épouser Anne, les bans furent publiés et en juin et juillet 1647 on fêta pendant trois jours. Lorsque la cérémonie arriva on découvrit un empêchement canonique car la fiancée, Anne, n'avait même pas dix ans. Elle était née le 2 septembre 1637. On dû attendre l'âge prescrit soit douze ans et le mariage n'eut lieu que le 9 novembre 1649.

Jean Pelletier est du nombre des braves qui, en 1690, sous la direction du curé Pierre de Francheville, repoussèrent un débarquement des Bostonnais de l'amiral Phipps sur les grève de la Rivière-Ouelle.

Il arriva en Nouvelle-France en 1641 avec ses parents.

[NI00694] Au recensement de 1666, son nom est inscrit Le Pelletier.

[NI00699] dit Marolles.

Nicolas a épouse trois Amérindiennes.

[NI00701] Il portait aussi le nom de Gerbert.

[NI00718] Elle s'appelait aussi Tégouchi. Elle était Amérindienne.

[NI00720] Son nom était aussi écrit ainsi: Bebechinokoue.

Elle portait aussi le nom de Lamy.

[NI00729] Son nom a aussi été écrit ainsi: Pechabanokoue. Et Etchianich.

Elle était une princesse Amérindienne, Montagnaise, fille du chef Nanabesa, de Tadoussac.

[NI00731] Il est venu à bord de La Recrue, en 1653.

ANCÊTRE D'ALBANI, LOUIS-JOSEPH PAPINEAU ET DE JOSEPH-MARIE ROBERT.

[NI00740] Dit Beaubuisson.

[NI00741] L'ancêtre des Guénet et Guénette, en Nouvelle-France.

Pierre émigra en Nouvelle-France vers 1670. Il devint propriétaire de l'ile d'Orléans.

Pierre s'est remarié le 3 février 1689 avec Elisabeth Paquet (née le 10 mai 1671, à Ste-Famille, Ile d'Orléans), à St-Laurent, Ile d'Orléans, Québec, avec qui il a eut 10 enfants.

Ses descendants se sont surtout multipliés dans les régions du Bas-du-fleuve, Montréal et les comtés environnants.

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Le 3 février 1680, devant le notaire Rageot, Pierre vend à Thomas Rousseau, une partie de sa terre. Le contrat indique que la moitié acquise est attenante à l'autre moitié appartenant aux enfants mineurs de défunt Jacques Dubois et de Catherine Vieillot; du côté opposé, c'est la terre de François Noël. La maison, ou plutôt la cabane, est lambrissé de pieux et couverte de paille. Ganet cède aussi à l'acquéreur la jouissance de l'autre moitié de terre appartenant aux enfants mineurs Dubois, moyennant un minot de blé froment et un minot de mesteil à chaque Toussaint, commençant en 1681. Moyennant aussi le paiement annuel des cens et rentes de 60 sols et trois chapons vifs, plus la somme de 96 livres pour l'acquisition de la moitié de l'habitation. L'acte est paraphé dans la maison du sieur Etienne Blanchon, bourgeois de Québec, en présence de Clément Ruelle et de Nicolas Mario sieur de Lafontaine. Catherine Vieillot ratifiera cette transaction le 12 août suivant.
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Pierre Guénet ou Ganet est né en 1652, originaire de la paroisse Saint-Martin, ville de Soissons, de l'union de Jacques Guénet et de Marie de Saint-Los. Il arrive en Nouvelle-France probablement comme engagé de trente-six mois en 1672.

Pierre Guénet, maçon, épouse à Sainte-Famille, Catherine Veillot, née
le 20 octobre 1642, fille de François Veillot et de Catherine Leblanc. Elle était veuve de Jacques Dubois. Par ce mariage, Pierre Guénet devient propriétaire de la terre de l'Île d'Orléans.

Entre 1677 et 1683, quatre enfants naissent de cette union. En 1681, Pierre Guénet et sa famille habitent dans la paroisse de Saint-Laurent. Après le décès de Catherine Veillot entre 1683 et 1689, Pierre Guénet épouse alors en secondes noces à Saint-Laurent le 7 février 1689, Élisabeth Paquet, née le 10 mai 1671, fille d'Isaac Paquet et d'Élisabeth Meunier. Le notaire Paul Vachon signe leur contrat de mariage le 3 février 1689. Au moins dix enfants naissent de cette union entre 1690 et 1714.

En 1699, Pierre Guénet est présent au recensement de Mont-Louis comme maçon et pêcheur. En 1704, le couple Guénet habite à La Durantaye sur la rive sud du fleuve Saint-Laurent. Pierre Guénet décède à Beaumont le 19 août 1741 et son épouse s'éteint à Saint-Charles-de-Bellechasse le 8 janvier 1750.

[NI00743] Il était un charron.

[NI00744] Ma 8ième arrière-grand-mère.

[NI00756] Il était maître-tailleur.

ANCÊTRE DU CARDINAL LÉGER.

[NI00758] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Brunette.

[NI00759] Il est possible qu'il est été un conducteur de chevaux de course. Car il y a un Jos Fortin, qui conduisait des chevaux de course sur la piste du lac Leamy, en hiver et sur la ferme Touchette, en été, à son époque. Selon un livre sur Hull écrit en 1908 par Ernest Cinq-Mars.

[NI00760] Portait aussi le prénom de Francis.

[NI00765] Se nommait aussi Desrosiers.

[NI00767] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Samson.

[NI00774] Elle se prénommait aussi Rose.

[NI00791] dit Chaunière.

[NI00792] Il écrivait aussi son nom ainsi: Poudret. Et dit Lavigne.

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17 Novembre 1714

Adhémar dit Saint-Martin, J.-B. (1714-1754)

(Mtl) Obligation de André Poutré dit Lavigne, de la Pointe aux Trembles en l'île de Montréal, à Louis Lamoureux et Françoise Boyvin, son épouse, acceptant pour lui.

Doc #: 17141117PA011965

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[NI00802] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Boucher.

[NI00809] Aussi Daniaux dit Laprise.

[NI00810] dit Picard.

Maître-forgeur d'arquebuses.

A son décès il demeurait à Montreuil, rue du Pot D'Estain.

[NI00821] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Devoyau, Devoyou, Devoyau dit Laframboise et Desvoyau dit Laframboise.

[NI00825] 18 Août 1740 (Mtl)

Coron, C.-F. (1734-1767)

Concession d'une terre située dans l'île Jesus du côté du sud; par le Séminaire de Québec, seigneur propriétaire de l'île Jésus, à François Plouf, Plouf, de la côte des Vertus dans l'île de Montreal, son père, acceptant pour son fils.

Doc #: 17400818PA023184

[NI00826] Elle écrivait aussi son nom ainsi: Chaisné et Chenée.

[NI00827] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Chesnay.

[NI00829] 17 Août 1740 (Mtl)

Coron, C.-F. (1734-1767)

Concession d'une terre située dans l'île Jesus du côté du sud; par le Séminaire de Québec, seigneur propriétaire de l'île Jésus, à Maurice Plouf, Plouf, son père, acceptant pour son fils.

Doc #: 17400817PA023183

[NI00831] Dit Lafontaine.

[NI00834] Aussi Marie Richer.

[NI00835] Son nom s'écrivait aussi de cette façon: Richer dit Louveteau.


Jacques Ériché/Louveteau a épousé Catherine Pin De Louvetot dans le diocèse de Rouen. De cette union naquis un fils du prénom de Jacques, lequel fit route vers la Nouvelle-France et se reconnu sous le nom de Richer dit Louveteau. À Montréal, le 7 avril 1698, il prend une veuve pour épouse. Le reste suit selon la coutume:


1.Jacques Ériché/Louveteau prend pour épouse, Catherine Pin
De Louvetot, (date inconnue) à Rouen, Normandie, France
2.Jacques Richer prend pour épouse, Marie Geoffrion (veuve
de Pierre La varienne L'Espérance), à Montreal, le 7 avril
1698
3.Jean-Baptiste Richer prend pour épouse, Marie
Henrichon-Jarry, à Notre-Dame de Montréal, le 22 janvier,
1731
4.Jean Baptiste Richer prend pour épouse, Marie Charlotte
Tourneaux, à St-Joachimde Pointe Claire, le 10 janvier, 1763
5.Jean Baptiste Richer prend pour épouse, Reine Elizabeth
Séguin-Ladéroute, à St-Eustache, le 1 août, 1791
6.Jean Baptiste Richer prend pour épouse, Thérèse Dupras, à
St-Benoit, le 18 janvier 1819
7.Louis Richer prend pour épouse, Angèle Bédard, à Ste
Marthe de Soulange, le 7 novembre 1847
8.Moyse Richer prend pour épouse, Virginie Lacombe, à
St-Justin de Newton, le 1 septembre, 1874
9.Delphis Richer prend pour épouse, Alexandrine (Bechard)
St-Ours, à Montréal, le 18 avril, 1910
10.Henri-Paul Richer prend pour épouse, Laurette Beaudoin, à
Montréal, le 12 septembre 1942
11.Pierre Richer prends pour épouse, Anne-Marie Chaussé, à
Granby, le 24 juin, 1967

[NI00839] Son nom s'écrivait aussi Blouf.

Au recensement de Verchères en 1681, il y avait douze familles. Jean était cordonnier, il avait 38 ans, son épouse, 26 ans, son fils Jean, sept ans, Geneviève, quatre ans. Il avait quatre bêtes à cornes et cinq arpents en valeur.

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4 Octobre 1675 (Mtl)

Adhémar dit Saint-Martin, A. (1668-1714)

Concession d'une terre située à Verchere; par ?, seigneur de Verchères, à Jean Blouf, de Verchere.

Doc #: 16751004PA011269

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4 Octobre 1675 (Mtl)

Adhémar dit Saint-Martin, A. (1668-1714)

Vente d'une terre située à Verchere; par Jean Blouf et Marie-Madeleine Guilleboeuf, son épouse, de Verchere, à René Oudain, de Verchere.

Doc #: 16751004PA011268

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Ils ont eu 7 enfants.

[NI00840] Marie-Madeleine était une fille du roi, reçu à la Pointe St-Charles, en 1669.

[NI00841] Son nom est aussi Blouf et Plouf.

[NI00843] Dans les registres il semble qu'il y ait Jean et Louis Joseph qui ont marié Marie Poutré. Il s'agit probablement d'une erreur.

[NI00846] Son nom s'écrivait aussi ainsi: De Metz.

[NI00855] Aussi Danis.

[NI00860] 4 Juin 1747 (Qc)

Dionne, J. (1741-1779)

Vente de terre située à Lislet à la Peau, appellé La Cocatiere; par Charles Fortin, habitant, de Lislet St Jean, paroisse de Bonsecour, à Joachim Belangé, habitant, de la paroisse de Bonsecour.

Doc #: 17470604PA008942

[NI00868] Lieutenant de milice au Cap Saint-Ignace, en 1723.

2 Juillet 1709 (Qc)

Barbel, J. (1703-1740)

Echange de terres situées en la seigneurie de Lislet entre Charles Fortin, habitant et Sainte Cloutier, son épouse, de la seigneurie de Lislet, et Charles Fortin (25 ans), de la seigneurie de L'islet, leur fils.

[NI00876] Mon 9ième arrière-grand-père.

ANCÊTRE DE THOMAS CHAPAIS ET DE SIR FRANÇOIS CHARLES STANISLAS LANGELIER.

[NI00883] Il écrivait son nom aussi ainsi: L'Angelier.

ANCÊTRE DIRECT DE SIR FRANCOIS CHARLES LANGELIER.

[NI00890] dit Du Tremble.

[NI00894] dit Roudry.

[NI00898] dit Roudry.

Il était Portuguais et il portait le nom de Joao Rodrigues.

[NI00899] Anne était une "fille du roi".

Elle avait une dote de 350 livres.

[NI00900] Son fils Jean avait francisé son nom en Jean Rodrigue.

ANCÊTRE DIRECT DU JUGE BASILE ROUTHIER.

[NI00901] Son fils Jean avait francisé son nom en Suzanne Lacroix.

[NI00912] Capitaine.
Il est venu en Nouvelle-France en 1647 ou 1648.
Il a donné trois pierres pour la construction de la basilique de Ste-Anne de Beaupré le 8 mars 1658. Louis, qui souffrait de rhumatisme fut miraculeusement sauvé à un certain moment donnée de sa terrible maladie. Il fut tué par les Indiens de la nation des Agnieronons, le 8 juin 1661.

[NI00914] Au recensement de 1666 son nom est écrit Parée. La famille habite alors la côte de Beaupré et elle a un domestique engagé; François Thibaut, 18 ans.

[NI00921] Les armoiries de Sir François-Charles-Stanislas Langelier,
lieutenant-gouverneur du Québec de 1911 à 1915 se lisait:

«D'or à l'ange de carnation, lié d'azur, au chef de gueules
chargé de trois feuilles d'érables d'or et soutenu
d'hermine.»

[NI00922] yyy

[NI00924] Il était Maître-forgeur d'arquebuses.

9ième arrière-grand-père de mon épouse et mon 10ième arrière-grand-père.

[NI00926] Aussi Regnault et dit Desmoulins.

[NI00929] Le Neuf. Son père s'appelle Le Neuf et il est Seigneur Du Hérisson, d'où son nom.

[NI00930] dit Du Tremble.

Juge.

Au recensement de 1666 la famille habite Trois-Rivières et elle a un domestique nommé Jacques Bourdin, âgé de 22 ans.

[NI00931] dit Lajeunesse. Sieur du Sablé.

Mon 7ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666 la famille habite Trois-Rivières. Ils ont un domestique engagé du nom de Jean Langlois dit Lapareille, âgé de 24 ans. Le nom est écrit Bandonneau sur le registre.

[NI00937] Il est arrivé en Nouvelle-France en 1659 ou 1660. Il s'est d'abord établi à St-Pierre de l'Ile d'Orléans pour ensuite déménager à Ste-Famille. Il était là lors du recensement de 1666. De 1679 à 1685, il a vécu avec sa famille à La Canardière, un fief Jésuite, sur la côte de Beaupré. Il est retourné ensuite à l'Ile pour ne jamais y repartir.

[NI00939] Menuisier, selon le recensement de Québec de 1666.

[NI00941] ANCÊTRE DIRECT DE MGR TANGUAY.

[NI00944] Ils ont eu 5 fils, 3 filles et un anonyme.

[NI00947] Il était fermier.

Il fut employé pendant deux ans par Monseigneur de Laval. Le 22 juin 1667, ce dernier lui concéda une terre dont on retrouve sur celle-ci, aujourd"hui, la maison située au 1139 de l'Avenue Royale à St-Jean de l'Ile d'Orléans. Cette maison a été construite entre 1750 et 1800.


Le 26 septembre 1686 devant le notaire Rageot, Mathurin signe un contrat à bail avec le seigneur François Ruette d'Auteuil à Grand-Anse ou Sainte-Anne de la Pocatière, à la limite de ce qui est aujourd'hui Rivière Ouelle.Curieusement, l'arrière-fief Monceaux, que possèdait Denis-Joseph Ruette (frère de François) à compter de 1656 à Sillery, avait été la propriété d'Anne Gasnier,belle-mère de Denis-Joseph, est réputée avoir été la dame de compagnie et la protectrice de nombreuses Filles du Roy. Sa signature apparaît au bas du contrat de mariage de Mathurin Dubé et Marie Campion.Peut-on imaginer que c'est elle qui a mis en contact François Ruette d'Auteuil et Mathurin au moment où le premier a eu besoin d'un fermier pour gérer sa seignerie de La Pocatière, obtenue par mariage en 1683? Au braves colons de Rivière-Ouelle appartient l'honneur d'avoir
repoussé le premier débarquement des Anglais en 1690.Dans le bulletin " L'Ancêtre" de la société de généalogie de Québec, on y retrouve la liste des combattants donc; Mathurin;18 ans et Louis Dubé;14 ans qui se sont joints à leur père Mathurin.

Décès de Mathurin.

Aprés une vie très active et ayant terminé son contrat avec le seigneur Ruette d'Auteuil depuis un ans,Mathurin s'éteignit à l'âge de 64 ans,le 28 décembre 1695.Il fut inhumé le 30 décembre suivant à Rivière-Ouelle (Berceau de Kamouraska).

[NI00948] Marie était une "fille du roi".

[NI00949] Dit Pitoche.

Au recensement de 1666 la famille qui ne compte qu'un seul enfant, Barbe, habite l'île d'Orléans.

[NI00952] Son s'écrivait aussi ainsi: Perrine Mallet.

[NI00953] dit Laferrière.

Soldat du régiment De Carignan, compagnie De La Fouille.

[NI00955] ANCÊTRE DIRECT DE MICHEL BIBAUD, D'ALBANI ET DE SIR CHARLES ALPHONSE PANTALÉON PELLETIER, lieutenant-gouverneur du Québec, de septembre 1908 à avril 1911.



Famille de Jean Dubé et Renée Suzanne (parents de Mathurin)
marié en 1630 à La Chapelle-Thémer

1:Mathurin, fermier, n.1631,marié à Marie Campion le 3-09-1670,
Ste-Famille, Île d'Orléans,décédé à 64 ans.

2:Simon, laboureur, n.1634, marié à jacquette Bachoret en 1675, à
La Chapelle-Thémer, décédé à 64 ans.

3:René, laboureur, n.1642;

4:Jean, n.1658,marié à Anne Oger en 1688, à Marsais
Ste-Radégonde, décédé à 50 ans.

5:Jacques, laboureur, n 1659, décédé à 60 ans.

Ils sont tous nés à la Chapelle-Thémer.

[NI00963] Son nom s'écrivait aussi ainsi: De La Mothe.

[NI00964] dit Bruneau.

[NI00975] ANCÊTRE DE LOUIS FRÉCHETTE, SIR PIERRE LAURENT DAMASE EVARISTE LEBLANC.

[NI00977] 8ième arrière-grand-père de mon épouse.

[NI00978] Elle portait aussi le nom de Léodet.

[NI00983] Passeur de la petite Rivière St-Charles.

[NI00985] Dit La Récompense.

[NI00993] Dit Lafleur de Coignac.

Il était soldat du régiment du sieur De Froment.

Le 30 janvier 1657, à Trois-Rivières, il est le parrain d'un Amérindien de 30 ans, Nicolas Onnenhase. Il donne alors comme emploi voyageur ou interprète.

Concession d'une terre située à St-François-du-Lac, île St-Joseph, le 14 octobre 1673, devant le notaire A. Adhémar dit St-Martin, à Montréal, par Jean de Crevier, Seigneur de St-François, à Pierre Couc dit Lafleur, de Coignac.

Concession d'une terre située dans la rivière Batiscan, par la compagnie de Jésus, à Pierre Couc, de St-François, le 19 septembre 1674, devant le notaire Adhémar dit St-Martin.

[NI00994] Elle était Algonquienne de la Nation des Outiataronons. Dans un autre document elle est mentionnée comme étant une Abénaquise.

Son nom a été écrit ainsi dans le registre lors du baptême de sa fille Catherine (enfant qu'elle a eu avec son premier mari Amérindien Assababich): Marie MITE OUS ME GOU KOU.

[NI00995] Soldat du régiment de Carignan, compagnie de Froment.

[NI00997] Dit l'Espagnol.

[NI00998] Aussi Denote.

[NI01003] Il était cordonnier.

[NI01004] Son nom s'est aussi écrit ainsi: Bradeau.

[NI01005] Il était Maître-charron.

ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE.

[NI01006] dit Jobidon.

ANCÊTRE DE L'HONORABLE HONORÉ MERCIER, premier ministre du Québec, du 29 janvier 1887 au 16 décembre 1891.

[NI01009] Dit Chesnaye de La Garenne.

[NI01011] Dans le recensement de 1666 son nom est écrit De Liny.

[NI01012] dit Jobidon.

Au recensement de 1666 Louis déclare être habitant. La famille habite la côte de Beaupré.

[NI01015] Mon 9ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666 la famille habite à la côte de Beaupré. Elle a un domestique engagé, du nom de Nicolas Delage. Il est âgé de 24 ans. Etienne déclare être habitant.

[NI01016] Ma 9ième arrière-grand-mère.

Samuel de Champlain légua, dans son testament, 600 livres à Marguerite.

[NI01017] ANCÊTRE DE L'HONORABLE HONORÉ MERCIER ET DE RENÉ ÉDOUARD CARON.

[NI01027] dit Châtillon. Son nom est aussi inscrit Godin.

Mon 9ième arrière-grand-père.

Il était maître-charpentier à la rivière Saint-Jean en Acadie.. Il vint au pays le 22 septembre 1653 avec la Grande Recrue.

En 1666 ils apparaissent au recensement et demeure à Charlesbourg, ou la Rivière St-Charles ou Notre-Dame-des-Anges.

Ils ont eu 9 enfants et ont émigrés en Acadie vers 1677.

[NI01028] Rousserière et aussi Roussillet, selon le recensement de 1666.

[NI01029] Au recensement de 1666 Jacques déclare être habitant. Il habite avec sa famille la côte de Beaupré, Château-Richer, et outre ses enfants, il a deux pensionnaires; ses beauc-frères Charles et Guillaume Le Tardif.

[NI01031] Au recensement de 1666 il habite avec sa femme et son fils Pierre, la côte de Beaupré.

[NI01035] D'Etables, diocèse de St-Brieuc, Bretagne, France.

Il était Commis et Seigneur et Juge prévost en la côte de Beaupré.

[NI01044] Elle est une fille du roi.

Elle avait une dotte de 50 livres et d'autres biens évalués à 200 livres.

[NI01045] Il était soldat du régiment de Carignan, compagnie Grandfontaine.

ANCÊTRE DE LOUIS FRÉCHETTE.

[NI01049] ANCÊTRE DIRECT DE SIR LOUIS HIPPOLYTE LAFONTAINE, BIDAUD, DR JEAN OLIVIER CHÉNIER, patriote, tué par les Anglais au cours d'un combat le 14 décembre 1837, ET DE JOSEPH MARIE ROBERT, patriote de 1837, éxécuté sur l'échaffaud le 18 janvier 1839.

[NI01050] Aussi Savanelle.

[NI01052] Aussi Coeffes.

[NI01057] Venu avec la Grande Recrue de 1653.

Mon 8ième arrière-grand-père.

Il était serrurier et laboureur. Ils ont eu 10 enfants.

Jean possédait la concession # 1251, entre le fleuve Saint-Laurent et la rue Notre-Dame, sur la côte Saint-François, appelé aujourd'hui Longue-Pointe. On retrouve la compagnie Catelli, aujourd'hui, sur la terre de Jean Cadieu.

[NI01058] Fille du roi.

Elle avait été baptisée dans la religion protestante en 1647.

[NI01059] Il est venu à bord du bâteau "La Recrue", en 1653.

ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE ET DE HONORÉ MERCIER.

[NI01067] Texte tiré du contrat original de mariage de l'ancêtre.

"Le 29 avril 1665, nous avons reçu à la bénédiction Nuptialle, après la publication d'un ban et la dispense ..de deux ?... accordée par monseigneur Lassinal, signée Bruner sans avoir trouvé aucun empeschement Jean Sabourin laboureur demeurant au village de Ronier de cette paroisse homme veuf Et Mathurine Renou demeurant au dit Ronier de cette paroisse native du Bourg de Rié en poitou fille de silvestre Renou et de Judith Laubertre sa femme ses père et mère assisté de Noel Fleury oncle du marié et de Marie Pinaude en présence des témoins soussignés Birhon et Ch. Baillargier."

Signé: Charles de Lespinière curé de Notre Dame, Brezon (qui doit être le 1er
témoin), Charles Baillargier.

[NI01069] Il était Maître-tisserand.

ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE.

[NI01071] Directeur de la Compagnie des Indes Occidentales à Tadoussac.

[NI01073] Il était soldat.

[NI01075] dit Lamarche.

Mon 8ième arrière-grand-père.

Soldat du régiment De Carignan, compagnie de Grand'Fontaine. Il est arrivé en Nouvelle-France en 1665.

Ils se sont établit à Lachine et ensuite à Ville-Marie en 1679.

Il était laboureur. Ils ont eu 8 enfants.

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1 Avril 1679 (Mtl)

Adhémar dit Saint-Martin, A. (1668-1714)

Vente d'une terre située à Champlain; par André Badel dit Lamarche et Barbe Duchesne, son épouse, de Champlain, à François Lory, de Champlain.

Doc #: 16790401PA011584

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[NI01076] Fille du roi.

[NI01077] Il était soldat du régiment de Carignan, compagnie Grand'Fontaine.

[NI01083] Frichet qui s'écrit aussi ainsi: Fréchette.

[NI01087] Dans le recensement de 1666 Elie déclare avoir 45 ans ce qui situerait sa date de naissance en 1621 et non 1614 comme l'indique le texte ci-dessous. Elie déclare alors être matelot. La famille habite la côte de Beaupré.

Elie et Esther étaient des Huguenots qui se sont convertis au catholicisme. En 1662, Esther, souffrait depuis 18 mois d'un mal qui lui faisait courber le dos et elle devait se déplacer à l'aide d'un bâton. Elle se souvint que son mari lui avait dit qu'en sa présence Louis Guimont avait été guéri d'une grande douleur aux reins en mettant, par dévotion, trois pierres aux fondements de l'église Ste-Anne que l'on commençait à bâtir. C'est ce qu'elle fit. Elle oublia son bâton et elle commença à marcher droit.

En 1664, Elie, âgé de cinquante ans, était malade d'une hydroposie à laquelle les remèdes ne pouvaient rien. Il se dit qu'il valait mieux se laisser aller à la mort et fit appeler l'Abbé Thomas Morel. Il lui donna les sacrements et il alla dire une messe à son itention. Quand il revint pour le communier, Elie était guéri. Il lui dit qu'il s'était endormi en disant son chapelet. Deux dames se sont approchées de lui pendant son sommeil et l'une d'elle, ouvrant une boîte qu'elle tenait, lui montra le chemin fort long et étroit qui conduisait au ciel. Il se senti bien et délivré de son mal.

[NI01088] Dans le recensement de 1666 il est indiqué que Marie Esther a 42 ans. Donc cela situerait son année de naissance en 1624 et non 1617.

[NI01091] ANCÊTRE DE RENÉ-ÉDOUARD CARON.

[NI01094] Au recensement de 1666 son nom est écrit Lours mais Lehoux entre parenthèses.

[NI01095] C'est le premier baptême dans les registres de l'Eglise Notre-Dame de Québec.

IL EST LE PREMIER GARÇON À NAÎTRE DANS LA COLONIE (DE PARENTS EUROPÉENS).

[NI01096] Filleul de Charles de St-Etienne de La Tour.

Il fut le deuxième prêtre né au Canada et notre premier compositeur de musique.

[NI01101] dit St-Germain.

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9 Juillet 1705 (Mtl)

Lepailleur de LaFerté, M. (1701-1732)

Obligation de Jean Cullerier, commis du grand voyer, de Lachine, à Pierre Lamoureux de St-Germain, marchand, demeurant au bout de l'île de Montréal.

Doc #: 17050719PA018609

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22 Juillet 1705 (Mtl)

Lepailleur de LaFerté, M. (1701-1732)

Obligation de Lambert Deselle-Duclos, écuyer, du cap St Michel, à Pierre Lamoureux de Saint Germain, marchand, demeurant au bout de l'île de Montréal.

Doc #: 17050722PA018610

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23 Juillet 1705 (Mtl)

Lepailleur de LaFerté, M. (1701-1732)

Obligation de Pierre Moreau dit Francoeur, habitant, de la ville de Villemarie, à Pierre Lamoureux dit St Germain, marchand demeurant au bout de l'île de Montreal.

Doc #: 17050723PA018611

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24 Juillet 1705 (Mtl)

Lepailleur de LaFerté, M. (1701-1732)

Obligation de Etienne Forestier dit Lafortune, boulanger, de la ville de Villemarie, à Pierre Lamoureux dit St Germain.

Doc #: 17050724PA018612

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4 Novembre 1708 (Mtl)

Lepailleur de LaFerté, M. (1701-1732)

Saisie réelle de deux maisons situées en la ville de Villemarie sur le niveau de la rue St Paul et sur la rue St Francois à Pierre Lamoureux dit St Germain, marchand, demeurant au bout d'en haut de l'île de Montreal, à la requête de
Maurice Blondeau, marchand, du Sault St-Louis en l'île de Montréal.

Doc #: 17081104PA018846

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[NI01102] Son non s'est aussi écrit ainsi: Paraguiche.

Elle était une Amérindienne.

[NI01105] Il portait aussi le nom de René et Lajeunesse.

[NI01106] Elle écrivait aussi son nom ainsi: Viard.

[NI01107] ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE.

[NI01115] Il était un soldat du régiment de Carignan, compagnie de Saurel.

[NI01120] Beaussant.

[NI01121] Dit De Magnac.

Peu de temps après son mariage, Jean reçut un demi arpent dans l'enclos de la ville.

Il se noya en faisant des travaux de construction. Il tomba dans les eaux glacées du St-Laurent.

[NI01122] Veuve, c'était son deuxième mariage.

C'est donc dire qu'elle a été une jeune veuve à 19 ans et, une seconde fois, à 20 ans.

Catherine est l'ancêtre d'Auxilie Cardinal et de Jacques Gareau, ceux-ci ancêtres des Guénette et des Gareau. Ceci à cause de ses deux mariages.

[NI01125] Au recensement de 1666, la famille habite Sillery et elle a un domestique engagé âgé de 22 ans.

[NI01127] Aussi Beaujan.

ANCÊTRE DU CARDINAL LÉGER.

Il était habitant. Ils ont eu 6 enfants.

[NI01128] Aussi Cognon.

[NI01129] dit Louveteau.

[NI01132] Son nom s'écrivait aussi Briau.

[NI01134] Son nom s'écrit aussi ainsi: Loson.

[NI01137] Il était cordonnier.


En 1684, Vincent se porte acquéreur d'une terre de six arpents en front du fleuve St-Laurent sur quarante arpents de profondeur à Saint-Antoine-de-Tilly. La famille s'y implantera en permanence.

Vincent et Jeanne auront dix enfants. De leurs sept fils, cinq d'entre eux se marièrent et contribuèrent ainsi à perpétuer le nom en cette terre d'Amérique.

[NI01138] Jeanne était une "fille du roi".

Elle possédait une dote de 350 livres.

[NI01139] ANCÊTRE DE LOUIS FRÉCHETTE.

[NI01146] dite Lavallée.

[NI01147] dit Laprise.

Le 31 août 1745, devant le notaire J. C. Panet, concession d'une terre située dans la seigneurie de Lauzon, dans la rivière des Etrechemins, par Etienne Charest, co-seigneur de la côte et seigneurie de Lauzon et Joseph Charest, demeurant dans la ville de Québec, frères, à Jacques Dagneaux et Louise Destroismaisons, son épouse, de la Rivière du Sud, paroisse de Saint-François-de-Salles.

[NI01148] dit Picard.

[NI01155] Au recensement de 1666 son nom est écrit ainsi Le Clerq.

[NI01167] Mon 10ième arrière-grand-père.

Dans le recensement de 1666 il est inscrit sous le nom de Sainct-Denis. La famille habite la côte de Beaupré et Pierre déclare être habitant. Ils ont un domestique engagé André Berlan, 19 ans.

ANCÊTRE DE FRANÇOIS BIBAUD, THOMAS CHAPAIS ET LOUIS FRÉCHETTE.

[NI01168] Ma 10ième arrière-grand-père.

Dans le recensement elle est inscrite sous le nom de Dunel.

[NI01178] Elle était Acadienne.

[NI01179] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Couilliart.

Guillaume Couillard a été le premier Canadien anobli.

Il est sans doute une des plus belles figures de la noblesse Canadienne. Arrivé cinq ans seulement après la fondation de Québec, Couillard fut l'un des plus fidèles collaborateurs de Champlain et il peut, à ce titre, prendre place parmi les pionniers de la Nouvelle-France.

Lui qui avait pris comme devise "Dieu ayde au premier colon" se mit au travail avec courage et énergie, tant et si bien qu'en 1654 Louis XIV lui accorda des lettres de noblesse pour "ses belles actions dans le pays de Canada". Ces lettres de noblesse furent les premières accordées à un sujet de la Nouvelle-France et Guillaume Couillard fut donc le premier Canadien annobli. Il prit alors les armoiries suivantes: "D'Azur, à la colombe au vol étendu et versé d'or tenant en son bec un rameau d'olivier de sinople".

Les descendants de Guillaume Couillard devaient par la suite obtenir confirmation de leur noblesse. Descendants comme eux de ce valeureux pionnier, nous pouvons nous aussi nous réclamer de ce même privilège.

[NI01181] Au recensement de 1666 la famille habite l'île d'Orléans et elle a un domestique engagé, Florant Le Febvre, 24 ans.

[NI01182] Mon 8ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré et Charles déclare être habitant.

[NI01188] De St-Jean-de-Mortagne, France.

Il était maçon. Arrivé au Canada aux environs de 1634.

ANCÊTRE DE LOUIS FRÉCHETTE.

Au recensement de 1666 Marin demeure avec sa femme Périnne et son fils Guillaume, à Beauport. Monsieur Pierre Le Vallée (Lavallée), un chirurgien de 27 ans, et son épouse Thérèse Leblanc, 15 ans, demeurent aussi avec eux. Marin apparaît aussi dans le recensement de l'île d'Orléans. Il y est inscrit avec son épouse Périnne et leur fils de 19 ans, Guillaume. Est-ce une erreur ou bien est-ce parce que Marin possède une maison à l'île d'Orléans? Peut-être que Guillaume y habite et qu'il a donné le nom de ses parents au recenseur?

[NI01190] dit Antaya.

[NI01191] Au recensement de 1666, Marie, veuve, demeure seule avec son fils Charles, à Québec. Ils ont 4 domestiques engagés; Jacques Aubard, 26 ans, Laurent Le Vasseur, 18 ans, Pierre Lozoult, 21 ans, et Jean Bernard, 18 ans.

[NI01192] Son nom s'écrivait aussi: Pasquet et Paquet.

Soldat du régiment De Carignan, compagnie De La Mothe St-Paul.

[NI01197] dit Châteauneuf.

Chirurgien.

Au recensement de 1666, la famille habite l`île d'Orléans. Ils ont un domestique engagé, Jean Leclercq, âgé de 18 ans.

[NI01198] Son nom est Lemonnier ou Lemonier., un nom très répandu à Clermont.

dit De La Dorseillère.

ANCÊTRE DE L'HONORABLE HONORÉ MERCIER ET DE RENÉ EDOUARD CARON.

[NI01208] Se prénommait aussi Elisabeth.

[NI01211] Sieur De L'Espinay.

ANCÊTRE DE THOMAS CHAPAIS.

[NI01214] Il était apothicaire et exerca son métier à St-Germain-des-Prés, à Paris.

[NI01215] Le 23 octobre 1679, une bagarre éclata à Saint-François-du-Lac. La cause de cette escarmouche était le seigneur de ce fief, Jean de Crevier, selon l'un de ses serviteurs, Pierre Gilbert dit La Chasse. Outre son maître et ce dernier, les belligérants étaient Jean Rattier, un bourreau qui effectuait les pendaisons, Jacques Dupuy dit La Garenne, Jacques Julien, Noël Laurence, Jacques Brunet et Pierre Gareau dit Saintonge.

Jeanne Couc, âgée de 20 ans, fut mortellement blessée au cours de cette bagarre. On l'enterra deux jours plus tard dans le cimetière de la paroisse des Trois-Rivières. Son père, Pierre, fut cruellement maltraité. Le meurtrier était Jean Rattier dit Du Buisson, âgé de 32 ans. Il fut reconnu coupable le 31 décembre 1680, par le Conseil Souverain de la Nouvelle-France. Cependant, au moment où il devait être exécuté par pendaison, le bourreau étant décédé, on lui offra de devenir lui-même bourreau, en échange de quoi il serait acquitté. Sinon il devra attendre en prison le temps que l'on trouva un remplaçant qui exécuterait sa sentence. Le choix fut facile et on avait maintenant un nouveau bourreau.

[NI01218] Il se prénommait Charles-Thomas.

Il était un noble. Sieur De Beaumont et Sieur Des Islets.



5 Janvier 1668 (Qc)

Becquet, R. (1665-1682)

Observation: Acte sans intitulé.

Contrat de mariage entre Charles Couilliart-Desislez, fils de feu Guillaume
Couilliart et de Marie-Guillemette Hebert, de la paroisse de Notre Dame de Quebecq; et Marie Pasquier, fille de feu Pierre Pasquier de Franclieu, écuyer, conseiller du Roi, bailli et président de Brie-Comte-Robert et de Marie Portat, de la paroisse de St Estienne de Brie Conte Robert.

Doc #: 16680105PA001008

[NI01219] Marie est une "fille du roy". Selon les archives elle serait issue d'une famille noble.

Ses descendants signent aussi leur nom: De Beaumont.

[NI01220] Il était écuyer, conseiller du roi, bailli et président de Brie-Comte-Robert.

[NI01223] 13 Février 1694 (Qc)

Chambalon, L. (1692-1716)

Observation: L'acte a été rédigé le 15 novembre
1693.

Dépôt d'un contrat de mariage entre Jacques Labreque, de la paroisse St Paul en l'île et comté St Laurant, fils naturel de feu Jean Labreque et de Jeanne Baillargeon; et Marguerite Pasquier, de la paroisse St Paul en l'île et comté St Laurant, fille naturelle de Isaac Pasquier et de Elisabeth Meusnier.

Doc #: 16940213PA001482

[NI01224] Il était matelot (marin).

Au recensement de 1666 il habite avec son épouse à l'île d'Orléans.

[NI01234] Le lot numéro 5 au cimetière de Notre-Dame a été acheté par Madame Louise Morin, en 1903.

[NI01235] Elie était aussi prénommé Donald Elie.

Elie Scott semble avoir été échevin de la ville de Hull. Dans le livre, de 1908, de E.E. Cinq-Mars, journaliste: Hull - son origine, ses progrès, son avenir, il est mentionné comme ayant été élu, dans le quartier 3A, le 26 janvier 1904. Il fut défait le 18 janvier 1906 par D. Savard. Dans le même livre il est indiqué que Madame E. Scott fut dame patronesse de la paroisse Saint-Rédempteur, fondé en 1903. Etait-ce son épouse? Car Maria s'est mariée dans cette paroisse en 1909.

Note dans les registres du cimetière Notre-Dame, à Hull:

------------------------------------------------ 1er document ------------------------------------------------------------
1923

"L'an mil neuf cent vingt trois, le vingt deuxième jour de Février. a une heure de l'après-midi.

A LA RÉQUISITION de Elie Scott journalier de la cité de Hull, tant pour lui-même que pour son frère Joseph Scott de la cité de Hull et sa soeur Exilda Scott veuve de Athanase Sabourin nous, MTRE HENRI DESROSIERS, soussigné Notaire public pour la province de Québec, résidant et pratiquant dans la cité de Hull, nous sommes exprès transporté au domicile de la Corporation des Révérands Pères Oblats de la cité de Hull au Presbytère de la dite Corporation,
Où parlant à
nous avons dit et signifié à la dite Corporation des Révérends Pères Oblat en parlant comme susdit:
Que le réquérant ainsi que ses frères et soeur susdits sont propriétaires du lot numéro 5 du cimetière de la paroisse de Notre Dame de Hull, en leur qualité d'héritiers de leur mère Louise A. Morin, en son vivant veuve de William Scott laquelle Louis A. Morin a acquis le susdit lot durant son veuvage.
Que le requérant en son nom personnel et au nom des héritiers de sa susdite mère a signifié et ordonné à la Corporation des Réverends Pères Oblats de Hull, en parlant au père Econome de n'enterrer aucune personne dans le susdit lot à moins d'être parente avec la susdite Louise A. Morin, et sur avis donné au préalable audit Elie Scott ou à ses représentants.
Que le requérant a demande de faire tell inscription en marge des registres de la dite Corporation, référant au lot susdit, et que tell inscription a été entrée dans les registres, tel que demandé par le requérant;
Que pour faire suite à l'opposition qui a été faite aux fins de biffer l'inscription susdite, nous, à la requisition susdite avons protesté et par les présentes protestons la dite Corporation des Réverends Pères Oblats et tous autres qu'il appartiendra de ne pas biffer l'inscription susmentionnée, tel que demandé par le réquerant, et ce sujet à tous domage et intérêts soufferts et à souffrir par le requérant en raison de ce que ci-dessus mentionné, et de tout ce qui peut être protesté en pareil cas;
(ce qui qui suite est manuscrit)
Et la corporation de Revérend Pères Oblats, dans la paroisse du Reverend
(Texte dactylographié)
requis de signer c s présentes après avoir répoindu ce qui suit:
(texte manuscrit)
nous (illisible, peut-être le mot "ajoutons") conformément à la loi à déclaré ne vouloir
(texte dactylographié)
signés tel que requis par nous Notaire
Et nous avons de nouveau protesté ces présentes à toute fin que de droit.
Fait et signifié à Hull au domicile de la dite Corporation comme susdit
Dont acte fait et passé à Hull sous le nuéro un mille deux cent vingt des minutes du Mtre Henri Desrosiers notaire les jours mois, et an susdit, et nous avons signé et laissé copie authentique des présentes à la dit Corporation des Révérends Pères Oblats en parlant comme susdit, a fin qu'elle n'en puisse prétendre ignorance.
(texte manuscrit)
Signé Henri Desrosiers notary
Vraie copie de la minute des présentes demeuré en mon étude

------------------------------------------------ 2e document -------------------------------------------------------------
1929

"Moi, Elie Scott, je donne à ma fille Madame Joseph Joannette, née Maria Scott, de Hull, Québec, le terrain (lot) au cimetière Notre-Dame de Hull, étant tuteur, moi, Elie Scott, dudit terrain numéro 5, et à cette date seul maître du lot numéro 5 au nom de William Scott, époux de Marie-Louise Morin, tous deux décédés, mes père et mère. Avec le droit d'enterrer mon épouse Apoline Lanctôt et mon seul frère Bazile Scott. Ce 28ième jour de juin 1929."

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Elie et Appoline sont les parrain et marraine de Joseph Ignace Horace Lanctôt, fils de Philémon (Philippe) Lanctôt et de Sara Fournier, mariés le 2 novembre 1903 à St-André d'Argenteuil. Philémon est né aux environs de 1876 et il est décédé, à l'âge de 42 ans, le 11 novembre 1918. Le filleul, Ignace Horace, est né le 1er février 1905, à Hull (paroisse Notre-Dame).

[NI01236] On la prénommait aussi Dora.

Elle était la marraine de Raymond Scott.

[NI01240] Inhumée au cimetière Notre-Dame.

[NI01243] Son nom s'écrit aussi Doran dans les registres.

Au moment de son décès elle habitait le 22 rue Mance, à Hull. Inhumée au cimetière Notre-Dame.

[NI01247] Ils demeuraient sur la rue du Pont (aujourd'hui Eddy), en 1892 et en 1908. Selon les registres de la paroisse Notre-Dame de Grâce.

Delphis était journalier dans une scierie.

Au recensement de 1891 il mentionne que sa grand-mère, Anasthasie Nault, 77 ans (donc née en 1814) demeure avec eux.

[NI01251] Robert vient de Hull et son épouse, de Gatineau.

[NI01267] dite D'Ancosse.

[NI01269] Mon 8ième arrière grand-père. Ancêtre des Guénette.

14 Juillet 1666 (Qc)

Becquet, R. (1665-1682)

Bail à ferme d'une terre située en l'île D'orleans; par Jean-Baptiste Peuvret, seigneur de Mesnu et de Gaudarville, à Thomas Rousseau, de l'île D'orleans.

Doc #: 16660714PA000917

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Voir le texte de l'acte d'une transaction effectuée par Thomas avec l'ancêtre Pierre Ganet, le 3 février 1680 (notes dans Pierre Ganet).

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30 Juin 1704 (Qc)

Lacetière, F. de (1702-1728)

Quittance de Jean Cloustier et Louise Bellanger, son épouse, de la seigneurie de Beaupré, Pierre Barette et Madeleine Bellanger, son épouse, de la seigneurie de Beaupre, paroisse Ste Anne, tant pour lui que comme tuteur des enfants mineurs des défunts Jean-François Bellanger et Marie Cloustier, son épouse, ses beaux-frères, Charlotte Bellanger, épouse actuelle de Thomas Rousseau, de l'île et comté St Lorent, paroisse de St Lorent, Martin Rousseau, de la seigneurie de Bonsecours, au nom et comme tuteur des enfants mineurs de feu Jacques
Bellanger et Isabelle Tibaut, son épouse, Pierre Duroy, marchand boucher et Marguerite Levasseur, son épouse, de la ville de Québec, faisant tant pour lui que pour ses beaux-frères absents que pour Michel Deserre, aussi tant pour lui que comme tuteur de tous ses frères et soeurs issus du mariage de feu Antoine Deserre et Maturine Bellanger, son épouse, à Louis Bellanger, seigneur du fief de Bonsecours.

Doc #: 17040630PA004357

[NI01270] Fille du roi.

[NI01285] Aussi prénommé Philippe.

En 1908, il demeurait sur la rue Alma (aujourd'hui Notre-Dame) selon le registre de la collecte de l'Église Notre-Dame, auprès des paroissiens.

[NI01291] Inhumée au cimetière de Notre-Dame, à Hull.

[NI01292] La famille demeurait, en 1892, sur la rue du Pont (aujourd'hui Eddy).

Aussi prénommé Urgel et Eugène dans certains registres.

Il apparaît dans le recensement de la ville de Hull en 1871.

[NI01302] Aussi appelée Billerot.

[NI01313] Il était co-seigneur de la paroisse St-Charles.

Le couple a eu 15 enfants.

Guillaume établit sa famille à Saint-Jean de l'Isle d'Orléans mais vers 1680, il se fit concéder le fief de la Pointe-au-Foin à Saint-Thomas-de-Montmagny qu'il vendit quelque temps avant son décès en octobre 1699 alors qu'il était agé de 80 ans.

Le patronyme Fournier découle du métier de fournier et de fournaire qui désignait anciennement le boulanger et la fournerie désignait l'art de faire le pain.

[NI01315] Co-seigneur de la paroisse St-Charles.

[NI01317] Mon 10ième arrière-grand-père.

[NI01319] Il était apothicaire.

ANCÊTRE DU CARDINAL BÉGIN ET DU FRÈRE ANDRÉ.

A la date du décès de Louis Hébert, la colonie compte 55 habitants et la ville de Québec en a 18.

Louis Hébert est né vers 1575 dans la région parisienne. Il était le fils de
Nicolas Hébert et de Jacqueline Pajot. Il exercera, comme son père, le métier
d'apothicaire. Nicolas exerçait sa profession à St-Germain-des-Prés (Paris). Jacqueline décéda vers l'an 1580 et Nicolas quitta également ce monde vers l'an 1600.

Jean de Biencourt fondera Port-Royal (Acadie) en 1605. Louis Hébert y viendra l'année suivante.

Il avait préalablement marié Marie Rollet en 1602, à Paris. Elle était de Paris et avait un frère nommé Claude. Après la mort de Louis, Marie mariera Guillaume Hubou en 1629.

Après avoir fait quelques voyages dans le Nouveau monde et exploré une partie du continent, il décida de s'y installer. C'est ainsi qu"il arrive à Québec le 15 juillet 1617, accompagné de son épouse et de trois enfants (Guillaume, Guillemette et Anne). Il sera le premier à cultiver la terre et y vivre de ce qu'elle
produisait.

Louis devait quitter définitivement ce monde le 23 janvier 1627, mort écrasé par un arbre. Son seul fils, Guillaume, maria Hélène Desportes. De leur union est né un seul fils qui ne laissa aucune progéniture.

C'est donc d'autres origines qui donnèrent naissance à la grande famille des Hébert d'Amérique.

Michel Hébert, dit Laverdure, vint au Canada un peu avant 1670. Il faisait partie du régiment de Carignan. Le 1er septembre 1670, il épousa Anne Galais à Québec. Michel était le fils d'Antoine et de Jeanne Leroy de Saint-Médéric-de-Paris.

Jean Augustin Hébert, dit Jolicoeur, originaire de Caen, en Normandie, est arrivé à Montréal en 1641. Marié à Adrienne du Vivier avaient trois enfants: Jeanne, Léger et Ignace. Leurs deux fils se marièrent et eurent une progéniture nombreuse. On leur compte vingt-et-un fils. La plupart des québécois descendent de cette lignée.

Thomas Hébert, dit Larose, originaire de Saint-Omer, diocèse de Bayeux, en Normandie, vint également au Canada. Il était le fils de Thomas Hébert et d'Elisabeth L'Homme. Le 7 février 1679, il se maria avec Barbe Benoît à Boucherville et ils eurent 5 filles et un fils (Jean-Baptiste).

François Hébert, dit Lecompte de Roussy, était marié à Anne Fauconnier et étaient originaires du Mont Saint-Aignan, près de Rouen, en Normandie. Il vinrent au Canada en 1654 avec leur fils Nicolas. Ils eurent cinq autres enfants dont trois fils.

Antoine Hébert, dit l'Espérance, était originaire de Creuilly, diocèse de Caen, en Normandie. Il épousa en 1701, à Québec, Marguerite Gonthier, fille de Bernard Gonthier et de Marguerite Paquet.

A travers les âges, d'autres Hébert virent renforcer les rangs de cette famille nombreuse en terre d'Amérique et perpétuer le nom du plus célèbre d'entre eux, celui qui est condidéré comme le premier colon du Nouveau monde et qui, ironiquement, n'aura pas eu de descendance.

[NI01322] Louis fut assasiné par la bande de Louis Thomas Chabert de Joncaire, aux environs d'Albany dans l'état de New-York, à l'été de 1709 (Sodus Bay à l'est de Rochester, près du lac Ontario).

Il travaillait, tout comme sa soeur, Elisabeth dit La Chenette, en tant qu'interprète au cours de la traite des fourrures, à New-York et en Pensylvanie.

[NI01328] Son nom s'écrit aussi ainsi: Hélie.

[NI01329] Jeanne était une "fille du roi".

[NI01330] ANCÊTRE DE MONSEIGNEUR TANGUAY.

[NI01334] ANCÊTRE DE SIR LOUIS HIPPOLYTE LAFONTAINE.

[NI01337] dit Laframboise.

Il était interprète pour le Roi dans la langue Outaouaise.

[NI01338] dit St-Cerny. Aussi St-Sorny.

[NI01350] Il apparaît dans le recensement de la ville de Hull en 1871.

[NI01352] Il demeurait sur la rue du Pont (Eddy) en 1908.

[NI01363] Elle était la filleule de Samuel de Champlain.

[NI01365] Médard Chouart Sieur Desgroseillers.

Il était pilote. Général de la flotte des Outaouais.

Au recensement de 1666 on écrit son nom Thouart et Chouart, entre parenthèses. La famille habite Trois-Rivières, avec Guillaume Veron, le fils du premier mariage de Marguerite. Ils ont un domestique engagé du nom de Jean Bivreau, 18 ans.

[NI01366] Il est possible que le frère Dominique Scot, mentionné dans les Relations des Jésuites, soit un fils de Abraham Martin dit l'Ecossais (the Scot). Il est allé dans le pays Huron (aux environs de 1634-35).

[NI01375] dit Champagne.

[NI01376] 30 Mars 1720 (Qc)

Barbel, J. (1703-1740)

Observation: Acte sans intitulé.

Compte que rend Paul Cartier et Agnès
Cloutier, son épouse, de la côte de Beaupre,
paroisse de Saint Joachim, épouse antérieure de
Joseph Fortin, au nom et comme tutrice des
enfants mineurs issus de son mariage avec ledit
défunt, à Joseph Fortin et René Cartier et
Agnès Fortin, son épouse, tant pour eux que
pour leurs autres cohéritiers.

Doc #: 17200330PA000729

[NI01378] dit Saint-Jean et dit Boisverdun.

Charpentier de navires.

Au recensement de 1666 il habite avec sa femme, sans enfants, à l'île d'Orléans.

[NI01380] Il était maçon de son métier.

Seigneur de Bonsecours.

Il devint capitaine de milice de la côte de Beaupré et reçu, le 1er juillet 1677, la Seigneurie de Bonsecours (L'Islet).

Au recensement de 1666, il habite Beaupré et la famille a deux domestiques engagés; Noël Mureau, âgé de 24 ans, et Georges Tassé, 26 ans.

[NI01381] Au recensement de 1666 son nom est écrit Dion.

[NI01387] Un acte du notaire Abel Michon, daté du 21 avril 1741, mentionne que le couple a fait transporter sa maison de la Rivière-du-Sud sur le bord du fleuve et que le travail confié à Antoine Dandurand dit Marcheterre a été bien exécuté.

[NI01389] Il était charpentier.Claude était charpentier.

[NI01390] dit Durbois.

Au recensement de 1666, la famille habite à Sillery. Elle a un domestique engagé du nom de Tucal Cotin, âgé de 19 ans.

[NI01394] Baptisée le 30 janvier 1625.

[NI01396] ANCÊTRE DE THOMAS CHAPAIS, GEORGES-ETIENNE CARTIER, FRANÇOIS NICOLAS, un patriote de 1837 monté sur l'échaffaud le 15 février 1839, ET DE LOUIS FRÉCHETTE, poète.

[NI01397] Ou Millot.

[NI01400] dit Despatis.

Son nom s'écrivait aussi Froget.


Nicolas Forget, dit Despatis, était le fils de Paul Forget et de Nicole Chevalier, de la paroisse Notre-Dame d’Alançon, en Normandie.


Le 6 février 1653, Nicolas Forget dit Despatis se mariait avec Madeleine Martin qui était âgée d’environ 13 ans. Elle était la fille d’Abraham martin et de Marguerite Langlois. C’est le père Jérôme Lallemant qui célébra le mariage à Québec. Par son contrat de mariage, il recevait dix arpents de terre situées là où aujourd’hui s’étendent les Plaines d’Abraham.

Il se livra au commerce des fourrures et alla habiter au Mont Royal où il obtient des concessions de terre. Il pratiqua dès lors des activités mixtes, tantôt au niveau de l’agriculture, tantôt au niveau du commerce des fourrures.

Le 6 avril 1680, il mourut à Repentigny et fut inhumé à Lachenaie. Il laissait sept enfants sur les huit qu'ils ont eu.

Trois fils mariés laissèrent une nombreuse descendance qui perpétuèrent ainsi le nom de Forget-Despatis à travers l’Amérique.

[NI01403] Huissier.

xxx

[NI01405] Il portait aussi le nom de Dumay.

[NI01434] Elie est un "guess", dans mes recherches on me le donne comme étant le fils de Wilbrod (comme le père de Wilbrod, Elie).

[NI01439] Dans un registre, on inscrit sa date de naissance comme étant le 5 juin 1869.

Napoléon est le parrain de Wilbrod Scott, fils de Appolinaire (Appoline) lors de sa confirmation le 1er juin 1896, à l'église Notre-Dame de Hull.

[NI01440] Elle fut baptisée sous le nom de Appolinaire Lacoste.

Dans un registre on indique le 22, et non le 21, février 1862 comme date de naissance.

[NI01441] Inhumé au cimetière Notre-Dame de Hull.

[NI01442] dit Languedoc.

Il demeurait sur la rue Champlain, à Hull, au moment de son décès.

Les enfants semblent tous avoir adopté le nom de Lanctôt plutôt que Lacoste, selon les registres.

La famille a habité à deux endroits; Saint-André Avellin et Montebello.

De 1853 à 1855, ils ont habité à Saint-André Avellin. C'est là que Mélina, l'aînée, est née, en 1855. Ils ont ensuite déménagé à Montebello.

De 1856 à 1862, ils ont habité à Montebello. L'endroit où sont nés; Joseph Calixte, en 1856, Marie, en 1858 et Thomas en 1860.

De 1862 jusqu'au moins en 1874. Retour à Saint-André Avellin où sont nés; Appolinaire (Appoline), en 1862, Georgiana, en 1865, Julie Louise Lumina, en 1867, Napoléon en 1870, Norbert, en 1872, Cléophas, en 1874 et Philémon, vers 1876.

Sept enfants sont décédés à Hull ou Ottawa.

[NI01443] Les ancêtres des Demers sont les Dumay et Dumet(s).

[NI01444] Baptisée à Notre-Dame de Hull.

[NI01446] Baptisé à Notre-Dame de Hull.

[NI01447] Baptisée à Notre-Dame de Hull.

[NI01457] Il est inhumé dans le lot numéro 5 au cimetière Notre-Dame de Grâce à Hull. Ai aussi 7 novembre comme date de décès.

[NI01458] Décédée à l'âge de 13 mois.

Inhumée dans le lot numéro 5, section A.

[NI01459] Au moment du décès il demeurait au 91 rue St-jacques, Hull, Québec.

Il est inhumé au cimetière de Notre-Dame de Grâce, de Hull, dans le lot numéro 1202.

[NI01464] Au moment de son décès la famille habitait sur la rue Champlain, à Hull.

[NI01465] Il est inhumé dans le lot numéro 5.

Sa famille demeurait au 121 Champlain au moment de son décès.

[NI01483] 6 Avril 1693 (Mtl)

Maugue, C. (1677-1696)

Observation: Etienne Cardinal est aveugle et âgé de 30 ans et plus.

Donation de biens; par Etienne Cardinal, à Jean Chevalier et Michelle Garnier, son épouse, de la côte de Lachine, épouse antérieure de Simon Cardinal, son beau-père et sa mère.

Doc #: 16930406PA019639

[NI01499] Il était laboureur.

[NI01501] Il était laboureur.

[NI01504] Il était laboureur.

[NI01508] Cottereau.

[NI01510] L'aînée de la famille de Thomas et Madeleine.

[NI01524] Anne était une "fille du roi".

Elle possédait une dote de 350 livres.

Elle était veuve de Nicolas Bouchard.

[NI01526] dit le "Gobloteur". Mot dérivé du mot "gobelet" car il était un joyeux drille.

Il fut déserteur (déserter une terre c'est la défricher), scieur de long, charpentier, charbonnier...

[NI01528] Chirurgien à Beauport.

[NI01533] Son prénom s'écrit aussi ainsi: Eloi.

[NI01535] Maçon. Capitaine de milice.

ANCÊTRE DIRECT DE SIR PIERRE LAURENT DAMASE EVARISTE LEBLANC.

[NI01539] Ils ont eu 3 fils et une fille.

[NI01541] ANCÊTRE DE BASILE ROUTHIER.

[NI01548] Il écrivait son nom aussi ainsi: Hoellet et Hoûallet.

[NI01549] Anne était une "fille du roi". Elle était la veuve de Grégoire Hisse, de France.

Elle possédait une dote de 300 livres.

[NI01569] Violée à l'âge de 4 ans par Jacques Nourry, le 9 août 1669. Le 19 août, à trois heures de l'après-midi, il est pendu, décapité, et le corps traîné sur la voirie, la tête mise sur un poteau. Il a versé 300 livres à la victime et ses biens ont été confisqués. (LVLNF, p. 304).

La confiscation des biens est un privilège du seigneur qui a rarement été exercé en Nouvelle-France.

[NI01578] Il portait aussi le nom de Roy.

[NI01590] Au recensement de 1666, ils n'ont pas d'enfants qui habitent avec eux (ou ils n'en ont tout simplement pas) à l'île d'Orléans.

[NI01591] Ou Roy.

[NI01596] D'Ancosse.

[NI01600] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Milloir.

[NI01618] dit Laframboise.

[NI01623] Il était laboureur et a eu 14 enfants.

[NI01631] Il fut ordonné prêtre le 29 décembre 1861.

[NI01644] On l'appelait aussi Elisa.

[NI01659] dit Laframboise.

[NI01660] Seigneur Du Buisson.

Le 4 mars 1634 il reçoit l'arrière-fief du Buisson, de Robert Giffard, seigneur de Beauport. Jean ajoutera ce surnom à son nom d'ailleurs; dit Du Buisson.

En 1653, Jean et Barbe possédaient toujours leur maison en Mortagne lorsqu'ils l'ont cédé à la paroisse.


Si aujourd'hui il n'y a pas beaucoup de Guyon c'est que le nom s'est transformé en Dion.

[NI01663] 8ième arrière-grand-père de mon épouse.

Aussi Beaucher et dit Morency.

Au recensement de 1666 la famille demeure à l'île d'Orléans et elle a un domestique engagé; Pierre Paupin, âgé de 26 ans.

[NI01664] Armurier.

[NI01665] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Milloir.

[NI01673] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Choret.

[NI01674] Il était capitaine de navire.

[NI01676] ANCÊTRE DE MERE MARIANNE (MARIE-ANNE-ESTHER SUREAU DIT BLONDIN)
FONDATRICE DES SOEURS DE SAINTE-ANNE. NÉE EN 1809 ET DÉCÉDÉE EN 1890. ELLE SERA BÉATIFIÉE EN 1999.

[NI01683] Pasquier est aussi Paquet. Dit Paquet.Il s'appelait Pasquier.

[NI01688] Il utilisait aussi le prénom: Hypolite.

Il s'est installé au Michigan et il a combatu lors de la guerre civile Américaine.

Il a changé son nom, intentionnellement ou par accident, de Fortin en Furtaw. Son petit fils, Charles Furtaw, avec qui j'ai eu des contacts ignore comment le nom fut changé mais il souligne que prononcé en anglais Fortin ressemble à Furtaw. De plus, il ajoute que sur son registre miliaire le "i" et le "n" semble former un "u" et un "w". Est-ce là la cause?

Son grand-père s'est ensuite installé à Philadelphie où il a travaillé pour des compagnies de construction de bâteaux.

[NI01692] A noter que l'épouse de François est une Leroux dit Cardinal. Ses ancêtres étaient de la même famille que François.

[NI01700] Il possédait deux maisons sur la rue Notre-Dame à Hull. Il les a vendu à sa petite-fille Eva et à sa petite fille Bella.

[NI01704] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Desrochers.

[NI01705] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Daigneau, Daigneaux.

[NI01717] Elle écrivait son nom aussi ainsi: Esmard. Sur le recensement de 1666 son nom est écrit ainsi; Esnard.

[NI01718] Charpentier.

Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré. Nicolas Daudin est le fermier de la famille Cloutier, marié à Anne Girard, il est âgé de 30 ans tout comme sa femme.

[NI01720] Ma 8ième arrière-grand-mère.

[NI01722] Dans le recensement de 1666 elle est inscrite sous le nom de Vincende Des Varieux.

[NI01723] On dit que Quémeneur (Kemener) est un "dit" nom des Laflamme.

[NI01726] Dit Bonaventure.

[NI01733] dit Ladéroute.

[NI01734] Son prénom est aussi inscrit ainsi dans certains registres: Limbert.

[NI01740] Son nom s'écrit aussi Brion Lapierre.

[NI01746] Il a été engagé dans l'Ouest le 20 mai 1695 et le 28 mars 1714.

[NI01747] dit Labrie.

[NI01748] Son prénom est aussi inscrit ainsi dans les registres: Marie-Josephte.

[NI01749] Il s'est établi dans l'île Jésus.

[NI01750] Aussi Cardinal.

ANCÊTRE DIRECT DU NOTAIRE JOSEPH NARCISSE CARDINAL, patriote de 1837, éxécuté sur l'échaffaud le 21 décembre 1838.

Simon a signé un contrat, à La Rochelle, avec le notaire Demontreau, afin de venir en Nouvelle-France, le 5 juin 1659.

Il a reçu une concession en 1662, ici, en Nouvelle-France. Il était laboureur.

Ils ont eu 7 enfants.

Les ancêtres marandais

Simon Cardinal est né à Marans vers 1619. Il épouse vers
1652, une compatriote, Michelle Garnier qui lui donnera sept
enfants dont Jacques, né à Marans vers 1654 et Jean, né
également à Marans vers 1658. La famille Cardinal arrive en
Nouvelle-France en 1659 sur le vaisseau le Saint-André en
provenance de La Rochelle. Après une période de trois ans à titre
d'engagé à Montréal, Simon Cardinal reçoit, en 1662, une
concession sur le domaine des sulpiciens. C'est à Montréal que
naîtront les cinq autres enfants du couple Cardinal. En 1667,
Simon Cardinal habite au-dessus de la rivière Saint-Pierre et il
possède alors quatre bêtes et huit arpents de terre en culture. En
1675, il acquiert une terre à Lachine où il passe le reste de sa vie.
Simon Cardinal décède à Lachine le 9 août 1679 à l'âge de 60
ans. En 1680, sa veuve épouse en secondes noces Jean
Chevalier à Lachine. Simon Cardinal est l'ancêtre de la grande
majorité des Cardinal de la région de Montréal. Archange
Godbout a rédigé une notice biographique de Simon Cardinal
dans "Les passagers du Saint-André", publié par la Société
généalogique canadienne-française en 1964.

[NI01751] Aussi indiqué 1632 comme année de naissance.

[NI01752] dit Garnier.

[NI01753] Son nom s'écrit aussi Lahaie.

[NI01754] 14 Mai 1717

Adhémar dit Saint-Martin, J.-B. (1714-1754)

(Mtl) Vente d'un emplacement situé sur le niveau de la rue St Pierre; par Jacques
Cardinal et Louise Arrivé, son épouse, de la ville de Villemarie, à Jean-Baptiste Lootman et Madeleine Cardinal, son épouse, de la ville de Villemarie.

Doc #: 17170514PA012203

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17 Mai 1717

Adhémar dit Saint-Martin, J.-B. (1714-1754)

(Mtl) Vente de la moitié d'un terrain situé en la ville de Villemarie et d'une terre située à la côte de Notre Dame de Liesse en l'île de Montréal; par Jacques Cardinal et Louise Arrivé, son épouse, de Villemarie, à Jacques Cardinal et
Jeanne Dugué, son épouse, leur fils.

Doc #: 17170517PA012206

[NI01756] Cordier.

[NI01765] Marchand très prospère.

Dans le recensement de 1666, à Québec, il déclare être fermier. Ils ont un domestique engagé; Mathurin Girard, 20 ans.

[NI01776] Aussi appelé GastonGUAY.

[NI01781] Dit Guy.

[NI01782] dite La Pensée.

[NI01785] Il fut baptisé Nicolas.

Elle était sa troisième épouse. La première fut Thérèse Poirier, mariée le 12 janvier 1681 (8 enfants), la seconde fut Anne Brisson (1 enfant).

[NI01793] Baptisé sous le nom de Le Guet.

Seigneur de Saint-François.


Gaston Guay est né en France le 4 septembre 1630. Il sera baptisé sous le
nom de «Le Guet». Il se marie également en France, vers 1655, avec Jeanne
Prévost, née le 24 septembre 1632. Ils habitent Montreuil-sous Bois, dans la
banlieue parisienne.

Vers 1670, ils décident d'émigrer en Nouvelle-France avec leurs quatre enfants.

Nicolas, dit «Mathieu», est né le 21 mars 1656 à Montreuil. Elisabeth, dite «Marguerite», est née le 8 janvier 1658 au même endroit. François est né vers 1665 et Jean-Baptiste vers 1668.

Finalement, Gaston et Jeanne auront un cinquième enfant, Charles, né à Québec le 7 mars 1673. Philippe Gauthier de Comporté, commissaire des magasins du Roi, en sera le parrain.

Gaston et sa famille s'établissent au Coteau Sainte-Geneviève puis, le 19 novembre 1678, Gaston et Jeanne achètent le fief Saint-François de Charles Aubert de la Chenaye pour un prix de trois mille quatre cents livres. Au recensement de 1681, Gaston et Jeanne possèdent six bêtes à cornes et vingt arpents de terre en valeur.

Gaston décède le 6 janvier 1682 dans sa maison du fief Saint-François. Jeanne prend charge des trois enfants mineurs qui restent. Le 3 décembre 1691 elle vend la terre familiale à son neveu Jean-Baptiste Prévost. Jeanne décédera le 26 avril 1699. Elle est inhumée dans le cimetière de la paroisse Notre-Dame de
Québec.

Les fils de Gaston et de Jeanne se marièrent et eurent de nombreux descendants. Certains d'entre eux portent toujours le nom de Guay, mais d'autres ont adopté Castonguay ou Gastonguay comme patronymes.

[NI01807] 8ième arrière-grand-père de mon épouse.

Au recensement de 1666, la famille habite Sillery et elle a un domestique engagé, Mathieu Chesneau, âgé de 18 ans.

[NI01812] dit Ladéroute.

[NI01828] dit Cardinal.

[NI01829] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Chalifour.

[NI01832] Au recensement de 1666 il demeure avec ses parents et il déclare être charpentier.

[NI01834] Mon 9ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666 il déclare être charpentier.

[NI01835] dit L'Espérance.

Il périt dans une embuscade des Iroquois.

[NI01839] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Follardeau.

[NI01842] Aussi Texier. Et prénommé aussi Mathurin.

dit Laplante.

Soldat de Monsieur De Brouillon.

[NI01843] Soldat du régiment de Carignan. Compagnie Grand'Fontaine.

ANCÊTRE DE ETIENNE PARENT.

[NI01849] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Regnaugt et Renaud.

Il était procureur fiscal à Notre-Dame-des-Anges.

Soldat du régiment De Carignan, compagnie De La Colonelle.

[NI01850] Marie était une "fille du roi".

[NI01851] dit Genat.

[NI01852] dit Montriceau, Moriceau et Mauriceau.

[NI01855] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Philippaux.

[NI01859] Mon 9ième arrière-grand-père.

Dans le recensement de 1666 son nom est écrit ainsi; Gaignon. La famille habite la côte de Beaupré et elle a deux domestiques engagés; Jean Auty, 22 ans, et Thomas Langlois, 20 ans.

[NI01860] Son nom était aussi écrit ainsi dans certains registres: Boudeau et Goideau.

[NI01864] dit L'Ecossais.

[NI01869] Dit Cardinal.

[NI01870] Marie était une fille du roi.

[NI01871] Il était un soldat du régiment de Carignan, compagnie Lafouille.

[NI01876] A l'automne 1693, Elisabeth se noya avec six de ses enfants lors du naufrage du Corossol en route vers Paris.

[NI01877] De St-Georges-de-Rouelley, diocèse D'Avranches, Normandie, France.

[NI01879] De Notre-Dame-de-Rouen, Normandie, France.

[NI01881] Son nom s'écrit aussi ainsi: Renaud.

[NI01884] Ou Busenestre.

[NI01889] ANCÊTRE DU CARDINAL BÉGIN ET DE MGR TANGUAY.

[NI01893] ANCÊTRE DIRECT DE ALBERT LOZEAU ET DU CARDINAL BÉGIN ET DE MGR TANGUAY.

[NI01897] dit Lagrouoyes (Lagroix).

Mon 9ième arrière-grand-père.

Dans le recensement de 1666, la famille habite Beauport. Michel Paul déclare être chapelier. Ils ont un domestique engagé, Jacques Hardy, un chandellier, de 24 ans.

[NI01899] ANCÊTRE DE BASILE ROUTHIER.

[NI01903] Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré, il est prénommé Abraham, comme son père, et son nom est écrit Fizet. Il est charpentier.

[NI01904] Au recensement de 1666 son nom est écrit Suart.

[NI01905] Il était charpentier.

ANCÊTRE DE LOUIS FRÉCHETTE ET DE FRANÇOIS-XAVIER GARNEAU.

[NI01909] Il portait aussi le nom de Grenier.

Au recensement de 1666 il habite avec sa femme, n'ont pas d'enfants, sur la côte de Beaupré.

[NI01910] Au recensement de 1666 on a écrit son nom Vézimard.

[NI01911] ANCÊTRE DE FRANÇOIS-XAVIER GARNEAU ET DE ETIENNE PARENT.

[NI01915] Dit Lavigne et dit Laviolette.

8ième arrière-grand-père de mon épouse.

Premier huissier.

Au recensement de 1666, la famille habite Québec et elle a un domestique engagé, âgé de 35 ans, du nom de François Thibaut.

[NI01917] ANCÊTRE DE LOUIS FRÉCHETTE ET DE FRANÇOIS-XAVIER GARNEAU.

[NI01921] Il écrivait aussi son nom ainsi: Gagné.

[NI01935] Il déclare être menuisier lors du recensement de Québec de 1666.

L'ancêtre naissait à Cugand, à environ 3 kilomètres près de la ville de Clisson, évêché de Nantes en Bretagne.

Son père se nommait Jean Poitras et sa mère Renée Bertin.

On suppose que Jean Poitras serait venu au Canada à titre d'engagé, vers 1664.

Jean Poitras, maintenant âgé de 25 ans, décidait de fonder un foyer. Il jeta son dévolu sur une toute jeune fille âgée de 15 ans, Marie-Xainte Vié; il l'épousait le 27 août 1664, en l'église de Québec.

Lors du recensement de 1666, Jean habitait la ville de Québec avec sa fille et sa femme. Il acheta une terre de 3 arpents en banlieue de Québec, cette même année; il était maintenant qualifié de maître-menuisier. Plus tard il acquérait une terre de 30 arpents à St-Charles, il décida de s'y installer avec sa famille, sa
femme attendait alors son deuxième enfant.

En 1672, le notaire Romai Becquet, par un contrat passé le 19 novembre 1672, nommait Jean Poitras, "bourgeois de Québec"; l'ancêtre engageait Jean Patenostre comme apprenti, celui-ci travaillait sans rémunération; il était tout simplement logé et nourri.

En 1679, Marie-Xainte a déjà mis au monde 9 enfants; le couple, afin d'habituer ses 5 garçons aux travaux de la terre, acheta une terre à Lorette et 2 mois plus tard, une autre sur un terrain voisin.

À l'automne de 1680, on le retrace à Côte Geneviève; sa femme accouchait de son dixième enfant, il y habitera pendant au moins 16 ans.

On suppose qu'il possédait un atelier de menuiserie à la basse-ville lors du grand incendie de 1682.

En 1690, les anglais attaquaient Québec ayant à leur tête le général Phipps. Jean Poitras et deux de ses fils en âge allèrent certainement apporter leur contribution afin de défendre la ville.

En 1687, leur quinzième enfant voyait le jour. À leur dix-septième enfant Marie-Xainte, le 15 mai 1691, devait avoir une santé bien précaire, puisque 1 mois plus tard elle retournait à l'hôpital pour y rester jusqu'à sa mort le 28 juillet 1691.

De 1691 à 1694, après la mort de sa femme, Jean Poitras, appuyé de 6 garçons, continue à exploiter ses grandes fermes.

En 1695, il se remariait; Marie-Anne de la Voye, 22 ans, fut sa seconde épouse. En 1696, il décidait de retourner vivre sur ses terres de Lorette. Au recensement de 1699, elle lui avait donné 3 autres enfants.

Au cours du mois d'avril 1711, Jean Poitras et sa famille perdirent tout ce qu'ils possédaient dans l'incendie de leur maison.

Cette même année une épidémie de fièvre s'abattit sur la ville; Jean Poitras mourut à l'âge de 71 ans, à l'Hôtel-Dieu de Québec, après 8 jours d'hospitalisation.

Tragique coïncidence, Marie-Anne de la Voye décédait le même jour, de la même année, elle n'avait que 38 ans.

Parmi leurs enfants, du premier mariage, 3 perpétueront le patronyme; du second, 1 seul transmettra le nom de Poitras jusqu'à nous.

[NI01936] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Vié.

[NI01937] ANCÊTRE DU CARDINAL LÉGER.

[NI01945] 8ième arrière-grand-père de mon épouse.

Au recensement de 1666 son nom est inscrit ainsi: Maufé. La famille habite soit St-Jean, St-Michel ou St-François et elle a deux domestiques engagés, Jean Le Picq, 27 ans, et Mathurin Moreau, 23 ans.

[NI01947] ANCÊTRE DU CURÉ LABELLE ET DE SIR LOMER GOUIN, lieutenant-gouverneur du Québec de janvier à mars 1929, quand il décéda.

[NI01953] ANCÊTRE DU CURÉ LABELLE.

[NI01955] Dit Laverdure.

Soldat du régiment De Carignan.

[NI01956] Ursule était une "fille du roi".

Elle avait une dote de 300 livres.

[NI01957] ANCÊTRE DU CURÉ LABELLE.

[NI01963] ANCÊTRE DE ETIENNE PARENT.

[NI01967] Il était huissier.

ANCÊTRE DE ETIENNE PARENT, OCTAVE CRÉMAZIE, SIR FRANÇOIS CHARLES STANISLAS LANGELIER.

[NI01977] ANCÊTRE DE ALBANI ET DE NARCISSE CARDINAL.

[NI01980] Son nom était aussi inscrit ainsi dans un registre: FLEURENCE CANTON.

[NI01983] dit Cardinal.

[NI01985] Il était notaire royal.

[NI01986] Son nom a aussi été inscrit ainsi, par M. Perot, dans l'acte de mariage: Anne-Marie Phansèque, selon l'acte de mariage. Le notaire Basset, au contrat, a hésité entre Fannexe, Vannexe et Fanexe. Plus tard le greffier Pierre Cabazié écrira Vandzaigue. Anne-Marie ne savait pas écrire donc elle n'a pas apporté de solution au problème. Il y a aussi Vanzègue et Vanzaigue. Aussi Marie Anne. On prétend qu'Anne-Marie ne savait pas écrire alors le problème ne fut pas corrigé par l'intéressée.

Voici les différentes façons dont son nom fut écrit: Vannexelle, Vanguezègue, Vandesègue, Fanzègle, Fandzègue... Souvent Marianne Vendezègue.

Si on se fit à la prononciation de son nom: Fannexeke et que l'on scinde son patronyme en deux syllables on aura Fanne/xeke qui pourrait être en fait VON SECK ou bien VON ECK. Une vérification dans l'annuaire de l'Allemagne nous confirme que ces noms existent. Elle serait de famille noble et VON en Allemand est l'équivalent de la particule DE en Français, que l'on retrouve dans les noms de noblesse.

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Elle a été reçue à la Pointe St-Charles, en 1673. Anne-Marie "demeurant en la maison des filles de la Congrégation de ce lieu, fille de deffunt Noble homme Christian Fannexe, vivant Cap(e) de cavalerie dans les troupes impériales", selon le contrat, et de Anne-Marie Phananque, de la ville de Hambourg, Allemagne, épouse le 20 novembre 1673 Hubert LeRoux, Mre pelletier, fils de feu Hubert, notaire royal, et de Magdelaine Varnier, de la paroisse de Vitry, diocès de Châlons en Champagne. Le contrat de mariage est fait et passé en la maison des filles de la Congrégation le 7 novembre 1673. Signent au contrat: MM. G. Souart, G. Perot, Z. Dupuy, Pierre Caillé, J. Martinet de Fonblanche, de Brussy, Elisabeth Souart, Marguerite Prud'Homme et Angélique de Sailly. Le marié appose une large et belle signature à son contrat.

La mariée promet d'apporter en habits et linge la somme de cinq cent livres.

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Le 10 mars 1682, un dénommé Antoine Jusseaume réclame de Marianne Fandzegue, la somme 20 livres par accord de désistement de leur contrat de mariage et 4 livres et 2 minots de blé. Cette dernière mentionne qu'elle a offert de payer les 20 livres selon l'accord fait devant Dollier et que Antoine Jusseaume a dit qu'il les jetterait à la rivière. Il a répondu que c'était une blague... Quelques jours plus tard elle épousera Gabriel Cardinal.

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Anne-Marie Phansèque, veuve, épouse le 7 avril 1682 Gabriel Cardinal.

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Le 4 septembre 1683, Anne-Marie eut maille à partir avec Madeleine Delisle, une adolescente de quatorze ans, qui osa l'accuser de lui avoir volé la somme de huit francs en argent. Et cela, "en présence de Monsieur Pérot gouverneur pour le Roi en Cette Isle, le Sieur de Brucy, la damoiselle Son espouze et autres". Par bonheur, la jeune étourdie fut ramenée à la raison par sa soeur Louise et s'excusa disant "que Cest mal apropos et Sans raison quelle a dit et accuzé lad Vandzaigue d'avoir recollé et pris d'elle huit livres En argent (...) et qu'elle la tient pour femme de bien Et d'honneur (...)". L'affaire n'eut pas d'autre suite.

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Le 17 février 1699, Marie Anne Vendezègue est en prison.

xxx

[NI02005] dit Lapointe.

Venu avec La Grande Recrue de 1653.

Il était défricheur et il a eu 2 enfants avec Catherine.

[NI02007] Il est venu en 1661 comme domestique engagé des Sulpiciens.

Ils ont eu 8 enfants.

[NI02008] Fille du roi.

[NI02011] Il est venu à bord de La Recrue en 1653.

ANCÊTRE D'ALBERT LOZEAU.

[NI02013] ANCÊTRE D'ALBANI ET DE SIR WILFRID LAURIER.

[NI02015] ANCÊTRE D'ALBERT LOZEAU.

[NI02024] Ma 8ième arrière-grand-mère.

Xainte s'écrivait aussi Sainte.

[NI02025] Mon 8ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666 Zacharie a 76 ans et son épouse 70 ans. Ils habitent la côte de Beaupré.

Denis Cloustier, menuisier et fabricant de câbles, et son épouse Renée Brière habitent au Perche lorsque leur fils aîné Zacharie naît en 1590; le couple Cloustier- Brière eut huit autres enfants. Originaire de la paroisse St-Jean de Mortagne, dans l’ancienne province du Perche, Zacharie Cloustier, maître charpentier, épouse Xainte Dupont le 18 juillet 1616. Pour Xainte, c’est son
deuxième mariage, étant veuve de Michel Lermusier de la paroisse de Feings; aucun enfant n’est né de cette première union.

Dès juin 1634, suite aux insistances de Robert Giffard, la famille Cloustier s’installe en Nouvelle-France avec leurs cinq enfants. Évidemment, nos deux ancêtres percherons figurent au premier recensement fait en Nouvelle-France dès 1666; à cette époque, les Cloustier habitent Château-Richer.

Zacharie était un homme droit, intègre, consciencieux. Grâce à son ardeur au travail et à son initiative, il a su mettre à profit ses talents de maître-charpentier, marquant ainsi les débuts de la colonisation au Canada français. La bienheureuse Mère Marie de l’Incarnation a souvent mentionné le nom de
Zacharie dans ses lettres et elle parla toujours de lui avec respect et évidente considération. Bien qu’analphabète, Zacharie passait des contrats chez le notaire et signait d’une marque en forme de hache qui symbolisait son métier.

Robert Giffard concéda à Zacharie Cloustier un millier d’arpents de terre que notre ancêtre nomma son fief: le domaine de << La Clouterie >>.

Zacharie et Xainte eurent six enfants, tous nés au Perche: Zacharie fils, épouse Madeleine Aymart (parfois écrit Esmard); le mariage est célébré à la Rochelle le 4 avril 1648. Jean qui épouse Marie Martin à Québec, le 21 janvier 1648. Xainte, née le 1er novembre 1622 et décédée au Perche en 1632. Anne, * âgée de 10 1/2, épouse Robert Drouin en 1637 à Québec. Charles, qui épouse Louise Morin à Québec le 20 avril 1659. Louise qui épouse François Marguerie à Québec le 26
octobre 1645; en secondes noces, Jean Mignot dit Chatillon le 10 novembre 1648 puis en troisième noces le 3 février 1684, Jean *Matout. Le couple Dupont-Cloutier fut le premier à célébrer ses noces d’or et de diamant au Canada. Le patriarche Zacharie Cloustier est entré dans son dernier sommeil à l’âge de 87 ans tandis que son épouse s’éteint à 84 ans.

Au début de Bytown (aujourd’hui Ottawa), soit durant les années 1826-1830, l’on dénombrait deux familles de Cloutier parmi les pionniers canadiens-français: celle d’Augustin Cloutier et son épouse Ursule Larivière, l’autre de Louis Cloutier et Marie Maillet. Les descendants du Percheron Zacharie Cloutier se sont illustrés sur la scène religieuse, politique, littéraire et artistique. Il y a concentration de Cloutier dans Hull, Ottawa, Papineauville et Masham.

Avec les années, il faut noter que la graphie du patronyme s’est modifiée de Cloustier en Cloutier.

Texte de Monique Larouche-Deparato. Chronique réalisée en collaboration avec la Société de généalogie de l'Outaouais, Inc., parue le 13 mai 1991.

Corrections au texte apporté par Michel Cloutier

* Quoique promise à 10 1/2ans, elle avait plutôt 11 1/2 ans lors du mariage.
* Matteau au lieu de Matout.

[NI02034] dit Lemeine.

[NI02035] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Barbant. et aussi Brabant.

Marie était une fille du roi.

Un document lui donne 1639 comme date de naissance.

[NI02036] Il était maçon.

[NI02041] 9ième arrière-grand-père de mon épouse.

Au recensement de 1666 Pierre habite seul avec sa femme soit dans St-Jean, St-Michel ou St-François.

[NI02052] ANCÊTRE DE BENJAMIN SULTE, historien.

[NI02061] dit Shoentakouani Raizenne.

Dans les environs de 1700 les colons de la Nouvelle-France étaient constamment en guerre avec ceux de la Nouvelle-Angleterre. Nos miliciens effectuaient régulièrement des raids en raquette en hiver contre des villages américains. Lorsqu'ils prenaient des prisonniers ils ne les maltraitaient pas. Au contraire ils les remettaients entre les mains des Sulpiciens et des religieuses de la congrégation de Notre-Dame.

Les familles Raizenne et Stébenne ont pour ancêtres ces petits prisonniers.

Ignace Raizenne et Elisabeth Steben avaient été faits prisonniers au mois de mars 1704 et amenés à Montréal. Ignace était seul de sa famille. Dans la famille Steben ils étaient quatre enfants: Abigail-Marguerite (20 ans), Thérèse-Louise 19 ans), Elisabeth et Joseph, plus jeunes. Ils furent tous baptisés deux ou trois ans après leur arrivée au Canada. Les deux aînés épousèrent des Canadiens-Français. Joseph épousa Marguerite Samson et ils sont les ancêtres de tous les Stében (Stébenne).

L'un des petits-fils d'Ignace fut notaire et pratiqua pendant de longues années dans St-Benoit des Deux-Montagnes. Pendant toute une génération il fut l'homme de confiance de cette région (Histoire des Seigneurs de la Rivière du Sud par l'Abbé A. Couillard Després et Faillon).

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Ignace Raizenne was born Josiah Rising. He was 10 years old when he was
taken captive at Deerfield. He was adopted by the Iroquois at Sault au
Recollect mission of Nouvelle Lorette. He was given the "Shoetakani"
which means "We have removed his welfare" or 'his village has been taken
from him". Later he was baptized by a Sulpician
priest-missionary as "Ignace Raizenne" Ignace Shoetakani Raizenne
chose to stay with the Iroquois.

His future wife Abigail Nims was also taken in by the Iroquois and
baptised as "Touatogouach" (meaning "She draws some water"). She too,
chose to remain with the Iroquois, even though she may have returned to
Deerfield for a short time. Her father was not a captive, but her
mother was, but died enroute.

THus, we now know how these two got their Iroquois names.

[NI02062] Elisabeth Steben dit Touatogouach.

Son vrai nom est Abigail Elizabeth Nims. Elle fut adoptée, par John Stebbins, lorqu'elle fut prisonnière à Deerfield, une fois son père Godfrey décédé. Plus tard elle fut connue sous le nom de Marie Elizabeth Stébenne. Elle est aussi connue sous le nom de Abigail Elizabeth dit Touatogouach Nimbs et Marie Elizabeth Stebbins.

Son nom est aussi écrit ainsi dans un registre: Stobon.

Le 23 septembre 1677, les Abénaquis attaquent les villages de Deerfield et de Hartfield. Ils emmènent 23 prisonniers en Nouvelle-France.

Le 6 octobre 1693 et le 16 septembre 1696, les Abénaquis attaquent de nouveau Deerfield.

L'attaque la plus importante a lieu en mars 1704 alors que Jean Baptiste Hertel de Rouville, à la tête de 250 soldats canadiens et amérindiens, porte un assaut fatal aux habitants de Deerfield. La ville fut incendiée, une cinquantaine d'habitants furent tués et 111 prisonniers sont emmenés en Nouvelle-France. Parmi les prisonniers, des femmes et des enfants en majorité, soixante ont été libérés à la faveur des traités tandis que les autres se sont établis volontairement au Canada, dont notre ancêtre Elisabeth..

[NI02063] Son nom fut francisé en Jean Raizenne.

[NI02065] John servit en tant que soldat à Springfield.

Il fut le seul survivant du massacre de Bloody Brook, le 18 septembre 1675.

He was a cordwainer, probably the ancestor of all the names in the
country; is first heard of as a "lad" at Nhn., Sept. 4, 1667; was in the Falls
fight, May 19, 1676; he bought land here in 1674, and was among the
earliest permanent settlers; in 1692 he bought No. 27, and in 1694 No.
28; these two lots united became the Nims home lot; it has never been out
of the family, and is now held by Mrs. Eunice K. Nims Brown; a house
was burned on this lot Jan. 4, 1693-4, and a step-son of Godfrey
perished in the flames; another was burned here in 1704, in which three
children were lost and family was nearly exterminated on that bloody
morning; he died soon afterward and the inventory of his estate was taken
Mar. 12, 1704-5.

[NI02066] Tuée lors de la longue marche vers Québec.

[NI02067] Aussi Durocher. Dit Frappe et dit Lafleur.

[NI02096] Elle était Métisse.

[NI02097] Il était fermier.

He had a scrip application: on 23 June 1875 St.Boniface, Manitoba,: Jean Baptiste Charbeanneau; St.Boniface; farmer; Original white settler from Boucherville, PQ; settled RR 1815; Born: 25 Dec 1797; Boucherville, PQ; Father:
Joseph Charbeanneau (French Cdn); Mother: Marguerite Lamoureax (French Cdn); French; Jean Baptiste Charbonneau (x); 23 Jun 1875; Augustin Carriere (x); St.Boniface; labourer; Joseph Poitras (x); labourer(MBS, C-14926.).

[NI02099] Catherine est une "fille du roi".

[NI02106] dit Lafleur.

[NI02107] Catherine était une "fille du roi".

[NI02108] Il était un soldat du régiment de Carignan, compagnie de Maximy.

[NI02114] Il portait aussi le nom de Brisebois.

[NI02118] Aussi Girardy dit Sansoucy.

[NI02119] Charlotte était une "fille du roi".

Elle possédait une dote de 350 livres.

[NI02126] ANCÊTRE DE SIR LOMER GOUIN, lieutenant-gouverneur du Québec de janvier à mars 1929, mois où il décéda.

[NI02130] dit Larente.

Il est venu vers 1666.

Domestique engagé et laboureur.

Ils ont eu 5 enfants.

[NI02132] ANCÊTRE DU CARDINAL LÉGER.

[NI02138] dit Breton.

[NI02139] dite Champagne.

[NI02146] dit Le Loutre.

Il était marin. Dans le recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré. Et celle-ci est inscrite sous le nom de Le Loutre et non Berthelot.

[NI02150] ANCÊTRE DE RENÉ EDOUARD CARON ET DE L'HONORABLE HONORÉ MERCIER.

[NI02162] ANCÊTRE DE HONORÉ MERCIER ET DE SIR EVARISTE LEBLANC.ANCÊTRE DE L'HONORABLE HONORÉ MERCIER ET DE EVARISTE LEBLANC.

[NI02166] ANCÊTRE DE FERLAND, historien, ET DE MGR TANGUAY.

[NI02168] Pierre fabriquait des couteaux. Il était coutelier.

Ils sont venus en Nouvelle-France en 1652.

Au recensement de 1666 la famille demeure à Beauport.

[NI02169] Elle était l'aînée de la famille Guyon.

[NI02181] Le couple a eu 21 enfants...

[NI02183] 11 Janvier 1738 (Mtl)

Comparet, F. (1736-1755)

Observation: Acte endommagé.

Vente d'un emplacement situé au bourg de la Pointe aux Tremble; par Catherine Bazinet, veuve de Jacques Beauchand, de la côte de l'île Jesus, à Jean-Baptiste Cousturier et Marguerite Beauchand, son épouse.

Doc #: 17380111PA022635

[NI02195] Nicolas était maréchal-ferrant.

ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE ET DE SIR CHARLES ALPHONSE PANTALÉON PELLETIER, lieutenant-gouverneur de septembre 1908 à avril 1911.

[NI02201] Michel était Juge et Lieutenant Général de Port-Royal, en Acadie, Nouvelle-Ecosse.

[NI02204] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Comeaux.

[NI02207] Il était laboureur meunier.

[NI02213] Pierre était un soldat du régiment De Carignan, compagnie de Lafouille.

Il est arrivé en Nouvelle-France en 1665 à bord, semble-t'il, du vaisseau St-Sébastien.

[NI02214] Fille du roi arrivé en 1669.

[NI02218] dit Lafleur.

[NI02220] Il était soldat du régiment De Carignan, compagnie De La Motte.

[NI02222] dit Delpée.

[NI02224] ANCÊTRE DE ALBERT LOZEAU ET SIR LOUIS AMABLE JETTÉ, lieutenant-gouverneur du Québec, de janvier 1898 jusqu'en 1903.

[NI02226] Il était médecin à Paris.

[NI02228] dit Lafresnaie.


Guillaume Cousture est originaire de Saint-Godard-de-Rouen, en Normandie, où il est né en 1618. Il est le fils de Guillaume et de Madeleine Mallet.

Il arrive en Nouvelle-France vers 1640. A son arrivée, il se met au service des Jésuites qui lui assurent le gîte et la nourriture. Il exerce ses talents de charpentier et apprend plusieurs dialectes indiens.

En 1642, il participe à une expédition en huronnie en compagnie des pères Isaac Jogues et René Goupil. Ils sont attaqués par une troupe d'Iroquois dans la région du Lac St-Pierre. Au cours du combat, Guillaume tue l'un des chefs indiens d'un coup d'arquebuse.

Capturé, il est torturé sévèrement avant d'être mis en captivité. Il demeure ainsi chez les iroquois pendant 3 ans.

En 1647, Guillaume Cousture s'établit à Lauzon. Le 18 novembre 1649, il se marie avec Anne Aymard à Lévis. De ce mariage naissent dix enfants.

Après avoir servi comme interprète dans diverses expéditions, il est nommé capitaine de milice de la côte de Lauzon, puis juge sénéchal, poste qu'il occupe jusqu'à sa mort le 4 avril 1701.

Ses fils ne porteront pas tous le nom de Cousture. C'est ainsi qu'il est également l'ancêtre des Lamonde, Lafrenaye, Bellerive et La Cressonnière.

[NI02234] dite Gourmelon.

[NI02235] dit Hormelin Laforme.

[NI02236] ANCÊTRE DIRECT DU CARDINAL BÉGIN.

[NI02238] Sieur de Villeneuve.

Au recensement de 1666, la famille habite Québec et elle a un domestique engagé, Antoine Du Cos, 26 ans.

[NI02240] ANCÊTRE DIRECT DE GEORGES ELIE AMYOT ET DE SIR WILFRID LAURIER, DE FRANCOIS-XAVIER GARNEAU, DU CARDINAL BÉGIN ET DE JOSEPH DUQUET.

[NI02245] Aussi De Longueval et De Longueville.

[NI02252] dit Ladouceur.

[NI02259] Pierre était maître-chaudronnier.

ANCÊTRE DU CARDINAL LÉGER ET DU CARDINAL BÉGIN.

[NI02263] Jean-Baptiste était un capitaine de milice.

[NI02273] ANCÊTRE DE FERLAND, historien, ET DE L'HONORABLE HONORÉ MERCIER, premier ministre du Québec.

[NI02283] Arrivé en 1662.

Maçon et habitant, ils ont eu 15 enfants.

[NI02284] Aussi Paule et Paulo.

Fille du roi.

Arrivée en 1663.

[NI02285] ANCÊTRE DE SIR LOUIS HIPPOLYTE LAFONTAINE ET DE JOSEPH-ADOLPHE CHAPLEAU, lieutenant-gouverneur du Québec, de décembre 1892 à février 1898.

[NI02296] dit Bougon.

Pierre était maître-maçon.

[NI02299] dit Tourangeau. Aussi Dasny.

Caporal de la 16e escouade de la milice de Ste-Famille.

Venu avec la recrue de 1653.

[NI02300] Martin était caporal de la 16ième escouade de la Milice Ste-Famille.

Il est venu avec La Recrue en 1653.

[NI02310] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Maupetit.

[NI02311] Son nom s'écrivait aussi ainsi: D'Hazé.


En 1781, Augustin possédait 255 arpents de terre, à Saint-François. Sur celles-ci il y en avait 140 en culture. Il possédait une maison et une grange.

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29 Mai 1741 (Mtl)

Simonnet, F. (1737-1778)

Engagement en qualité de voyageur de Augustin Dazé, garçon voyageur, de l'île Jesus, à Jean-Baptiste Latour, négociant, de la ville de Montreal, rue St Paul, comparant par Jean-Baptiste Grinil, son commis.

Doc #: 17410529PA024576

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9 Novembre 1742 (Mtl)

Coron, C.-F. (1734-1767)

Vente à rente viagère de terre située dans l'île Jesus; par Charles Dazé, premier capitaine de milice et Jeanne Chartran, son épouse, de l'île Jésus, à Augustin Daze, leur fils.

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28 Juin 1758 (Mtl)

Panet de Méru, P. (1755-1778)

Quittance de Joseph Lamalgue de Marin, écuyer et lieutenant d'infanterie, à Augustin Dazé, de l'île Jesus.

Doc #: 17580628PA024138

[NI02324] dit Lépine.

Pierre était capitaine de milice. Tailleur et habitant.

Il a été tué par les Iroquois. Il était venu de La Rochelle en 1657.

Ils ont eu 6 enfants.

[NI02325] Anne a été brûlée vive par les Iroquois.

Elle était une fille du roi.

[NI02338] dit Lafontaine.

Tué accidentellement par son fusil en revenant de la guerre contre les Iroquois.

[NI02340] ANCÊTRE D'ALBANI ET SIR PIERRE LAURENT DAMASE EVARISTE LEBLANC.

[NI02348] ANCÊTRE DU CURÉ LABELLE.

[NI02354] Il était soldat et cordonnier.

Mon 10ième arrière-grand-père.

ANCÊTRE D'ALBANI.

Au recensement de 1666, Vincent et son épouse habitent à Québec avec leur fils Gabriel, et ils ont un domestique engagé, Jacques Roza, âgé de 22 ans.

[NI02362] ANCÊTRE DU CARDINAL BÉGIN ET DE MGR BOURGET.

[NI02372] Aussi Boulé et Boulet.

ANCÊTRE DE THOMAS CHAPAIS.

Au recensement de 1666 la famille habite l'île d'Orléans.

[NI02373] Aussi Grenier.

[NI02374] Aussi Duchesnaux.

[NI02392] dit Lapierre.

[NI02393] ANCÊTRE DE BASILE ROUTHIER ET DE ALBERT LOZEAU.

[NI02397] dit Ménard.

Il était praticien, notaire seigneurial de Boucherville et huissier royal.

En plus d'être greffier et sergent de la seigneurie. Le seigneur Pierre Boucher le révoque dans ses fonctions en 1683, à cause d'un différend. Mais Jacques continue d'exercer sa profession de notaire jusqu'en 1720, il est possible de croire qu'il reçu de l'intendant une commission de notaire royal, pour Longueuil, au Tremblay, Boucherville, Varennes et Verchères.

Il a aussi reçu une commission de huissier et sergent au bailliage de Montréal, le 26 août 1702.

Il possédait la concession numéro 34 de Boucherville mais il la quitta pour la concession numéro 37, le 20 février 1677.

Il aurait eu 95 ans au moment de son décès.

[NI02398] La dot de Marie, par son père, était "en nature". C'était la promesse de celui-ci d'aider son gendre à batir sa maison pièces sur pièces et de nourrir le couple durant les 3 premiers mois de leur mariage.

[NI02399] ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE ET DE L'HONORABLE HONORÉ MERCIER.

[NI02401] Son nom s'écrit aussi ainsi: Tougas dit Laviolette.

[NI02402] dit St-Maurice.

[NI02403] Il était soldat.

[NI02409] Charles est venu s'établir à Saint-François, en 1707.

Il était premier capitaine de milice.

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30 Mai 1707 (Mtl)

Lepailleur de LaFerté, M. (1701-1732)

Bail à loyer et ferme d'une terre située à l'île Jesus; par Isaac Cristin dit Saint Amour, maître cordonnier, de la ville de Villemarie, à Charles Dazé, de l'île Jesus.

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28 Mai 1709 (Mtl)

Lepailleur de LaFerté, M. (1701-1732)

Contrat de bancs; par la Fabrique de la paroisse Rivière-des-Prairies, à Jean Siccard, Jacques Coitteux, François Hogue et Paul Dazé.

Doc #: 17090528PA018891

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6 Février 1723

Adhémar dit Saint-Martin, J.-B. (1714-1754)

(Mtl) Compte arrêté portant obligation par Charles Dazé, habitant et capitaine de milice et Jeanne Chartran, son épouse, de l'île Jesus, à Pierre Derivon de Budemont, écuyer et capitaine d'une compagnie des troupes du détachement de la Marine et Marie Godé, son épouse, épouse antérieure de Charles de Couagne, marchand bourgeois.

Doc #: 17230265PA012476

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7 Avril 1723

Adhémar dit Saint-Martin, J.-B. (1714-1754)

(Mtl) Quittance de Nicolas Perthuys, marchand boulanger et Louise Chauvin, son épouse, de la ville de Villemarie, tant en son nom que comme tuteur des enfants mineurs de feu Joseph Cartier et des enfants de Charles Dazé, à Alexis Lemoyne dit Moniere, marchand, de la ville de Villemarie.

Doc #: 17230407PA012480

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4 Février 1724

Adhémar dit Saint-Martin, J.-B. (1714-1754)

(Mtl) Quittance de Charles Dazé, de l'île Jesus, à Alexis Lemoyne dit Moniere, marchand, de la ville de Villemarie.

Doc #: 17240204PA012574

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28 Septembre 1743 (Mtl)

Coron, C.-F. (1734-1767)

Concession d'un îlet situé dans la rivière des Preries; par le Séminaire de Québec, seigneur propriétaire de l'île Jésus, à Charles Dazé, habitant, de l'île Jesus.

Doc #: 17430928PA023548

[NI02411] Il serait né en 1646. La date présentée est celle de son baptême (octobre 1647).

Mon 8ième arrière-grand-père.

Arrivé à Ville-Marie vers 1667. Il demeurait sur la rue Saint-Gabriel, côté ouest, entre la rue St-Jacques et la rue Notre-Dame.

Il était maréchal et habitant.

Ils n'ont eu qu'un seul enfant.


Paul Dazé, que l'on disait originaire de la ville de Loudun dans l'évêché de Poitiers a été baptisé dans la paroisse Saint-Martin, commune de Ranton le 19 octobre 1647 de l'union de Paul Dazé et d'Anne Qeniot. C'est grâce aux recherches de madame Lucienne Recouppé-Blanchard de la Maison de l'Acadie que nous pouvons maintenant identifier avec exactitude l'origine de ce pionnier arrivé en Nouvelle-France en 1667. En 1668, il est à Montréal ou il est au service de Jeanne Mance. Le 14 avril 1671, Paul Dazé épouse à Montréal, Françoise Goubilleau, née en 1631 à Chaumont en Haute-Marne. Le notaire Basset avait rédigé le contrat de mariage du couple le 12 avril 1671. Établi comme agriculteur à Rivière-des-Prairies, le couple Dazé donne naissance à un seul fils, Paul-Charles en 1673. C'est lui qui assurera la descendance au pays jusqu'à nos jours. Paul Dazé décède à Rivière-des-Prairies le 18 février 1715 et Françoise
Goubilleau s'éteint au même endroit le 10 novembre 1721.

L'historien Robert Larin a rédigé une courte biographie de Paul Dazé dans son ouvrage "La contribution du Haut-Poitou au peuplement de la Nouvelle-France", publié aux Éditions d'Acadie en 1994.

[NI02412] Aussi née en 1638 dans un document.

Fille du roi ou matrone qui accompagnait les jeunes arrivantes?

Arrivée à Ville-Marie en 1670.

[NI02414] Il écrivait aussi son nom ainsi: D'Hasé.

ANCÊTRE DE SIR PIERRE LAURENT DAMASE EVARISTE LEBLANC.

[NI02415] Aussi Luniot selon Drouin.

[NI02418] ANCÊTRE DE SIR PIERRE LAURENT DAMASE EVARISTE LEBLANC.

[NI02422] Il a été domestique chez Pierre Parant, de la côte Notre-Dame des Anges, près de Québec.

Le couple s'est établi dans le Bourg-Royal. Jean Talon avait fondé trois bourgs à Québec; le Bourg-Royal, le Bourg-la-Reine et Bourg-Talon.


Son nom deviendra un surnom: Langlois dit Germain.

[NI02426] Marie-Françoise Stevens était une Anglaise. Son nom réel est Katharine Stevens. Elle fut faite prisonnière en 1689 lors de l'attaque de Pemaquid (aujourd'hui Woolwich, Maine, Etats-Unis).

[NI02432] François était maître-serger.

ANCÊTRE DIRECTE DU CARDINAL RODRIGUE VILLENEUVE ET ANCÊTRE DU CARDINAL PAUL-ÉMILE LÉGER.

[NI02434] dit Lafranchise.

Il était un soldat du régiment De Carignan. Il était laboureur.

Ils sont arrivés à Ville-Marie en 1670.

[NI02436] Gilbert était un soldat du régiment de Carignan, de la compagnie de Varenne.

ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE.

[NI02438] ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE ET DE JOSEPH-MARIE ROBERT.

[NI02442] ANCÊTRE DE BASILE ROUTHIER ET DU CARDINAL LÉGER.

[NI02446] Aussi Quesnevillé.

Il était maître-tailleur, huissier seigneurial et royal, receveur des droits, chantre et bedeau.

Arrivé en 1673. Ils ont eu 11 enfants.

[NI02447] Fille du Roi arrivé en 1673, reçue à la Pointe St-Charles, en 1674.

[NI02450] Il était Maître en fait d'armes.

[NI02451] aussi Loret.

[NI02452] 28 Décembre 1740 (Mtl)

Coron, C.-F. (1734-1767)

Transaction entre Jean Dazé, de l'île Jesus, et Jean Guindon, de l'île Jesus.

Doc #: 17401228PA023203

[NI02457] 4 Novembre 1741 (Mtl)

Coron, C.-F. (1734-1767)

Contrat de mariage entre Jean Labelle, fils de Jacques Labelle et de feue Marianne Lecler, de l'île Jesus; et Marie Dazé, fille de Charles Dazé,
premier capitaine de milice et de Jeanne Chartran, de l'île Jesus.

Doc #: 17411104PA023296

[NI02470] Il est devenu aubergiste à Saint-Vincent-de-Paul, Ile Jésus.

[NI02483] 14 Juin 1744 (Mtl)

Coron, C.-F. (1734-1767)

Vente d'une prairie située dans l'île Jesus à la côte Saint François; par Jean Goudard et Marguerite Renaux, son épouse, de l'île Jesus, à François Queneville, maître farinier, de l'île Jesus.

Doc #: 17440614PA023641

[NI02484] dit St-Louis.

[NI02490] Aussi Filiatreau. Arrivé en Nouvelle-France en 1655.

Scieur de long et habitant.

Ils ont eu 4 enfants.

[NI02491] J'ai aussi Jaquette Genicau comme épouse pour lui au lieu de Jeanne Hérault.

[NI02496] Dans un document il est écrit 1611 comme année de naissance.

Un pionnier de la fondation de la seigneurie de l'Ile Jésus. Première famille à s'y établir avec celle de son gendre Guillaume Label (Labelle), époux d'Anne Charbonneau.

Au recensement de 1681, Olivier possède un fusil, 4 troupeaux et 6 arpents en valeur.

Le patronyme Charbonneau, qui signifie fabricant ou vendeur de charbon (de bois, bien entendu), atteste les origines modestes de cette famille très ancienne dont on a pu retracer une mention en France dès l'an 1130. Au meilleur de notre connaissance, seulement deux colons de ce nom sont venus pour s'établir en Nouvelle-France: le meunier Olivier arrivé en 1659 et Jean vers 1675. Rien
n'indique qu'ils aient été proches parents.

Olivier, veuf de Marguerite Roy, originaire de Marans, en Aunis, aujourd'hui la Charente-Maritime, s'établit à Ville-Marie avec son épouse M.-Marguerite Garnier et leur fille Anne. Il est venu comme «laboureur à bras», c'est-à-dire pour travailler le sol à la bêche, par opposition au «laboureur à la charrue». C'est Champlain lui-même qui nous rappelle dans ses écrits que le pays étant couvert de forêts, le «bêchage» devait souvent tenir lieu de «labourage». Après quelques années au coeur même de Ville-Marie, Olivier va s'établir à la Pointe-aux-Trembles où il se construit un moulin à eau avec son associé Pierre Dagenets. Puis en 1677, sa fille ayant épousé Guillaume Labelle (ancêtre du
célèbre curé Labelle), il s'établit dans la région qui constitue aujourd'hui la paroisse SAINT-FRANÇOIS DE SALES de Laval, dont il devient LE PREMIER RÉSIDENT PERMANENT avec son gendre. Cette paroisse était alors connue sous le nom de l'Île Jésus. Il a quatre autres enfants dont trois fils qui lui assurent une nombreuse postérité. Il meurt en 1687 à l'âge de 80 ans, ce qui place sa naissance vers 1607; il est inhumé à la Pointe-aux Trembles.


Le dictionnaire cité plus haut affirme que 97% des familles Charbonneau que l'on retrouve maintenant répandues un peu partout au Canada et aux États-Unis, mais surtout à Montréal, à Laval, sur la rive sud, dans l'Est ontarien, dans l'Outaouais québécois et même beaucoup plus à l'Ouest, sont des descendants d'Olivier. En effet, dès la deuxième génération, deux fils d'Olivier s'engagent pour servir dans l'Ouest canadien : Michel en 1688 et Joseph le 22 juillet 1698. Ce dernier fait partie de l'expédition organisée par le comte Henri de Tonti pour aller à la recherche de Cavelier de La Salle, à la suite de sa malheureuse tentative de fonder une colonie en Louisiane, en 1684-1685. Quant à la descendance de Michel, à la cinquième génération on trouve ce fameux Toussaint Charbonneau qui, avec son épouse amérindienne Sacajawea, s'est distingué comme guide et interprète de l'expédition américaine de Lewis et Clarke (1804-1806) pour prendre possession de la côte ouest des États-Unis.

Le 20 septembre 1984, marquait le 325e anniversaire de l'arrivée d'Olivier en terre canadienne, événement qui est malheureusement passé inaperçu. Pour éviter que cela se répète à l'occasion du 350e anniversaire à l'aube du XXIe siècle, une Association des familles Charbonneau d'Amérique vient tout juste d'être fondée. Pour tous renseignements, prière de s'adresser au secrétaire, 21-525 bd St-Laurent, Ottawa, K1K 2Z9. Tél. (613)746-9107.

Source: Charbonneau, Dominique-M. Dictionnaire des mariages des Charbonneau. Montréal : Roger et Jean Bergeron, 1973

Texte d'Henri Charbonneau. Chronique réalisée en collaboration avec la Société de généalogie de l 'Outaouais, Inc., parue le 24 février 1994.

[NI02501] ANCÊTRE D'ALBANI, DE THÉODORE ROBITAILLE ET DE SIR PIERRE LOUIS D. EVARISTE LEBLANC.

[NI02502] 21 Mars 1769

Roullet de Châtellier, J.-M.-R. (1762-1781)

(Mtl) Localisation: M620-0009-3080.

Accord entre Suzanne Dazé, veuve de Jacques Label, et François Label, son fils.

Doc #: 17690321PA021494

[NI02503] Au recensement de 1666 la famille habite à l'île d'Orléans.

[NI02509] 18 Juin 1744 (Mtl)

Coron, C.-F. (1734-1767)

Cession d'une terre située dans l'île Jesus à la côte Ste Elzeard; par François Coron, habitant, de l'île Jesus, à Charles Chartran, de l'île Jesus.

Doc #: 17440618PA023643

[NI02510] dit Potvin.

[NI02512] Soldat du régiment De Carignan, compagnie De St-Ours.

Tué par les Iroquois.

[NI02513] dit Roux.

[NI02520] Nicolas était meunier.

[NI02522] Maître-chaudronnier.

[NI02524] Pierre était un maître-chaudronnier.

Il est venu avec le navire La Recrue en 1653.

ANCÊTRE DE ALBANI, DU CURÉ LABELLE, SIR PIERRE LAURENT DAMASE EVARISTE LEBLANC.

[NI02526] dit Avignon. Venu d'Avignon en 1644.

Il est bêcheur. Il est mort noyé.

Ils ont eu 4 enfants.

[NI02531] Elle fut violée, ainsi que Ursule Trud, par Pierre Pinelle, le 17 septembre 1668. Il sera rasé et battu jusqu'à effusion de sang et mis sur un navire en partance pour la France et condamné aux gallaires pour neuf ans. Il fut chanceux de ne pas être pendu. (LVLNF, p. 302).

[NI02538] Michel était un arpenteur.

[NI02542] dit Descôteaux.

ANCÊTRE DIRECT DE BENJAMIN SULTE, historien, DU CARDINAL VILLENEUVE ET DU FRÈRE ANDRÉ.

[NI02544] Au recensement de 1666 la famille habite Trois-Rivières. Le frère de Julien habite avec eux. Ils ont un domestique engagé du nom de Antoine Lescuyer, âgé de 18 ans.

[NI02546] Il était âgé de 55 ans quand, le 4 juillet 1646, devant le notaire Teuleron de La Rochelle, il s'engagea pour venir travailler en Nouvelle-France.

Il vint en Nouvelle-France avec sa femme et ses quatre enfants dont un cinquième vint au monde au cours de la traversée. Il fut baptisé et nommé Jean-Baptiste à leur arrivée. Gilles avait été engagé pour aller travailler à Portneuf, sur la Seigneurie du Sieur de la Poterie. Il devait défricher les terres de la seigneurie; faire les blés en été et scier les pins et sapins l'hiver.

Devant le péril Iroquois, la famille quitta Portneuf pour s'installer aux Trois-Rivières. Le 7 juin 1650, il recevait de Monsieur D'Ailleboust, une concession. Mais la "ville" ne lui plaisait pas. Il vendit sa terre et alla s'installer au Cap de la Madeleine où il acheta une terre le 24 novembre 1652.

Gilles est décédé le 10 mai 1652. Il avait apprit lors de ses derniers jours que son fils aîné, Gilles, était tombé aux mains des Iroquois. Cela tourmenta notre Gilles mais son fils ne subit aucune torture et fut remis en liberté et confié à Monsieur de Maisonneuve.

ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE ET DU CARDINAL LÉGER.

[NI02558] ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE ET DU CARDINAL LÉGER.

[NI02560] Jean a été tué lors du massacre de Lachine, par les Iroquois, le 5 août 1689.

ANCÊTRE DU CARDINAL LÉGER ET VILLENEUVE.

[NI02572] Son nom s'écrit aussi ainsi: Marandeau.

[NI02575] Il a été l'héritier de la terre ancestrale de Saint-Laurent, en partie par donation de son père, en partie par acquisition des part de ses frères et soeurs. Il a aussi acquis, en partie du moins, les droits successifs de la terre de son voisin Claude Salloy.

C'est lui qui a gardé son père durant sa vieillesse.

A l'Aveu et dénombrement de 1725, il possédait maison, grange, étable, 40 arpents de terre labourable et trois en prairie.

Le 20 novebmre 1739, il faisait donation à son fils Jacques (greffe de Pichet).

[NI02582] Son nom est aussi inscrit ainsi dans un registre: Trépanier.

[NI02583] dit Barbarin et dit Grandmaison.

[NI02587] Pierre était un soldat du régiment De Carignan, Compagnie de Contrecoeur.

[NI02591] LVLNF, p. 403

[NI02592] LVLNF, p. 403

[NI02593] Jean était sergent de garnison.

ANCÊTRE DU CARDINAL PAUL-ÉMILE LÉGER.

[NI02601] ANCÊTRE DE LUC LETELLIER.

[NI02603] Son nom est écrit Truau dans le recensement de 1666.

[NI02604] Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré. Elle a deux domestiques engagés; Louis, âgé de 17 ans et Laforest, âgé de 25 ans.

[NI02611] Jean était un caporal.

[NI02613] Il était boulanger et tailleur d'habits.

Au recensement de 1666, la famille habite la côte de Beaupré et ils ont un domestique engagé; Robert Villemourt, un chaudronnier de 23 ans.

[NI02615] Nicolas était un tailleur et un boulanger.

ANCÊTRE DE SIR CHARLES ALPHONSE PANTALÉON PELLETIER, lieutenant-gouverneur du Québec de septembre 1908 à avril 1911.

[NI02624] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Massy.

[NI02631] dit Le Bourbonnois.

Ils ont eu 12 enfants.

[NI02633] ANCÊTRE DE JOSEPH DUQUET ET DU CARDINAL LÉGER.

[NI02637] ANCÊTRE DU CARDINAL PAUL-ÉMILE LÉGER ET DE JOSEPH DUQUET.

[NI02643] dit Lacourse.

Au recensement de 1666 la famille habite à Trois-Rivières.

[NI02645] ANCÊTRE DE SIR LOUIS HIPPOLYTE LAFONTAINE ET DE THÉODORE ROBITAILLE.

[NI02657] dit Jolicoeur.

[NI02659] ANCÊTRE DE FRANÇOIS XAVIER GARNEAU.

[NI02663] dit Lagrandeur.

Il était laboureur et bedeau. Ils ont eu 6 enfants.

[NI02664] dit La Grandeur.

[NI02665] Philippe était un soldat du régiment de Carignan, compagnie De Lafredière.

ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE ET DU CARDINAL LÉGER.

[NI02667] Noble.

Il était capitaine de cavalerie dans les troupes Impériales.

[NI02677] dit Duvernay.

[NI02680] dit La Pensée.

[NI02681] Jean était sergent royal du Bataillon de Montréal. Et habitant.

Ils auront 7 enfants.

[NI02682] Aussi Bouet.

[NI02683] Arrivé en Nouvelle-France en 1665.

Ils ont eu 13 enfants.

[NI02687] Habitant arrivé en Nouvelle-France en 1646.

N'ont eu qu'un seul enfant, car Adrien est décédé un peu plus d'un an après leur mariage.

[NI02695] dit Lestang.

[NI02697] ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE.

[NI02706] dit Baronet.

Venu avec la recrue de 1653. Il était habitant.

[NI02711] ANCÊTRE DE LOUIS FRÉCHETTE.

[NI02718] dit St-Jean.

[NI02719] ANCÊTRE DE BASILE ROUTHIER ET DE LOUIS FRANCOIS RODRIGUE MASSON.

[NI02727] dit de La Bonté.

Marc Semeur est l'ancêtre des familles Semeur, Semur, Samur, Somur, Semur, Samure, Saumur, et Saumure d'Amérique. Il était originaire de France, diocèse de Tulle, autrefois de la province de Limousin.

Il était le fils de Marc Sémur de la Bonté et de Jeanne Labbé.

Il émigra en Nouvelle-France en qualité de soldat. Il appartenait à la compagnie de M. de la Durantaye.

Lorsqu'il abandonna la carrière militaire pour devenir colon et fonder un foyer, il se fixa à l'Ile d'Orléans au Québec. Le 28 juillet 1700, dans la paroisse de St-Jean de cette île, Marc, âgé de 23 ans se mariait avec Marie Mourier, âgée 15 ans. Elle était la fille Jean Mourier et Marie Minaud.

Marc Semeur décéda prématurément à l'âge de 26 ans. Il fut inhumé le 17 mars 1703 à St-Jean de l'Ile d'Orléans. La jeune Marie demeurait seule avec un enfant de quelque semaines. Elle ne se remaria point et devait se consacrer totalement à l'avenir du petit Marc.

Marc est né en 1667 et se maria le 28 juillet 1700 à Marie Mourier. Ils eurent un fils, Marc, né le 6 juillet 1703 qui se maria à son tour le 2 mars 1734 avec Catherine Drapeau. Ils eurent 10 enfants. Catherine, Josephte, Pierre, Genevieve,
Basil, François, Joseph, Amable, Marc et Paul.

C'est ainsi que cette famille prit racine en ce continent.

[NI02729] dit De La Bonté.

Marc était un soldat du régiment de Carignan, de la compagnie de Monsieur De La Durantaye.

[NI02731] dit Verron.

[NI02733] ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE.

[NI02739] dit Laforge.

ANCÊTRE DE JOSEPH DUQUET.

[NI02741] dit Lajeunesse.

Son nom s'écrit aussi ainsi: Pillet.

Il était maître-charpentier.

Il possédait la concession numéro 25 de Boucherville.

Il est l'ancêtre de Ernest Guénette, mon grand-père.

Ils ont eu 7 enfants.

[NI02742] Françoise a fait partie des premiers élèves de l'école-étable de Marguerite Bourgeoys avec sa soeur Jeanne.

Cette étable était située au 50, rue St-Paul Ouest, entre Saint-Sulpice et Saint-Dizier.

[NI02744] Son nom était écrit ainsi dans un registre: Simolan.

[NI02745] Il était maître-serrurier et habitant.

Ils ont eu 8 enfants.

[NI02746] Aussi Cherlot.

Aussi 1626 indiqué comme année de naissance.

[NI02747] ANCÊTRE DE JOS. DUQUET ET DU CARDINAL VILLENEUVE.

[NI02757] ANCÊTRE DU DR JEAN OLIVIER CHÉNIER, LE PATRIOTE DE 1837, tué au cours d'un combat avec les Anglais le 14 décembre 1837.

[NI02759] Mon 9ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666 la famille habite soit St-Michel, St-Jean ou St-François.

[NI02761] ANCÊTRE DIRECT DE LOUIS FRANÇOIS RODRIGUE MASSON, DE LOUIS FRÉCHETTE, DE PAMPHILE LEMAY.

[NI02765] Il écrivait son nom aussi ainsi: Brosseau.

[NI02766] Elle écrivait aussi son nom ainsi: Gaudreau.

[NI02768] Il se prénommait aussi Emery. Et Pasquier, qui veut dire pâturage, est devenu Paquet.

Il était maître-sergetier.

Mon 9ième arrière-grand-père.

ANCÊTRE DE SIR JOSEPH-ADOLPHE CHAPLEAU, lieutenant-gouverneur du Québec, de décembre 1892 jusqu'en février 1898, ET DU FRÈRE ANDRÉ.

[NI02769] Damien était tailleur.

[NI02771] Il écrivait aussi son nom ainsi: Gottreau et Gothereau.

Au recensement de 1666 il habit en banlieue de Québec avec son épouse et il n'a pas d'enfants.

[NI02773] Aussi connu sous le nom de Gaudreau.

[NI02782] Aussi Barbot.

dit Poitevin.

Ils ont eu 8 enfants qu'ils élevèrent avec les 5 du mariage Sire.

[NI02783] Il ne s'est pas marié. Il était un "donné" des Jésuites. Nom attribué à ceux qui se plaçait corps et biens à la disposition des missionnaires, sans pour autant devenir un religieux.

[NI02784] Dans un document son nom est Vincente Rat Beaumont.

[NI02786] dit Grenier.

Dans un document il est écrit comme 1617 année de naissance.

[NI02789] 3 Avril 1755 (Qc)

Genest, A. (1738-1783)

Cession et transport de terres situées au quatrième rang des terres du fief St Augustin, côte St Joseph; par Pierre Beaumont et Marie-Anne Jean, son épouse, du trait carré et paroisse de Charlesbourg, fief de Notre Dame des Anges, à Jean Beaumont, Charles Beaumont et Joseph Beaumont, leurs enfants.

[NI02790] 5 Avril 1756 (Qc)

Genest, A. (1738-1783)

Inventaire des biens de la communauté de Marie-Anne Jean, veuve de Pierre Beaumont, du trait carré et paroisse de Charlesbourg, fief de Notre Dame des Anges.

16 Avril 1756 (Qc)

Genest, A. (1738-1783)

Quittance de René Folardeau et Marie-Madeleine-Véronique Beaumont, son
épouse, de la paroisse de Charlesbourg, Joseph Penisson et Geneviève-Félicité Beaumont, son épouse, de la paroisse de Charlesbourg, et Jean Trudel, veuf de Marie-Anne Beaumont, de la paroisse de Charlesbourg, au nom et comme
père et tuteur naturel de ses deux enfants mineurs, à Marie-Anne Jean, veuve de Pierre Beaumont.

19 Décembre 1756 (Qc)

Genest, A. (1738-1783)

Vente de droits successifs dans quatre terres; par Joseph Penisson, maître farinier et Geneviève-Félicité Beaumont (24 ans), son épouse, à Marie-Anne Jean, veuve de Pierre Beaumont, du trait carré et paroisse de Charlesbourg.

12 Juin 1757 (Qc)

Genest, A. (1738-1783)

Vente de terre située au trait carré de Lauvergne; par Marie-Anne Jean, veuve de
Pierre Beaumont, du trait carré et paroisse de Charlesbourg, à Charles Bedard et
Marie-Josèphe Jobin, son épouse, de la côte St Jérôme, trait carré de Lauvergne, paroisse de Charlesbourg.

[NI02791] Il travailla pour Louis Rouer De Villeray, à Québec.

Il devint fermier à Charlesbourg, avec six arpents de terre labourable à la pioche, une grange et une maisonnette, dans la seigneurie de Notre-Dame-des-Anges.

D'après l'information retrouvée, Vincent Beaumont émigra au Canada vers 1667 ou 1668 suite à une mésentente familiale.

Étant allé à la guerre, à son retrour, Vincent constata que son père avait légué le bien paternel, droit d'aînesse, à son frère plus jeune, Jean, alors il quitta le toit paternel en disant que: "l'on n'entendrait plus jamais parler de lui."...

[NI02794] 2

[NI02795] Filleul de François Bédard.

Il était l'aîné des enfants Beaumont.

On indique aussi le 15 septembre comme date de mariage. Ils ont eu 7 enfants.

Après le décès de ses parents, son père en 1709 et sa mère en 1703, il fut reçu comme pensionnaire et apparenti-cordonnier au Séminaire de Québec, dès le 18 mars 1709. Du 26 octobre 1713 à la fin de novembre 1714, Vincent-François travailla comme engagné à la ferme du Séminaire, située à La Canardière. Puis il émigra à l'Ile Jésus, comme cordonnier.

[NI02797] Aimé était maître-tailleur.

[NI02810] ANCÊTRE DIRECT DE SALABERRY ET DU DR JEAN OLIVIER CHÉNIER, patriote de 1837, tué au cours d'un combat avec les Anglais, le 14 décembre 1837.

[NI02812] ANCÊTRE DIRECT DE SALLABERRY ET DU DR CHÉNIER.

[NI02820] ANCÊTRE DE RENÉ EDOUARD CARON.

Tailleur d'habits.

[NI02822] Simon était charpentier.

[NI02823] dit Letartre.

[NI02827] Pierre était procureur fiscal.

[NI02830] Il arriva à Québec en 1645

Tisserand en toile.

Au recensement de 1666, la famille habite la côte de Beaupré. Elle a un domestique engagé; Michel Bigot, âgé de 24 ans.

[NI02832] Il était un tisserand.

ANCÊTRE D'ÉTIENNE PARENT.

[NI02835] Aussi Fedrey.

[NI02837] Le 5 avril 1702, après le décès de sa mère en 1701 (son père étant décédé en 1687), il fut décidé que la terre de l'ancêtre situé à la Rivière-des-Prairies, reviendrait à Jean.

Il était meunier.

[NI02844] Au recensement de 1666 la famille habite à l'île d'Orléans. Jean est le fermier de Claude Guyon. Ils ont un domestique engagé, François Marceaux, 25 ans.

[NI02845] Au recensement de 1666 son nom est inscrit ainsi: Perrine Terienne.

[NI02846] ANCÊTRE DE LUC LETELLIER.

[NI02850] Il écrivait aussi son nom ainsi: Simard et Symard.

dit Lombrette.

[NI02852] ANCÊTRE DE L'HONORABLE HONORÉ MERCIER ET DE SIR PIERRE LAURENT DAMASE EVARISTE LEBLANC.

[NI02856] Mon 9ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré et Julien déclare être habitant.

[NI02857] Ma 9ième arrière-grand-mère.

[NI02858] ANCÊTRE DIRECT DE L'HONORABLE HONORÉ MERCIER.

[NI02860] Notaire royal et juge.

[NI02862] Il était charpentier.

[NI02864] Aussi De Monmainier dit Jouvent.

Mon 9ième arrière-grand-père.

Il était maître-serrurier.

[NI02865] Ma 9ième arrière-grand-mère.

[NI02870] ANCÊTRE DE RENÉ ÉDOUARD CARON.

[NI02876] Antoine est maître-cordonnier.

[NI02877] Marie-Charlotte était une fille du roy.

[NI02878] ANCÊTRE DU CARDINAL BÉGIN.

[NI02879] Dans un registre son nom est écrit Mergatone.

[NI02890] Menuisier.

[NI02892] Seigneur des Eboulements avec son frère Pierre.

Mon 8ième arrière-grand-père.

[NI02894] Seigneur de la seigneurie de l'Ile-aux-Couldres.

Mon 9ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666 son nom est inscrit ainsi; Estienne Lessard. La famille habite la côte de Beaupré. Ils ont un domestique engagé du nom de Urbain Jobineau. Il a 25 ans.

L'histoire d'Étienne De Lessart s'identifie avec celle des débuts de la paroisse Sainte-Anne-de-Beaupré. En effet c'est sur sa terre que fut construite la première église et c'est également sur sa terre que se trouve l'église actuelle.

Voici ce que nous dit l'abbé Faillon à ce sujet: "L'un d'eux, Etienne De Lessart, homme honorable, offrit en 1658, à Monsieur De Queylus, une terre de deux arpents de front et d'une lieue et demi de profondeur, situé sur sa concession du Petit-Cap...".

Cette première chapelle était bâtie à peu près à l'endroit où est l'église actuelle, mais plus sur le bord du fleuve. Comme elle était trop exposée à être envahie par les eaux, quelques années plus tard, exactement en 1661, on la remonta du côté de la côte, mais toujours sur la terre d'Etienne De Lessart.

Le domaine de notre ancêtre devait être important car on mentionne sa donation comme une chose facile et simple, comme constituant une fraction peu importante de sa terre. Nous constatons d'ailleurs qu'en 1677, le Roi lui concédait la seigneurie de l'Ile-aux-Couldres.

Ses fils furent également choyés de ce côté car les premiers seigneurs des Eboulements furent Pierre et Charles De Lessart. Plus tard ils vendirent leur seigneurie à Pierre Tremblay.

Le premier seigneur de la Pointe-au-Père (une lieue et demi de front) fut aussi Pierre De Lessart.

Notre ancêtre fut en relation constante avec les nobles du pays. Citons, entre autres, Pierre Le Voyer, vicomte d'Argenson, gouverneur de la colonie, qui fut le parrain de Pierre, troisième fils d'Etienne De Lessart.

Etienne, bienfaiteur de l'église Sainte-Anne-de-Beaupré, fut inhumé dans l'église, sur la terre qu'il avait donnée, le 21 avril 1703, à 83 ans.

[NI02898] Il était 1er lieutenant civil et criminel de la Sénéchaussée et Commis des Cent-Associés.

[NI02902] Mon 8ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré et Jean déclare être habitant.

[NI02903] Ma 8ième arrière-grand-mère.

[NI02905] dit Lalime.

Soldat du régiment De Carignan, compagnie de Monsieur De Salières.

Il était marchand et il a eu 12 enfants avec Claude Damisé mais aucun avec Françoise Moisan.

[NI02908] Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré. Elle a un domestique engagé Etienne Mesny, âgé de 22 ans.

[NI02909] Son nom s'écrit aussi ainsi: Cauchon.

[NI02911] dit Labonté.

Il était caporal dans le régiment De Carignan, de la compagnie de Monsieur De St-Jean.

Charpentier.

[NI02930] ANCÊTRE DE FRANÇOIS XAVIER GARNEAU ET DE SIR LOMER GOUIN, lieutenant-gouverneur du Québec de janvier à mars 1929, quand il décéda.

[NI02932] Au recensement de 1666 ils habitent Beaupré.

[NI02933] Aussi écrit Mallin.

[NI02934] ANCÊTRE DE FRANÇOIS XAVIER GARNEAU ET D'OCTAVE CRÉMAZIE.

[NI02938] dit Voisine.

[NI02956] ANCÊTRE DIRECT DE SIR GEORGES ELIE AMYOT, ET DIRECT DE FRANÇOIS XAVIER GARNEAU ET DE SIR LOMER GOUIN, lieutenant-gouverneur du Québec de janvier à mars 1929, quand il décéda.

[NI02964] ANCÊTRE DE THOMAS CHAPAIS, DE F.X. GARNEAU, ETIENNE PARENT.

[NI02970] dit Bezou, La Rose.

[NI02972] Soldat du régiment De Carignan, compagnie De La Tour.

ANCÊTRE DIRECT DE SIR NARCISSE FORTUNAT BELLEAU, lieutenant-gouverneur du Québec, de mai 1867 à février 1873.

[NI02990] dit Chesnaye La Garenne.

[NI02992] ANCÊTRE D'AMBROISE ET DE CHARLES SANGUINET, deux patriotes de 1837 éxécutés sur l'échaffaud, le 18 janvier 1839, ET DE SIR LOMER GOUIN, lieutenant-gouverneur du Québec de janvier à mars 1929, quand il décéda.

[NI02996] Il était notaire Royal.

ANCÊTRE DIRECT D'ANDRÉ GRASSET ET DE CHARLES ALPHONSE PANTALÉON PELLETIER, lieutenant-gouverneur du Québec, de septembre 1908 à avril 1911.

[NI03007] Il était voyageur et cultivateur.

Il a demandé la séparation d'avec Anne-Marie, le 26 janvier 1692.

[NI03013] Dans le recensement de 1666 son nom est écrit Gaignon. La famille habite la côte de Beaupré et elle a un domestique engagé François LaCrois(x), âgé de 25 ans. Pierre déclare être marchand.

[NI03014] Marguerite Gagnon et son époux, Eloi Tavernier, furent cependant les premiers Gagnon à venir en Nouvelle-France à la fin des années 1630.

[NI03017] Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré. Nicolas déclare être habitant.

[NI03019] dit La Rosette.

Il était soldat-tambour dans la compagnie de Villieu des troupes de la marine cantonnée à Naxouat.

Ancêtre des Léger d'Amérique.

[NI03020] dit Dion.

[NI03021] Sieur Des Chesnes.

Héros de la Rivière-Ouelle.

[NI03022] Les De Baillon sont une noble famille Française.

Elle est la descendante de plusieurs rois de France ainsi que du roi Charlemagne.

Les armes De Baillon: de gueules à une tête de léopard d'or bouclée du même.

[NI03030] dit Sémur.

[NI03032] Aussi Saumure.

[NI03046] Elle écrivait son nom aussi de cette façon: Dany.

[NI03054] 16 Mars 1759 (Mtl)

Hodiesne, G. (1740-1764)

Obligation de Pierre Plouf, de l'île Jesus, Jacques Plouf, de l'île Jesus, Augustin Plouf, de l'île Jesus, et Laurent Plouf, de l'île Jesus, tous frères, à Charles Plouf, de l'île Jesus, leur frère.

17 Mars 1760 (Mtl)

Hodiesne, G. (1740-1764)

Vente de terre située en l'île Jesus; par Charles Plouf, habitant, de l'île Jesus, à Jacques Plouf et Augustin Plouf, de l'île Jesus, ses frères.

[NI03055] dit Dubillot.

[NI03060] Au recensement de 1666, Barbe est pensionnaire au collège de Québec, chez les Ursulines.

[NI03066] 22 Février 1720 (Qc)

Barbel, J. (1703-1740)

Observation: Acte sans intitulé.

Convention entre Robert Gaulin, veuf de Elisabeth Letourneau, de l'île Jesus, tant en son nom que comme tuteur des enfants mineurs issus de leur mariage, Jacques Letourneau, habitant, de l'île et comté St Laurans, paroisse de la Sainte Famille, oncle et subrogé tuteur desdits mineurs, Augustin Caron et Marie-Madeleine Gaulin (24 ans), son épouse, de la côte et seigneurie de Beaupre, paroisse de Ste Anne, et Claude Caron, veuf de Marthe Gaulin, de la côte et seigneurie de Beaupre, paroisse de Ste Anne, tuteur naturel de Claude
Caron (mineur), son fils.

Doc #: 17200222PA000725

[NI03068] Recensement de 1666, la famille habite l'île d'Orléans.

[NI03069] Aussi Rocheron dans un document.

[NI03070] ANCÊTRE DE RENÉ ÉDOUARD CARON.

[NI03074] Au recensement de 1666 son nom est inscrit ainsi: Davit Estourneau. La famille habite l'île d'Orléans.

[NI03075] Chapelin, selon le recensement de 1666.

[NI03076] dit Estourneau.

Il était meunier.

ANCÊTRE DE RENÉ ÉDOUARD CARON ET DU FRÈRE ANDRÉ.

[NI03081] Sieur de Mascotterie.

Ils étaient des nobles.

[NI03082] Arrivée à Montréal en 1657.

xxx

[NI03084] dit Lavigne.

Il était un soldat du régiment De Carignan, compagnie de Grand-Fontaine.

[NI03090] ANCÊTRE DE SIR LOUIS AMABLE JETTÉ.

[NI03098] ANCÊTRE DIRECT DE THÉODORE ROBITAILLE ET DU CURÉ LABELLE.


Les frères Robitaille étaient originaires d’Auchy-au-Bois, évêché de Boulogne au
Pas-de-Calais, en France. Ils furent de ceux qui traversèrent l’océan pour
s’aventurer vers une vie nouvelle dans l'espoir d'améliorer leurs conditions.
Ces quatre frères étaient les fils de Jean Robitaille et de Martine Cormont,
d’Auchy-au-Bois.


Une fois arrivés en Nouvelle-France, trois des frères s'installent à Québec. Le quatrième se rend à Montréal où il y trouve épouse.

L’aîné, Jean, épousa à Québec Marguerite Buletez (Bulté), fille d’Isidore et de Louise Pépin également d’Auchy. De leur union naquirent cinq enfants dont quatre fils.

Pierre épousa à Québec en 1677, Marie Maufait (Maufay), fille de Pierre et de Marie Duval. Ils eurent cinq enfants dont trois fils.

Jean-Baptiste épousa Marie-Thérèse Levasseur en 1677 et Philippe épousa le 15 octobre 1693, à Montréal, Madeleine Warren, veuve de Richard Theys. Quatre enfants dont rois fils naquirent de cette union.

Les Robitaille d’Amérique descendent de ces frères Robitaille, venus d’un autre monde chercher l’espoir dans un monde nouveau.

[NI03133] 4 Août 1741 (Mtl)

Coron, C.-F. (1734-1767)

Cession à rente viagère d'une terre située dans l'île de Montreal à la Riviere des Preries; par Jean Ranger et Jeanne Hogue, son épouse, de la Riviere des Preries, épouse antérieure de Pierre Chartran, à Armand Chartran, de la Riviere
des Preries, et Pierre Chartan, de la Riviere des Preries, Paul Loson et Marie Josèphe Chartran, son épouse, de la Riviere des Preries, et Charles Corbeille et Marie-Angélique Chartran, son épouse, de la Riviere des Preries, se faisant et portant fort pour Simon Corbeille et Marie-Louise Chartran, son épouse, de
Chamblie, tous enfants et gendres de ladite
Jeanne Haugue.

[NI03144] Aussi Séderay et Cédéré.

[NI03145] Aussi Mallet.

[NI03147] dit Labossière.

Il était soldat.

[NI03148] Dans un registre; Buron.

[NI03149] Soldat du régiment De Carignan, compagnie de St-Ours.

ANCÊTRE D'ALBERT LOZEAU.

[NI03153] dit Boisdoré. Son nom s'écrivait aussi ainsi: Barbeau.

[NI03157] dit Desnoyers.

Ancêtre de Eméla Gareau, ma grand-mère. Il est mon 9ième arrière-grand-père.

Il était Maître arquebusier, armurier et serrurier. (Il est aussi inscrit comme maître taillandier).

Il possédait la concession numéro 18 de Boucherville.

Jean avait un frère prénommé Guillaume, né en 1646, qui habitait avec la famille de Jean à Trois-Rivières, selon le recensement. Dans un document on croyait que Guillaume était son fils. Jean et Marie n'avaient pas encore d'enfant en 1666.

Au recensement de 1666, Jean écrit son nom ainsi: Jean Bousquet (de Noyon). Il a 30 ans à ce moment-là et il se dit arquebusier, habitant. Son épouse a 16 ans selon le recensement.

Au recensement de 1667, un an plus tard, Jean a 20 ans et son épouse 17 ans...

Au recensement de 1681, Jean a 42 ans, Marie, 29 ans, Jacques a 14 ans, Marie, 11 ans, Marguerite 9, François a 3 ans. Jean possède 1 fusil, 5 bêtes à cornes et 8 arpents en valeur.

Au moment de sa mort, en 1692, Jean avait 10 enfants.

[NI03159] Mon 10ième arrière-grand-père.

[NI03160] Son nom était aussi inscrit ainsi dans un registre: Franchard.

[NI03161] dit La Fortune.

[NI03162] Ma 10ième arrière-grand-mère.

Aussi Banne.

[NI03165] dit Madeleine.

[NI03167] dit Ladouceur.

Il était cordonnier et laboureur.

Ont eu 8 enfants.

[NI03169] Soldat du régiment De Carignan, compagnie De Contrecoeur.

[NI03173] Soldat du régiment De Carignan, il était sergent de la compagnie de M. Delorimier.

[NI03181] dit Le Petit Beauchamp.

[NI03183] ANCÊTRE DIRECT DU DR CHÉNIER.

[NI03190] Voyageur.

[NI03203] dit Ladéroute.


...Major de milice---enterré dans la chapelle des rois

From web url:
http://ftp.cosmos.org/HTML/d0002/g0000097.htm#l15959:

He was the son of Jean-Baptiste Seguin and Genevieve Barbeau. Louis
was a major in the local militia and was a commant of the fortifications at
the mission at Oka. He was a leader in his area and held all the principle
positions of the time. He was a proprietor of four concessions in teh
county of Vaudrueil. The family removed form Oka to Vaudrueil to lot
#49 in 1752. After his death, Marie-Anne deeded the land to the seigneur
or Lord of Vaudrueil on March 23, 1778. This land is now part of the
town of Hudson, Canada. The lot consisted of 60 acres, three by twenty
with 15 acres of tillable land. The rent on the land was three pounds, three
"sols" of silver and two and a half bushels of wheat. Their house on this lot
was 16 feet by 15 feet with a barn 20 feet by 30 feet. Another indication
of Louis' wealth were the four domestic servants they employed which
was rare for this time period. In February 1752, the Marquis de Rigaud,
Louis Franquet, stayed with teh Seguins on his inspection of the
fortification in New France. He was buried in the Chapel of the King at
l'Annonciation church at Oka, Canada. Only three people had this honor
including the priest who founded the mission and his father-in-law, Ignace
Raizenne

[NI03209] Il est venu d'Angleterre, en 1634, avec sa femme et ses quatre enfants. Il s'établit à Roxbury près de Boston. En 1635 il accompagna William Pynchon à l'établissement de Springfield au Massachusset.

[NI03213] Son non est aussi inscrit ainsi: Abigail Steben.

Mariée par un ministre à Deerfield, elle vint par la suite s'établir à Boucherville avec son mari qui était sergent dans la compagnie de Tonti.

Au moment de son baptême voici les témoins:

1. Parrain: le Gouverneur Rigaud de Vaudreuil.
2. Marraine: Madame Marguerite Bouat, épouse de Antoine Pacaud, commis trésorier des deniers du Roi.

[NI03217] dit Chaunière.

[NI03238] dit Marchetière.

[NI03240] dit Lavigne.

[NI03241] dit Denis.

[NI03245] On l'appelait aussi Lucia.

[NI03267] dit Janot.

[NI03271] 2 Juillet 1742 (Mtl)

Coron, C.-F. (1734-1767)

Quittance de Joseph Berthyaume, habitant, veuf de Suzanne Chartran, de la côte Ste-Jeunevieve, épouse antérieure de Michel Barbau, vivant habitant de l'île Jésus, tuteur de ses enfants mineurs, à Louis Paquet, de l'île Jesus, tuteur élu en justice des enfants mineurs desdits Barbau et Chartran.

Doc #: 17420702PA023394

[NI03273] 6 Mars 1743 (Mtl)

Coron, C.-F. (1734-1767)

Quittance de Marguerite Veinne, veuve de Thomas Chartran, vivant habitant de l'île Jésus, à François Chartran, de l'île Jesus, son fils, accepté par le notaire soussigné.

Doc #: 17430306PA023469

[NI03274] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Chartrand.

Il est arrivé vers 1665. Il était cordonnier et domestique engagé puis habitant.

Ils ont eu 2 enfants. Thècle meurt après avoir donné naissance au second.

Il épouse en seconde noce, Jeanne Matou avec qui il aura 8 enfants.

[NI03275] L'aînée de la famille.

[NI03277] dit Rocheron.

[NI03282] dit Descarreaux.

[NI03284] S'appelait aussi Angélique.

[NI03298] Aussi Du Bourg et dite Lachapelle.

[NI03300] Il écrivait aussi son nom ainsi: Filiatro.

[NI03306] dit Tourville Delongchamp. Aussi Des Longs-Champs.

[NI03308] Il était procureur fiscal.

[NI03309] Son nom était écrit Botfait dans un registre.

[NI03312] dit Deslongschamps.

ANCÊTRE DE SIR WILFRID LAURIER.

[NI03318] Aussi écrit Goullet.

Habitant.

Au recensement de 1666, la famille habite Beaupré et ils ont un domestique engagé; François Labattier, 20 ans.

[NI03320] Il est drappier et habitant. Au recensement de 1666 la famille habite l'île d'Orléans.

[NI03329] Il fut tué par les Iroquois.

[NI03337] Il était canonnier, serrurier et arquebusier.

[NI03348] dit Duluth (en raison de la ville d'où proviennent les Huet). Le nom devient par la suite un "dit Dulude".

[NI03349] dit Huault.

[NI03350] Procureur fiscal.

Il possédait le lot no 19 dans la seigneurie de Boucherville.

[NI03351] dit Chicot et dit Cicot.

[NI03352] Il était un bourgeois de la ville de Duluth (d'où le nom Dulude).

[NI03354] Aussi Sicot.

Arrivée vers 1650. Il était habitant.

Ils ont eu 2 enfants.

[NI03355] Arrivée en 1659.

[NI03365] 22 Novembre 1734 (Mtl)

Loiseau dit Châlons, A. (1730-1760)

Echange de terre et d'un arrière-fief situés à Boucherville entre René Boucher de Labruere, écuyer, du bourg de Boucherville; et Jean Chicot, charpentier et habitant et Madeleine Lamoureux, son épouse, de Boucherville.

Doc #: 17341122PA019282

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13 Septembre 1735 (Mtl)

Loiseau dit Châlons, A. (1730-1760)

Vente d'un emplacement situé dans le bourg de Marie-Madeleine Lamoureux, son épouse, de Boucherville, à Zacharie Chicot, voyageur dans les Pays d'en Haut, leur fils.

Doc #: 17350913PA019335

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17 Juillet 1736 (Mtl)

Loiseau dit Châlons, A. (1730-1760)

Vente d'un morceau de terre situé à Boucherville; par Jean Chicot, charpentier et
habitant et Madeleine Lamoureux, son épouse, de Boucherville, à Louis Babin dit
Lacroix, leur gendre.

Doc #: 17360717PA019385

[NI03366] Aussi Gervis.

[NI03368] 17 Septembre 1694 (Mtl)

Maugue, C. (1677-1696)

Observation: L'intitulé stipule bail comme type
d'acte.

Convention entre Marie Bailly et Jean Petit, bourgeois, son époux, de Villemarie, et Jean-Baptiste Lamoureux, de l'île Ste-Marguerite.

Doc #: 16940917PA019735

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19 Novembre 1730 (Mtl)

Loiseau dit Châlons, A. (1730-1760)

Procuration de Jean-Baptiste Lamoureux, habitant, à Marie Garreau, son épouse, de Boucherville.

Doc #: 17301119PA019039

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11 Juillet 1731 (Mtl)

Loiseau dit Châlons, A. (1730-1760)

Contrat d'avancement d'hoiries consistant en trois terres situées en la seigneurie de Boucherville; par Jean-Baptiste Lamoureux, habitant et Marie Gareau, son épouse, de Boucherville, à Joseph Lamoureux (27 ans) et François Lamoureux (22 ans), leurs fils.

Doc #: 17310711PA019079

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[NI03371] dit Joachim.

[NI03372] dit Lafontaine.

Il était premier capitaine de milice.

[NI03375] Nièce de Charles D'Aillebout et arrière-nièce de l'ex-gouverneur de la Nouvelle-France, Louis D'Aillebout.

Fille du roi.

[NI03379] dit Vandamois.

Soldat de Monsieur Daneau de Muy.

[NI03385] Sieur de La Vallée. Aussi Charles Grain Louis.

Capitaine de milice.

[NI03386] dite Bonnet et dite Bouvet.

[NI03390] Soldat De Carignan, compagnie de Loublas.

ANCÊTRE DIRECT DE JOSEPH MARIE ROBERT.

[NI03392] dit Bellerose.

[NI03393] Son parrain était Joachim Reguindeau.

[NI03397] Il est mort noyé.

[NI03407] Il fut le parrain de Jean-Baptiste Gareau, fils de Pierre Gareau, né à Ville-Marie et baptisé à Boucherville. La famille de Pierre Gareau habitait à ce moment-là La Chenaye.

[NI03414] dit Cardinal.

[NI03416] dit Cardinal.

[NI03417] Aussi Bourret.

[NI03421] 7 Février 1751 (Qc)

Crespin, A. (1751-1782)

Quittance de Julien Fortin, de la paroisse de Notre Dame des Eboulemens, à Marie Tremblay, veuve de Julien Fortin, sa mère.

Doc #: 17510207PA001751

[NI03423] 31 Octobre 1750 (Qc)

Crespin, A. (1751-1782)

Vente de terre située en la seigneurie de Beaupré, paroisse de St Francois Xavier dite Petite Riviere; par Marie Tremblay, veuve de Julien Fortin, de la paroisse des Eboulemens, chargée de procuration de Joseph Fortin, François Fortin, Julien Fortin, ses fils, et de procuration de Joseph Baret et Thérèse Fortin,
son épouse, ses gendre et fille, à Michel Lavoys, notaire royal, de la paroisse St Francois Xavier dite Petite Riviere.

Doc #: 17501031PA001731

[NI03424] Etablis à Saint-André-Avellin.

[NI03427] Le parrain était François Lacoste et la marraine Théotiste Young (?).

[NI03430] En 1908 sa veuve demeurait sur la rue St-Cuthbert (aujourd'hui le boulevard St-Laurent), selon le registre de l'Église Notre-Dame, pour la collecte des paroissiens.

[NI03432] Lacoste dit Lanctôt.

Au moment de son décès on l'inscrivit sous le nom de Lacoste.

[NI03433] Il aurait été propriétaire de Pilon Lumber, à Hull.

[NI03434] Parrain; Emery Deschamps, marraine; Elmyre Racicot.

[NI03435] Il s'est établi avec toute sa famille, épouse, enfants et leurs familles, dans un pays de grande misère appelé Petite-Nation, près de la rivière Outaouais, où il y avait 75 autres familles. Louis Joseph Papineau était le seigneur de l'endroit.

[NI03437] Fermier.

Mon 5e arrière grand-père.

[NI03438] Elle est ma 5e arrière grand-mère.

[NI03441] dit Languedoc.

Alexandre était soldat. Il devint l'un des fermiers de Monsieur Le Gardeur.

Il arrive en Nouvelle-France vers 1685 sous le commandement du chevalier Pierre De Troyes.

[NI03444] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Bastide.

[NI03447] dit Lucas.


26 Septembre 1705 (Mtl)

Lepailleur de LaFerté, M. (1701-1732)

Vente de terre située sur le fief appelé Chicouene; par Joachim Loiseau et Anne
Chicouesne, son épouse, de Boucherville, à Guillaume Lacerre dit Laforme, maître chapelier et Angélique Boisseau, son épouse, de la ville de Villemarie.

Doc #: 17050926PA018621

[NI03449] Lucas possédait la concession numéro 12 à Boucherville.

Ils ont eu 5 enfants.

[NI03450] Elle était une fille du Roi, reçue à la Pointe St-Charles, en 1669.

[NI03456] Décédée lors de l'épidémie de typhus.

[NI03457] Décédé lors de l'épidémie de typhus.

[NI03459] Habitant de Longueuil et de Verchères. Cultivateur et seigneur.

Ils ont eu 9 enfants.

[NI03460] Son nom s'écrivait aussi Chrestien.

Fille du Roi, reçue à la Pointe St-Charles, en 1670.

[NI03463] dit Lacroix.

[NI03465] Aussi Richomme et dit Petrus.

Ils ont eu 9 enfants.

Ils avaient un domestique engagé; Pierre Perusseau, 30 ans, en 1666.

[NI03467] Venu à Ville-Marie, veuf, avec son fils Pierre, en 1644.

[NI03470] Veuve, elle est arrivée avec sa fille Marthe Arnu, de La Rochelle, le 16 septembre 1658.

[NI03471] dit St-Germain.

[NI03475] Soldat du régiment De Carignan, compagnie de Contrecoeur.

[NI03478] dit Duchasteau.

Forgeron et chaudronnier.

[NI03480] dit Marsolet.

Au recensement de 1666, à Québec, ils ont deux domestiques engagés tous deux âgés de 20 ans; Pierre Yvellin et Jacques Gautier, un poigneur.

[NI03481] Prénommé aussi Arthur.

[NI03482] Aussi Même.

[NI03484] Il était Maître-charpentier.

[NI03486] dit St-Aignan.

Mon 9ième arrière-grand-père.

Seigneur de Bellechasse et de Saint-Aignant.

Noble. Il serait de lignée royale en France.

IL ÉTAIT INTERPRÈTE DES LANGUES ALGONQUINE ET MONTAGNAISE. Il était Sieur De Saint-Aignant. Il fut tout d'abord interprète lorsqu'il arriva avec Samuel De Champlain en 1613. Puis propriétaire de plusieurs seigneuries dont celle de Bellechasse.

Au recensement de Québec en 1666 Nicolas déclare être bourgeois. Ils ont un domestique engagé, Jean Belleville, 22 ans.

[NI03487] Aussi Labardide et La Baride.

[NI03495] 22 Mars 1732 (Qc)

Barolet, C. (1728-1761)

Quittance de Marie Rousseau, veuve de Charles Jobin, de la ville de Québec, à Jean Jobin, son fils et Joseph Audy, habitant, du village de Charlebourg.

[NI03497] Aussi Ecolière.

[NI03498] 18 Février 1743 (Mtl)

Coron, C.-F. (1734-1767)

Vente de terre située en la censive de la seigneurie de l'île Jesus; par Jacques Labelle et Suzanne Dazé, son épouse, de l'île Jesus, à Joseph Labelle, leur fils.

[NI03499] 31 Janvier 1725 (Qc)

Rageot de Beaurivage, F. (1709-1753)

Contrat de mariage entre Louis Fortin, fils de
feu Joseph Fortin et de Agnès Cloutier, de St
Joachin, paroisse de St Joachin; et
Marie-Dorothée Golin, fille de feu Robert Goslin
et de Elisabeth Letourneau, de l'île et comté St
Laurent, paroisse de la Ste Famille.

Doc #: 17250131PA006594

[NI03501] 19 Octobre 1726 (Qc)

Rageot de Beaurivage, F. (1709-1753)

Contrat de mariage entre François Fortin, fils de Jacques Fortin, habitant et de Catherine Beville, de la Petite rivière de la Baye St Paul, paroisse de St François Xavier; et Marie-Madeleine Tramblé, fille de Louis Tramblé et de feue Marie Perron.

Doc #: 17261019PA006648


23 Mai 1751 (Qc)

Crespin, A. (1751-1782)

Vente d'une part de terre située en la seigneurie de Beaupré, paroisse de la Petite Riviere; par François Fortin et Madeleine Tremblay, son épouse, de la Baye St Paul, à François Peron, de la paroisse de St Francois Xavier de la Petite
Riviere.

Doc #: 17510523PA001808

[NI03502] Aussi Tremblay.

[NI03503] 17 Février 1760 (Mtl)

Hodiesne, G. (1740-1764)

Vente d'une terre située à l'île Jesus; par François-René Plouf, habitant, époux actuel de Marie Robidou, du Sault au Recollet, à Joseph de Ganne, habitant, de l'île Jesus.

[NI03505] dit Desmoulins.

[NI03506] dit Breton.

[NI03507] dit Antaya.

[NI03509] dit Antaya.

[NI03510] dit Ducharme.

[NI03515] dit Lajeunesse.

[NI03516] dit Lajeunesse.

Il était soldat.

[NI03518] dit Des Cardonnets.

On donne aussi 1647 comme année de naissance pour Jean.

[NI03525] dit St-Paul.

[NI03529] Il est arrivé, veuf, avec sa fille Hélène, en Nouvelle-France, en 1663.

[NI03537] dit Vaillant.

[NI03538] dit Le Breton.

[NI03547] dit Tranchemontagne.

[NI03551] Il se faisait appelé Guillaume (William en français).

Dans l'almanach de 1872, de Hull, il y a un Guillaume Scott dit Tassé qui est constructeur de moulin.

Au recensement de 1891, il y a William, 63 ans, millwright, Louise Morin, 58 ans, et Amédée, 25 ans, journalier de scierie. La famille demeure au 187, rue de L'Eglise (aujourd'hui Saint-Jacques):

William a 63 ans, il est donc né en 1828, et il est mill wright (constructeur de moulin).

Au moment de son décès la famille demeurait sur la rue Chaudière (aujourd'hui St-Rédempteur). Sur le certificat de décès William est indiqué sous le nom de Guillaume Scott, âgé de 74 ans, époux de Louise Morin. Il fut inhumé le 2 juin 1902. Etaient présents Onésime Fortin et Ovide Lemieux.

[NI03554] dit Boucher.

[NI03563] Aussi Mailhot.

[NI03565] Dans un registre elle s'appelle Marie Claire.

[NI03567] dit Laviolette.

[NI03569] Son nom apparaît comme Jeanne Rivière, selon un certain généalogiste.

[NI03570] dit Laforce.


[NI03571] Son nom s'écrivait aussi Chiquot et Sicot.

[NI03578] ANCÊTRE DE LOUIS FRANÇOIS RODRIGUE MASSON.

[NI03598] dit St-Jean.

Il était soldat du régiment De Carignan, compagnie de La Fouille.

[NI03601] dit Laserte.

[NI03605] dit Laforest.

[NI03612] dit Adrien.

[NI03616] dit Comptois.

[NI03622] dit Dénommé.

Il est l'ancêtre des familles Dénommé du comté de Huron en Ontario.

[NI03626] Claude est venu en Nouvelle-France en 1666. Lors du recensement de la même année, on le désigne comme étant un artisan fabriquant de cordes.

[NI03659] dit Lanoix.

[NI03660] dit Lanoix.

[NI03668] dit Trempe La Crouste.

[NI03669] dit Trempe.

[NI03675] ANCÊTRE DE BENJAMIN SULTE ET DE PAMPHILE LEMAY.

[NI03681] 25 Février 1730 (Qc)

Pinguet de Vaucour, J.-N. (1726-1748)

Vente de terre située en la côte de Beaupré, paroisse du Chateau Riché; par Charles Auber, habitant, de l'île Jesus, tant en son nom que comme fondé des procurations de François Auber, de l'île Jesus, et de Jean Degerlains et Catherine Auber, son épouse, de la Rivière du Loups, à Pierre Gravel et Marguerite Prieure, son épouse, de la côte de Beaupré, paroisse de Chateau Riché.

Doc #: 17300225PA005477

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28 Février 1732 (Qc)

Barolet, C. (1728-1761)

Quittance de Charles Aubert, habitant, de l'île Jesus proche de Montreal, par ordre verbal de François Aubert, de l'île Jesus proche de Montreal, son neveu, à Louis Gariepy, habitant, de la seigneurie de Beaupré.

Doc #: 17320228PA000067

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[NI03696] Maçon.

[NI03698] François était un maçon.

[NI03706] Il était maître-menuisier.

[NI03708] dit Lafontaine.

Arrivé en 1651.

[NI03709] Aussi Frit.

[NI03722] dit Lamarche.

Louis était un soldat du régiment De Carignan, compagnie De Chambly.

[NI03734] Elle était la troisième épouse du Sieur Février.

[NI03735] Caporal.

[NI03741] Son nom s'écrivait aussi Guyon.

[NI03747] dit Laviolette.

[NI03753] dit St-Jean.

[NI03754] dit Michaud.

[NI03755] dit Saint-Jean.

Il était marchand.

Mon 8ième arrière-grand-père.

Ils ont eu 17 enfants.

[NI03757] Crocheteur au quai, portefaix ou manoeuvrier au quai.

ANCÊTRE D'ALBERT LOZEAU ET DU CARDINAL LÉGER.

[NI03758] Milet aussi.

[NI03760] Elle fut d'abord mariée à Michel Chauvin. Mais le mariage fut annulé car il avait déjà une épouse en France.

En 1692, Anne est une sage-femme. D'ailleurs, le 8 novembre 1692, elle est appelé à agir dans une cause impliquant Marie Brazeau, afin de déterminer si cette dernière est enceinte. (VLNF, p. 259)

Aussi 1632 dans un document comme année de naissance.

[NI03761] ANCÊTRE DIRECT DE SIR GEORGES ETIENNE CARTIER.

[NI03763] CLAUDE AUBER

(1614 - 1694)

Premier notaire royal au Québec

Claude AUBER arriva au Canada le 25 juin 1647 au port de Québec. Il était a bord
de l'Amiral (300 tonnes) ou du St-Sauveur (150 tonnes). Ces vaisseaux faisaient
partie d'une flotte commandée par le capitaine Legardeur Repentigny. Les
traversées, à cette époque, étaient d'une durée d'environ deux mois. Il y avait a bord des deux vaisseaux, 200 passagers dont 142 ont été identifiés. De ce nombre, on identifie Claude AUBER, 32 ans, sa femme Jacqueline LUCAS, 30 ans et leurs fils Felix, 3 ans. Sur la même arrivée, on identifie le notaire Guillaume AUDOUART qui pratiqua jusqu'en 1663 et retourna en France, et le notaire Lambert CLOSSE qui pratiqua de 1651 à 1657. Il était major dans l'armée et un militaire émérite qui mourut en 1662 durant une attaque par les Iroquois. Il y avait aussi Jacques ARCHAMBAULT, sa femme Françoise TOURAULT et ses sept enfants. Il est l'ancêtre des ARCHAMBAULT d'Amérique.


Claude AUBER est natif de Caen, en Normandie, fils de Jacques AUBER et de
Marie LE BOUCHER. Jacqueline LUCAS est native de Ste-Croix de Troarn en
banlieue de Caen où ils se sont mariés en 1640. De la folle aventure en Amérique, aucun contrat, aucun engagement ne peut nous éclairer sur les conditions dans lesquelles il serait venu en Amérique, sauf qu'il serait venu à ses frais et qu'il est issu d'une ancienne famille noble de Caen et Honfleur dont plusieurs membres étaient des hommes de mer et que quelques uns de ses contemporains avaient fait des voyages au Canada avant lui.


A son arrivée au Canada, la population blanche était d'environ 600. La famille
AUBER s'installa à Québec dès son arrivée où Claude fut cité pour la première fois le 8 septembre 1647 comme témoin à obligat. Peu après, il commenca à exercer comme notaire seigneurial dans la seigneurie de Beaupré. Son premier acte date du 28 octobre 1650. Il fut le premier notaire seigneurial de la Côte de Beaupré.


Olivier LE TARDIF lui concéda une terre à Chateau-Richer le 22 mai 1650. La
terre numéro 69 était le 6 arpents de front sur le fleuve avec une profondeur de 126 arpents pour une superficie de 756 arpents, située entre les terres de Jean
GALLERAN BOUCHER et de Jean GUYON DE BUISSON.


Même s'il pratiquait à Château-Richer et qu'on lui avait concédé une terre à cet
endroit, il n'habita Château-Richer que vers 1660 où en plus de sa profession, il
commenca à exploiter sa terre. Il avait 46 ans. Il était parmi les premiers habitants de la Côte de Beaupré à qui Olivier LE TARDIF concéda des terres en 1650 et 1651 et où seront formés les futures paroisses de Notre-Dame de la Visitation à Château-Richer et Notre-Dame du Petit Cap à Ste-Anne de Beaupré.


Il est intéressant de voir la liste des noms de ces pionniers à qui on concéda des
terres: Jean JOLLIET, Macé GRAVEL, François BELLANGER, Simon et Jean
GUYON, Claude AUBER, Marin BOUCHER, Toussaint TOUPIN, Claude BOUCHARD, Etienne LESSARD, Robert GIGUERE, Julien MERCIER, Louis
GAGNIER, Pierre PICARD et Julien FORTIN.


De 1650 à 1663, Claude AUBER fut greffier et notaire seigneurial c'est-à-dire qu'il
ne pouvait pratiquer que pour les seigneurs de la côte de Beaupré. Mais le 23
janvier 1664, le Conseil Souverain le nomma notaire royal pour la Nouvelle France, poste qu'il occupa jusqu'en 1693. Aucun notaire n'a pratiqué aussi longtemps au 17e siècle. Durant cette période, sa profession l'amena à s'impliquer dans des transactions et des contrats concernant quelques unes des grandes familles canadiennes du début de la colonie. Nous citons: Pierre, Guillaume et Marin BOUCHER, Claude BOUCHARD, Toussaint GIROUX, Monseigneur de LAVAL, Monseigneur de TRACY, Etienne et Robert DROUIN, Bertrand CHENAY de la GARENNE, Charles AUBERT de la CHENAYE, Etienne RACINE et sa famille, les Ursulines, Guillaume THIBAULT, Zacharie CLOUTIER, la famille GARIEPY, Macé GRAVEL, Zacharie MAHEUST, Olivier LE TARDIF, Mathurin GAGNON, la famille LANGLOIS et Charles LE GARDEUR DE TILLY.


Claude a fait construire une maison sur la terre qui lui avait été concédée et tout en pratiquant ses nombreuses fonctions, il déclare, au recensement de 1667, 30 arpents défrichés et mis en valeur et 12 bestiaux. A cette époque cette exploitation agricole était assez considérable. Contrairement à la plupart de nos pionniers, il ne déclare pas de fusil. Par contre, il déclare un domestique du nom de Jean BOUTEILLIER dit Têtu, natif de Ré, Aunis, 13 ans. Celui-ci maria Marie MORIN, à Montréal, le 23 juin 1695.


Claude AUBER était un homme peu loquace, imbu de dévouement pour son
entourage et de qui on cherchait les conseils. Il était impliqué dans la vie paroissiale de sa communauté qui voit sa population croître rapidement. Elle passa d'environ 600 personnes en 1647 à 2500 en 1663. On le cite présent à plusieurs baptêmes, mariages et sépultures de ses voisins et amis, accompagné de Jacqueline, sa femme et parfois de ses enfants. Lorsque la première église de Château-Richer fut construite, entre 1658 et 1661, on demanda à Claude de s'occuper de la conduite de l'édification de la bâtisse et en considération de ses services bénévoles, la nouvelle fabrique lui concéda, le premier mars 1662, un emplacement tout près de l'église.


Cet emplacement joint, d'un côté, au nord-est, l'emplacement de l'église et de l'autre coté au sud-ouest, la terre d'Olivier LE TARDIF. Il y a, à un bout, le grand chemin que l'on projette d'établir le long du fleuve (aujourd'hui la route 138). L'acquéreur n'était tenu à aucune charge. Cependant, en considération des besoins de la nouvelle fabrique, Claude s'engagea à lui payer la rente habituelle. Il est probable qu'il n'ait jamais occupé cet emplacement puisqu'il avait sa maison à très peu de distance de là. Il appert qu'il a retourné cette terre à la fabrique.


Il fut nommé juge-prévôt pour la seigneurie de Beaupré par Monseigneur de Laval le 19 octobre 1671. Il démissionna de ce poste en 1676 à l'âge de 62 ans mais pratiqua toujours le notariat. Il avait déjà vendu sa terre à son fils Félix le 29 février 1675.


En 1681, à l'âge de 67 ans, il fut même appelé comme juge suppléant au Conseil
Souverain. Il ne siégea que quelques fois pour remplacer M. LEGARDEUR DE
TILLY, son grand ami depuis son arrivée au Canada.


Charles LEGARDEUR, sieur de TILLY, est arrivé au Canada en 1636 à l'âge de 20
ans. Il fut gouverneur de Trois-Rivières de 1648 à 1650. Membre du Conseil
Souverain en 1663, il fut nommé à vie en 1675. Il était, tout comme Claude, de
Caen en Normandie. Ils étaient du même âge et moururent à un an d'intervalle.
Après la mort des doyens, les deux familles continuèrent l'amitié qui les unissait.


Parmi les amis de Claude fut M. de MEZY, gouverneur de la Nouvelle-France. Il
demanda à Claude de rédiger son testament, le 4 avril 1665, en présence d'amis,
alors qu'il était malade de corps mais sain d'esprit. Il demanda d'être inhumé dans le cimetière des pauvres à Québec et légua des sommes importantes à des institutions religieuses et à des oeuvres de charité. Il légua des sommes importantes à plusieurs personnes de son entourage dont M. LEGARDEUR de TILLY, un ami, à Claude AUBER son notaire et ami ainsi qu'à Félix AUBER, fils de Claude, qui avait travaillé pour le gouvernement avant qu'on lui concède un terre en 1661.


Après avoir vendu sa terre à son fils et avoir démissionné de son poste de
juge-prévôt, il demeura à Chateau-Richer mais pratiquait sa profession et à
Château-Richer et à Québec.


Le 24 août 1680, à l'âge de 63 ans, et après 40 ans de mariage, Jacqueline LUCAS, la femme de Claude, mourut à l'Hôtel-Dieu de Québec. Elle fut inhumée à la Cathédrale basilique.


Quelle belle vie d'amour et de dévouement. En 1647, elle abandonna, pour ne plus y revenir, la vie heureuse et d'aisance parmi les parents et amis de Troarn en France pour l'inconnu et la dangereuse traversée de l'Atlantique, vers un vaste pays à coloniser, avec son mari et son jeune fils encore bébé.


Elle fut une épouse et une mère dévouée. Elle éleva ses enfants dignement, s'occupa de la terre lors des nombreux voyages de son mari à Québec et elle était impliquée dans les activités de sa paroisse et de son village. Durant ses derniers jours à l'hôpital, ses enfants qui habitaient tous la région lui apportèrent, par leur présence, consolation et confort. Elle laissa 40 petits enfants.


Après le décès de sa femme, Claude habitait toujours Château-Richer, probablement chez son fils lorsqu'il fut nommé juge suppléant au Conseil Souverain en 1681. Vu ses voyages fréquents à Québec, dans l'exercice de ses fonctions et vu sa nouvelle nomination, il décida d'y habiter, se rapprochant ainsi de ses trois filles qui habitaient déjà la ville. Son autre fille habitait l'Ile d'Orléans.


Après quelques années de vie active et sereine, le malheur frappa Claude lorsqu'en 1690, à l'âge de 47 ans, son fils unique Félix fut frappé par la mort, laissant 5 enfants en bas âge et sa femme Françoise THIBAULT enceinte. Le plus vieux de ses enfants n'avait que 12 ans. A peine consolé de cette douloureuse perte, à l'automne 1693, sa fille Elisabeth, chez qui il habitait à Québec, se noya avec six de ses enfants lors du naufrage du Corossol en route vers Paris. Ce fut un coup fatal pour notre ancêtre qui fit son dernier acte de notaire le 22 septembre 1693 et s'éteignit le 20 mars 1694. Il fut inhumé dans la cathédrale basilique de Québec où déjà sa femme était inhumée. Ses filles Anne et Geneviève furent inhumées au même endroit en 1728 et 1732 respectivement.


La basilique fut construite en 1633 par Samuel de CHAMPLAIN en partie sur le
site actuel de la basilique. On la remplaça en 1647. La première messe fut célébrée le 24 décembre 1650. En 1744, étant en ruines, on la rebâtit mais peu de temps après, lors du siège de Québec, elle fut incendiée. On la reconstruisit 10 ans plus tard soit en 1768-69. C'est l'église que nous connaissons aujourd'hui.


Claude AUBER prononçait son nom AUBERT, ce qui porta a confusion car dans
plusieurs répertoires et références son nom est épelé parfois AUBER et parfois
AUBERT. L'épellation AUBER disparut dès la troisième génération. Les membres
de la familles qui s'installèrent à l'Ile d'Orléans, Rivière Ouelle, Cap-St-Ignace, La Pocatière et Québec adoptèrent l'épellation AUBERT et les autres membres de la famille qui habitèrent St-François de Sales, Ste-Thérèse, St-Eustache et la province de l'Ontario adoptèrent l'épellation AUBE.


De son mariage avec Jacqueline, notre ancêtre eut un fils et quatre filles. A l'époque, c'était une petite famille. La descendance des filles est beaucoup plus considérable que celle de son fils unique. Par ses alliances, la famille AUBER s'apparente aux THIBAULT, PREMONT, ROBERGE, CHESNAY, CHENIER, BEAUDOIN, LEVESQUE, GARIEPY et autres. Fait assez curieux, Félix était illettré tandis que les filles firent leurs études chez les Ursulines. Dans l'ordre, il y eut: Félix, Marie, Geneviève, Elisabeth et Anne.

[NI03765] Il fut le tuteur des enfants de Ignace Thibaut, veuf de Marie Thérèse Dazé.



23 Octobre 1772

Roullet de Châtellier, J.-M.-R. (1762-1781)

(Mtl) Localisation: M620-0010-1296.

Vente par adjudication d'une terre située en l'île Jesus; par Pierre Quenneville, au nom et comme tuteur des enfants mineurs de Ignace Thibaut, veuf de Marie Dazé, à François-Xavier Mornau.

Doc #: 17721023PA021705



28 Novembre 1772

Roullet de Châtellier, J.-M.-R. (1762-1781)

(Mtl) Etat des dépenses faite par Pierre Quenevil, subrogé tuteur des enfants mineurs de Ignace Thibeau, veuf de Marie Dazé.

Doc #: 17721128PA021709

[NI03769] dit St-Georges.

[NI03771] ANCÊTRE DU FRÈRE ANDRÉ.

[NI03774] Pierre était un aubergiste.

[NI03785] Aussi prénommée Orgéline dans un document.

[NI03789] Sa famille demeurait sur la rue Wall au moment de son décès.

[NI03790] Il demeurait au 159 Dollard, à Hull, au moment de son décès.

Il est inhumé au cimetière Notre-Dame de Grâce, dans le lot numéro 1571.

[NI03791] La famille demeure au 91 St-Jacques au moment de son décès.

[NI03792] Ils étaient le parrain et marraine de Marie Louise Delphina Scott. Marie Louise Delphina était la fille de William et de Mélina. Née le 19 juin 1887 elle fut baptisée à l'église Notre-Dame de Grâce à Hull le 26 juin 1887.

[NI03793] dit Masson.

[NI03794] Ils habitaient un petit château sur la route d'Aylmer.

[NI03795] Sa famille l'appelait Paul.

Il demeurait avec sa famille dans le West-End d'Ottawa, près de la rue Scott.

Cabana a aussi comme dérivés Kavanagh, Cabanac.

[NI03797] Il était fils adoptif.

[NI03878] dit Christie.

[NI03882] Dans le recensement de 1666 Anne est veuve et vit avec ses trois enfants à Beauport. Ils ont un domestique engagé Michel Acoup, âgé de 20 ans.

Date: Fri, 8 Jan 1999 16:14:08 EST


Several years ago there was an extensive thread on the Compuerve forum that
convinced me that Anne MARTIN was not the daughter of Abraham MARTIN. That,
combined with the information in Trudel's Catalogue des immigrants, that she
had arrived in 1635 with her father, Galleran MARTIN, led me to remove any
relationship between Anne and Abraham from my files. (I am still related to
Abraham through his other daughter, Marie.)

Here is the listing from Trudel (sorry about the lack of accents but I wasn't sure how well they would "travel"):

MARTIN, Galleran 56, veuf, decede a Beauport 27 Oct. 1662 et inhume le meme jour a Quebec (serait venu avec la suivante en 1635) MARTIN, Anne, fille du precedent 32, ne signe, marraine 18 juil. 1635 (premiere apparition), epouse le 17
nov. suivant Jean Cote; veuve en 1661; inhumee a Quebec 4 dec. 1684.

I'm attaching a message I had saved that contains some strong arguments. (I
believe it was probably written by Jean-Rene Cote who has studied this issue
so much.) Would love to hear from anyone who has any new finds.



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Forum: The Genealogy Section: Canadian Genealogy
Subj: COTE/MARTIN

Those who are writing that Anne Martin married with Jean Cote was the
daughter of Abraham have no proof of it - It is the same for those who are writing
that Jean Cote was from Mortagne au Perche.

Leon Roy, a major historian published in the " Bulletin des Recherches
Historiques ", Vol. 49 ( 1943, pages 203-204 ) " Anne Martin, epouse de Jean
Cote " or : why Anne Martin was not the daughter of Abraham.

Here is a short abstract of Leon Roy's publication :

Anne Martin and Marguerite Langlois ( Abraham's known wife ) were of the
same age, may be 3 or 4 years difference.

Results of the study of Miss Jeanne Desilets of the Archives of the Province
of Quebec prove that Anne was not the daughter of Abraham Martin.

There is no mention of Anne Martin before 1635. She probably arrived at the
same time than Jean Cote.

The witnesses at the marriage of Anne Martin and Jean Cote were Robert
Giffard and Guillaume Couillard : Abraham should had been there if Anne was his
daughter.

Anne Martin and Jean Cote were never presents or mentioned at the marriage
contracts of Abraham's daughters or at any contract concerning Abraham
Martin..

At the inventory after death of Abraham Martin ( Notary Duquet, october 7,
1664 ) the heritage was for half to Marguerite Langlois and for the other half to
their six children. No mention of Anne Martin marr. with Jean Cote

Marguerite Langlois, widow of Abraham Martin married Rene Branche, feb. 17,
1665 and was buried 10 months later. In a contract between the heirs and
Rene Branche, at Notary Becquet, april 22nd 1666, there is no mention of Anne
Martin .

My conclusion, Robert, is that If those evidences do not satisfied the most
sceptics, it is difficult to understand how some authors may write without
any proof or evidence that Anne Martin was the daughter of Abraham.

[NI03891] Elle est une petite Indienne de Thunder Bay qui a été adoptée à l'âge de dix ans.

[NI03922] dit Larose.

[NI03925] Aristide est un frère Oblat de Marie Immaculée.

[NI03953] J'ai aussi comme date de naissance le 15 juin 1714.

Elle est la soeur de (Suzanne) l'épouse du père (Jacques) à son mari (Jean-Baptiste). Mais Suzanne n'est pas la mère de Jean-Baptiste.

[NI03963] Il écrivait aussi son nom Aubé, tout comme ses descendants.

5 Mai 1742 (Mtl)

Coron, C.-F. (1734-1767)

Vente d'une terre située à l'île Jesus à la côte St-François; par Charles Auber et Geneviève Dazé, son épouse, de l'île Jesus, à Basile Marois, maître menuisier, de l'île Jesus.

[NI04008] Bélisle dit Mantha.

[NI04023] Il est frère du Sacré-Coeur à Timmins, en Ontario.

[NI04030] Le parrain était Joseph Latour et la marraine Marie Lanctôt, de la paroisse Notre-Dame de Hull.

[NI04033] dit Ladéroute.

[NI04038] Aussi Pinault.

[NI04043] dit Ladéroute.

[NI04045] Son vrai prénom est Jean-Baptiste mais dit Charles.

[NI04046] 17 Septembre 1754 (Qc)

Lévesque, N.-C.-L. (1752-1795)

Vente de terre située en la paroisse du Cap St-Ignace; par Pierre Morin dit Valcour et Marie-Madeleine Langelier, son épouse, de la paroisse du Cap St Ignace, épouse antérieure de Louis Fortin, à Jean-Gabriel Hamiot-Duhautmenyl, seigneur de Vincelotte.

Doc #: 17540917PA008525

[NI04059] vip

Née Madonna Louise Veronica Ciccone.

[NI04060] Il meurt écrasé sous un arbre.

[NI04124] 27 Septembre 1715

Adhémar dit Saint-Martin, J.-B. (1714-1754)

(Mtl) Constitution de rente annuelle et perpétuelle par François Coron et Marie Cire, son épouse, de l'île Jesus, à Pierre de Rivon de Budemon, écuyer et lieutenant d'une compagnie des troupes du détachement de la Marine et Marie Godé, son épouse, épouse antérieure de Charles de Couagne, marchand
bourgeois, tutrice de ses enfants mineurs.

Doc #: 17150927PA012057

[NI04148] Aussi Guethier.

[NI04159] 5 Mai 1754 (Qc)

Crespin, A. (1751-1782)

Cession de deux terrains relevant du domaine de Beaupré; par Joseph Boret et Thérèse Fortin, son épouse, et François Fortin et Marianne Paré, son épouse, de la paroisse de Ste Anne, à Joseph Guimon.

Doc #: 17540505PA002346


8 Juillet 1754 (Qc)

Crespin, A. (1751-1782)

Observation: L'acte a été rédigé le 23 juillet
1736.

Dépôt d'une concession de terre qui se trouve entre la rivière au Mort et celle du Nord Est; par le Séminaire de Québec, seigneur de la côte de Beaupré, à François Fortin.

Doc #: 17540708PA002377


8 Juillet 1754 (Qc)

Crespin, A. (1751-1782)

Observation: L'intitulé mentionne la date du 7
juillet 1754.

Vente d'une terre située en la Baye St Paul, seigneurie de Beaupre; par Basile Lavoys et Marie-Jeanne Tremblay, son épouse, de la Baye St Paul, à François Fortin, de la Baye St Paul.

Doc #: 17540708PA002378

[NI04160] 19 Mars 1754 (Qc)

Crespin, A. (1751-1782)

Vente de terre située en la paroisse de Ste-Anne; par Jean-Baptiste Guilmet, de la paroisse de St-Valier, à Thérèse Fortin, épouse actuelle de Joseph Boret, de la paroisse de Ste Anne.

Doc #: 17540319PA002304

[NI04162] Son nom a aussi été inscrit ainsi: Boret.


5 Mai 1754 (Qc)

Crespin, A. (1751-1782)

Cession de deux terrains relevant du domaine de Beaupré; par Joseph Boret et Thérèse Fortin, son épouse, et François Fortin et Marianne Paré, son épouse, de la paroisse de Ste Anne, à Joseph Guimon.

Doc #: 17540505PA002346


20 Mars 1756 (Qc)

Crespin, A. (1751-1782)

Obligation de Joseph Baret et Thérèse Fortin, on épouse, de la paroisse de Ste Anne, au Séminaire de Québec.

Doc #: 17560320PA002683

[NI04167] dit Valcour.

[NI04170] 8 Novembre 1755 (Qc)

Crespin, A. (1751-1782)

Cession et abandon de biens meubles et immeubles; par Antoine Bouchard et Madeleine Symard, son épouse, de la paroisse de St-Francois Xavier en la Petite Riviere, à Antoine Bouchard, des Eboulemen, Noël Bouchard, Michel Bouchard, Pierre Alard dit Barille et Madeleine Bouchard, son épouse, chargé du pouvoir de Pierre Peron et Félicité Bouchard, son épouse, et du pouvoir de Jacques Bouchard et de Joseph Tremblay et Marguerite Bouchard, son épouse, et Joseph Bouchard et Françoise Fortin, son épouse, de la paroisse du Chateau Richer, et de Louis Bouchard, de la paroisse St-Francois Xavier.

Doc #: 17551108PA002603

[NI04173] dit Le Petit Claude.

Il est tailleur d'habits selon le recensement de 1666. La famille habite la côte de Beaupré.

[NI04177] Il était tailleur.

[NI04183] Cultivateur.

Dans le recensement de 1666 la famille habite à côte de Beaupré.

IL EST LE PREMIER SEIGNEUR DES ÉBOULEMENTS, BAIE ST-PAUL.

[NI04190] Aussi Boismé.

[NI04193] Il était capitaine de milice.

[NI04200] Il était notaire royal.


26 Octobre 1758 (Qc)

Fortier, J. (1731-1775)

Vente d'une part de terre située en la paroisse de St Vallier; par Barthélemy Joseph Richard, notaire royal, époux actuel de Marie-Dorothée Fortin, à Marthe Plante, veuve de Louis Fortin, de la paroisse St Vallier, leur belle-mère.

Doc #: 17581026PA003706

[NI04206] Il était le Seigneur De La Fresnaye.

[NI04208] Il était Seigneur De La Fraynois.

[NI04212] dit Bellevance.

Il était Seigneur De La Frenais.

[NI04216] ANCÊTRE DE L'HONORABLE HONORÉ MERCIER ET DE RENÉ EDOUARD CARON.

[NI04218] Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré, ils n'ont qu'un enfant et deux domestiques engagés; Pierre Rigollet, 30 ans, travaillant et Bi Pierre Bruslon, 30 ans aussi, cordier.

[NI04220] Ecuyer. Sieur De La Mirante.

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[NI04225] Aussi Lorrain.

[NI04226] dit La Chapelle.

Maître-charpentier.

[NI04227] dite Saulnier.

[NI04230] dit Plermel.

Il est cordonnier et habitant. Ils ont eu 8 enfants.

[NI04231] Nièce de Marguerite Bourgeoys.

[NI04236] 17 Octobre 1768

Roullet de Châtellier, J.-M.-R. (1762-1781)

(Mtl) Localisation: M620-0009-2945.

Donation de terre située à la côte St François en l'île Jesus; par Joseph Fortin et Marie-Anne Moreau, son épouse, de la Rivière des Prairies en l'île de Montreal, à Gabriel Descarraux, leur neveu, et François Fortin, leur frère et beau-frère.

Doc #: 17681017PA021474

[NI04243] dit Jeanviau.

[NI04248] 28 Mai 1769

Roullet de Châtellier, J.-M.-R. (1762-1781)

(Mtl) Localisation: M620-0010-0040.

Echange de terres situées en la côte Ste Rose en l'île Jesus entre Joseph Lacroix, négociant, de l'île Jesus, paroisse St Vincent de Paul, et Jean-Baptiste Fortin et Marie-Anne Monnet, son épouse, de la côte St François.

Doc #: 17690528PA021505

[NI04252] 4 Avril 1773

Roullet de Châtellier, J.-M.-R. (1762-1781)

(Mtl) Localisation: M620-0010-1508.

Observation: L'intitulé stipule vente à rente
viagère comme type d'acte.

Donation à constitution de rente viagère de terre située à la Riviere des Prairies en l'île de Montreal; par Joseph Fortin, ancien capitaine des milices et Marie Anne Moreau, son épouse, de la Riviere des Prairies, à Joseph Fortin, leur
fils.

Doc #: 17730404PA021738

[NI04254] 15 Octobre 1774

Roullet de Châtellier, J.-M.-R. (1762-1781)

(Mtl) Localisation: M620-0010-2056.

Vente de terre située en la censive du domaine de l'île Jesus; par Jean-Baptiste Hogue et Thérèse Fortin, son épouse, de la côte St-François, île Jesus, à Joseph Hubert dit Lacroix, négociant, de St Vincent de Paul.

Doc #: 17741015PA021838

[NI04257] Il fut trouvé coupable de vol, le 20 mai 1692, aux magasins du roi, avec ses deux complices Pierre vinbout dit Laforest et Christophe Godefroy. Ces derniers ont été marqués au fer, d'une fleur de lys, à l'épaule et pendus. Jean Baptiste fut épargné à cause de son jeune âge. Il venait d'avoir douze ans lorsqu'il fut emprisonné. (LVLNF, p. 302).

[NI04263] dit Gilles.

Il est venu avec la Grande Recrue. Il était maître-maçon.

Ils ont eu 2 enfants.

[NI04268] Il était maître-chirurgien.

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22 Septembre 1738 (Mtl)

Comparet, F. (1736-1755)

Vente d'un emplacement situé au bourg de la Pointe au Tremble; par Laurent Archambault et Angélique Loyseau, son épouse, de Lasomption, à Charles Monarque et Marie Dazé, son épouse.

Doc #: 17380922PA022670

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22 Mars 1741 (Mtl)

Coron, C.-F. (1734-1767)

Bail à titre de ferme et loyer de terre située à la Riviere des Preries; par Charles Quenneville, maître tailleur d'habit, de la Riviere des Preries, à Charles Monarque, maître chirurgien et Marie Dazé, son épouse, de la Riviere des Preries.

Doc #: 17410322PA023236Il était maître-chirurgien.

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Le Parchemin
22 Septembre 1738 (Mtl)

Comparet, F. (1736-1755)

Vente d'un emplacement situé au bourg de la Pointe au Tremble; par Laurent Archambault et Angélique Loyseau, son épouse, de Lasomption, à Charles Monarque et Marie Dazé, son épouse.

Doc #: 17380922PA022670

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Le Parchemin
22 Mars 1741 (Mtl)

Coron, C.-F. (1734-1767)

Bail à titre de ferme et loyer de terre située à la Riviere des Preries; par Charles Quenneville, maître tailleur d'habit, de la Riviere des Preries, à Charles Monarque, maître chirurgien et Marie Dazé, son épouse, de la Riviere des
Preries.

Doc #: 17410322PA023236

[NI04270] 23 Octobre 1772

Roullet de Châtellier, J.-M.-R. (1762-1781)

(Mtl) Localisation: M620-0010-1296.

Vente par adjudication d'une terre située en l'île Jesus; par Pierre Quenneville, au nom et comme tuteur des enfants mineurs de Ignace Thibaut, veuf de Marie Dazé, à François-Xavier Mornau.

Doc #: 17721023PA021705

[NI04274] 28 Avril 1740 (Mtl)

Comparet, F. (1736-1755)

Observation: Jeanne Hoque est mariée en secondes noces à Jean Rengé.

Contrat de mariage entre Jacques Lacomble, natif de la Rivier des Prairies, fils de feu Jean Lacomble et de Marguerite Dielle; et Elisabeth Chartran (22 ans), fille de feu Pierre Chartrand et de Jeanne Hocque.

Doc #: 17400428PA022733

[NI04284] Son nom s'écrit aussi ainsi: Loson.


4 Août 1741 (Mtl)

Coron, C.-F. (1734-1767)

Vente de parts de terre situées à la Riviere des Preries dans l'île de Montreal; par Paul Loson et Marie-Josèphe Chartran, son épouse, de la Riviere des Preries, et Charles Corbeille et Marie-Angélique Chartran, son épouse, de la
Riviere des Preries, à Armand Chartran, de la Riviere des Preries, et Pierre Chartran, de la Riviere des Preries.

Doc #: 17410804PA023279

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27 Juin 1765 (Mtl)

Mézières, P. (1758-1786)

Accord entre Jacques Lozon, habitant, veuf de Josèphe Chartran, de Mascouche, paroisse de Terrebonne, au nom et comme tuteur de ses enfants mineurs, et Jacques Monarque, commerçant, de la Riviere des Prairies.

Doc #: 17650627PA020263

[NI04287] 26 Février 1742 (Mtl)

Coron, C.-F. (1734-1767)

Vente d'une terre située dans l'île Jesus à la côte St François; par François Rose, habitant et Marie Chartran, son épouse, de l'île Jesus, à Charles Rose, ancien habitant, demeurant présentement à l'île Jesus.

Doc #: 17420226PA023332

[NI04294] Aussi Tardif dans un document.

[NI04298] dite Belhumeur.

[NI04299] dit St-Onge.

[NI04301] Aussi Patenotte.

[NI04307] 10 Juin 1749 (Mtl)

Hodiesne, G. (1740-1764)

Observation: L'acte a été rédigé le 13 avril
1748.

Dépôt d'une convention de mariage entre Joseph Chartran, fils de feu Jean Chartran et de Marie-Madeleine Potevin, de la paroisse au Sault des Recolets; et Marie-Josèphe Choret, veuve de Joseph Dagenest, fille de Pierre Choret et de Angélique Turcot, de la paroisse du Sault au Recolets.

Doc #: 17490610PA012861

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2 Février 1750 (Mtl)

Hodiesne, G. (1740-1764)

Vente de tous droits successifs immobiliers situés au Sault au Recollet; par Guillaume Valade, habitant et Marie-Charlotte Choret, son épouse, de l'île Jesus, Joseph Chartran, habitant et Marie-Josèphe Choret, son épouse, de l'île Jesus, à Barthélemy Charlu, habitant, du Sault
au Recollet.

Doc #: 17500222PA012941

[NI04313] Il était prêtre.

[NI04316] Dans le recensement de 1666 il déclare être tisserand. Ils habitent la côte de Beaupré.

[NI04321] dit Pomerlaux.

[NI04352] dit Blondin.

[NI04355] Il était Sieur De Laverdure.

[NI04357] La terre d'Antoine, héritée par son frère Guillaume, fut cédée à Jean Mignault dit Châtillon.

[NI04360] Aussi Denoise et Desnovets.

[NI04361] Au recensement de 1666, Estienne est veuf et la famille habite à Sillery. Ils ont deux domestiques engagés; François Bouteron dit Brusquet, âgé de 40 ans, et Louis Saussier (Saucier), 32 ans.

[NI04375] De Rainville dit Manovely.

[NI04376] Il est mort aux mains des Iroquois.

[NI04383] dit Châteauneuf.

[NI04387] Il était Sieur De La Montagne.

[NI04389] Il était chef Amérindien de Tadoussac.

[NI04391] dit Courville.

[NI04394] Notre 9ième arrière-grand-père à Lise et moi.

Dans le recensement de 1666 il est prénommé Jean Robert. Il est décédé.

[NI04395] Elle est notre 9ième arrière-grand-mère à Lise et moi.

Dans le recensement de 1666, son nom est écrit ainsi: Crevel et (Crevet). Elle est veuve et la famille habite la côte de Beaupré.

[NI04405] Sieur Du Sault.

[NI04410] Il était charpentier.

Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré.

[NI04411] Parrain et marraine; Nicolas Pivert et Louise Couillard épouse d'Olivier Le Tardif.

[NI04412] dit Beauchesne.

[NI04414] Il était Sieur De Rouvray.

Charpentier de navires.

Au recensement de 1666, la famille habite Québec. Elle a, à son service, une servante, Louise Leblanc, 13 ans.

[NI04417] dite Gauthier.

[NI04418] dit Després.

[NI04420] yyy

Au recensement de 1666 la famille habite soit St-Jean, St-François ou St-Michel à Québec.

[NI04431] dit Lamarre.

Il était Seigneur de l'Islet depuis le 3 novembre 1672.

[NI04432] dit Le Suisse.

Mon 10ième arrière-grand-père.

Il était menuisier.

Pierre était capitaine de la côte de Lauzon.

ANCÊTRE DIRECT DE OCTAVE CRÉMAZIE, D'ALBANI, DU CARDINAL BÉGIN, DE JOSEPH DUQUET ET DE LOUIS FRÉCHETTE.

A son arrivée, en 1649, il se fait concéder des terres sur la côte de Lauzon, en face des Plaines d'Abraham. Ces terres sont situées près de la coulée Patton, dans la paroisse Saint-David-de-L’Auberivière.

En 1669, plusieurs colons, originaires de Fribourg, obtiennent des concessions à la Grande-Anse, aujourd’hui Sainte-Anne-de-la-Pocatière. Pierre Miville les dirigea dans le défrichement de leurs terres qui portaient le nom de «Canton des
Suisses Fribourgeois». Pour diverses raisons, ces derniers ne s'acclimatèrent pas en Nouvelle-France et retournèrent tous dans leur pays. Seul Pierre Miville demeurera en terre d'Amérique. Il s'établit sur la côte de Lauzon et devint capitaine de milice.

Il portait le surnom de «Le Suisse», d’après son origine, et laissa de nombreux descendants.

Pierre est décédé le 14 octobre 1669 à Lauzon, tandis que Charlotte Maugis décédait au même endroit le 11 octobre 1676.

Un de leur fils, François devint seigneur de la Rivière-Ouelle. Un autre de leur fils, Jacques, se maria avec Catherine de Baillon, originaire d’une noble famille française.

[NI04450] dit Sansregret.

[NI04461] aussi Auclère.

[NI04462] Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré. Ils n'ont pas d'enfants encore mais ils hébergent le neuveu de Pierre, également appelé Pierre Boivn, il a 20 ans.

[NI04468] dit Laframboise.

[NI04485] Sir Alexandre Lacoste.

Il fut conseiller législatif en 1882, sénateur en 1884. Il occupa le poste de président du Sénat en 1891. Il fut membre du conseil privé du Canada. Juge en chef de la province de Québec, de 1891 à 1907. Il fut aussi administrateur de la province de Québec de 1893 à 1897. Chevalier de sa majesté.

[NI04486] Lady Marie Louise Globensky.

[NI04487] Homme politique et magistrat.

[NI04489] Justine Lacoste-Beaubien a fondé l'hôpital Sainte-Justine, pour enfants, à Montréal, en 1907.

[NI04490] dit Demers.

Ils ont eu six fils et quatre filles.

Ses parents ne voulaient pas qu'il marie Anne Jetté. Trois de leur fils avaient déjà mariés des soeurs Jetté et la discorde existait entre elles et les parents Dumay. (LVLNF, p. 362).

[NI04493] Huissier.

Il a emprunté vingt livres de Philippe Gazillier, habitant de Saint-Bernard, afin de payer ses "nopces".

[NI04494] ANCÊTRE DE LOUIS FRÉCHETTE ET DE SIR WILFRID LAURIER.

Aussi Dumoys, Dumets, Dumetz, et Dumay.

Venu à bord du navire L'Espérance vers 1643-1644.

[NI04495] Aussi Maugis.

[NI04496] dite Isabelle.

[NI04497] Il est venu avec La Recrue en 1653.

ANCÊTRE DIRECT DE SIR LOUIS-AMABLE JETTÉ ET DU FRÈRE ANDRÉ.

[NI04505] Il était marchand.

[NI04508] Soldat du régiment De Carignan, compagnie de Monsieur De Salières, il fut ensuite marchand.

[NI04516] dit Laroche.

[NI04522] Cultivateur.

[NI04538] dit Tourblanche.

[NI04540] ANCÊTRE DIRECT D'ANDRÉ GRASSET.

[NI04542] Il était brasseur et capitaine de milice et habitant.


Louis Prudhomme est originaire de l'île-de-France. Il est le fils de Claude
Prudhomme et d'Isabelle Alionet, de Pomponne près de Lagny-sur-Marne,
île-de-France. Il était brasseur.


En 1650, il signe un contrat de mariage avec Roberte Gadois, fille de Pierre et de Louise Mauger de la paroisse de saint-Germain de Fresney au Perche. Charles d'Ailleboust, Jeanne Mance, Monsieur de Maisonneuve, Gilbert Barbier et Lambert Closse de même que les parents des futurs époux furent présents à la signature du contrat

Le gouverneur de Montréal donne aux futurs époux trente arpents de terre à proximité du fort Ville-Marie. Elle borne d'un côté aux terres de la brasserie et de l'autre à celles de Michel Chauvin.

Monsieur de Maisonneuve donnera plus tard une autre concession de douze arpents attenant aux trente arpents précédemment donnés.

En 1663, on organise la milice de la Sainte-Famille, chargée d'assurer la défense du territoire. Louis Prudhomme fait partie de la 12e escouade à titre de capital. Le 2 mars 1664, il sera nommé juge de police. Plus tard, il sera également élu marguiller de sa paroisse.

En 1667, lors du recensement, Louis Prudhomme est alors âgé de 66 ans et sa femme de 44 ans. Ils ont un pensionnaire, cinq bêtes et trente arpents de terre en valeur.

Louis Prudhomme et Roberte Gadois auront 7 enfants, dont 3 fils. Deux d'entre eux fonderont une famille et perpétueront ainsi le nom des Prudhomme en terre d'Amérique.

[NI04544] Il était brasseur et capitaine.

ANCÊTRE DIRECT D'ANDRÉ GRASSET ET DU CARDINAL LÉGER.

[NI04546] dit Laisné.

Il est considéré comme le premier habitant de Montréal.

Ils sont arrivés en Nouvelle-France en 1636, avec deux enfants. Ils s'installèrent à Ville-Marie en 1647 sur le premier lot concédé par Monsieur De Maisonneuve.

Ils avaient Roberte et Pierre et auront 4 autres enfants.

En 1666 ils avaient un domestique engagé; Pierre Villeneuve, âgé de 25 ans.

Extrait de la Presse du 1 février 1923:

texte de E.Z. Massicotte:

La commission des parcs nationaux du Canada, section des sites historiques projetant de placer une plaque pour rappeler le nom du premier Français qui reçut une terre à Montréal, nous avons extrait des archives de la métropole, divers renseignements sur le colon dont on veut perpétuer la mémoire ainsi que sur le morceau de terre qui lui fut concédé.

Et voici ce que nous apprennent les papiers anciens, mais fort bien conservés des premiers temps de la métropole canadienne.

De retour à Ville-Marie, à l'été de 1647, après un assez long séjour de France, M. de Maisonneuve apportait enfin l'ordre de commencer effectivement l'organisation de la nouvelle colonie dont il avait charge, car pour une cause ou pour une autre, Ville-Marie, depuis 1642, n'avait fait que vivoter entre les quatre murailles du petit fort qui était érigé sur la pointe à laquelle M. de Callières devait plus tard laisser son nom.

Avec l'année 1648, M de Maisonneuve instaura un tribunal, nomma un greffier, un procureur fiscal, un notaire, un huissier, donnant à un même individu, deux ou trois fonctions, puis commença la distribution des terres à ceux qu'il jugeait dignes et capables de cultiver.

Bien entendu, il n'y eut aucune précipitation; ce n'était ni une Californie, ni un Klondyke, ni un Cobalt qu'on offrait à la convoitise. Aussi n'y eut-il que sept colons au plus, qui demandèrent des terres, et sur ces sept trois seulement reçurent leurs contracts sans tarder. Les autres durent attendre l'exécution de certaines conditions.

D'entre ces vaillants qui voulaient tirer du sol la subsistance de leur famille, le premier fut Pierre Gadois et pour cela, l'abbé Dollier de Casson lui a décerné le titre honorable de "premier habitant de Montréal".

Le choix s'explique. Pierre Gadois était un colon précieux. Agé de 54 ans, établi à Québec depuis 1636, avec femme et enfants, M de Maisonneuve l'avait acceuilli, sans aucun doute, parce qu'il pouvait lui être utile, à raison de son long séjour en la Nouvelle-France et des connaissances de toutes sortes qu'il avait amassées. Son contract de concession date du 4 janvier 1648, M de Maisonneuve le rédigea lui-même avec solennité, comme on en jugera par ce début:

"Nous Paul de Chomedey, escuyer, sieur de Maisonneuve, gouverneur de l'Isle
de Montréal et terres qui en despendent, soubsigne suyvant les ordres que
nous avons reçus de Messieurs les Associés pour la conversion des Sauvages
de la Nouvelle-France en la ditte Isle à ceux lesquels auroient affection de s'y
establir et y faire leur demeure ordinaire afin par ce moyen de procurer
l'estendu de la foy dans le pays, suivant la prière qui nous a été faitte par Pierre Gadoys," etc.

Le gouverneur passe ensuite à la description de la terre avec toute la minutie qu'il apporte dans le moindre de ses actes. Nous ne soumettons pas tout ce texte au lecteur, il nous suffira de noter que la terre accordée à Pierre Gadois mesurait 20 perches ou 260 pieds de front par 200 perches, ou 2600 pieds de profondeur, soit 40 arpents en superficie.

En étudiant le terrier de Montréal et en comparant les plans de diverses
époques, nous arrivons à localiser cette terre comme suit: commençant à 40 pieds au nord de la rue St-Paul, elle s'étendait en profondeur jusqu'à la rue Ontario ouest ou Berthelet. A l'est elle serait formée par le milieu de la rue
St-Pierre puis par le milieu de la rue Bleury. A l'ouest par une ligne partant de l'encoignure nord des rues McGill et St-Paul et se prolongeant jusqu'à ladite rue Ontario ouest.

Après de décès du pionnier, son bien fonds passa à ses enfants, mais comme la population augmentait, que la ville s'agrandissait, la terre fut morcelée rapidement. Et pour énumérer seulement ceux qui en ont possédé des parties, de plus en plus menues, jusqu'à nos jours, il faudrait un volume.

Rappelons l'histoire d'un coin de cette terre.

En 1692 et après, les Récollets en acquirent une tranche importante, au sud de la rue Notre-Dame, entre la rue St-Pierre et la rue McGill, (alors Ste-Augustine). Ils y eurent monastère et chapelle. Ces édifices devinrent propriété de la Fabrique Notre-Dame en 1818. Cinquante ans après, l'immeuble fut vendu à des marchands anglais qui rasèrent les anciens bâtiments et les remplacèrent par de
spacieux magasins.

Sur la terre que Pierre Gadois laboura à la pioche s'élèvent en notre siècle, d'innombrables constructions. En bas, trônent le grand négoce et la finance, plus loin ont surgi des gratte-ciels, un collège, une église et des habitations. En 1648, le colon obtint son lopin de terre pour quelques sous, maintenant il vaut des millions.

[NI04547] On l'a surnomma "La Gadoise".

[NI04550] dit L'Espérance.

Il était marchand.

Ils ont eu 14 enfants.

Jean est trouvé coupable d'adultère, le 17 juin 1660, après avoir séduit la sémillante Marguerite Boissel, 22 ans, femme du chirurgien montréalais Etienne Bouchard. Il est condamné à payer une amende de six cent livres envers le mari & au bannissement perpétuel, après trois mois pour régler ses affaires. Mais le ban n'est pas perpétuel. Sitôt l'amende payé il rentre à Montréal où il mène une vie mouvementée. Il est d'abord condamné à une peine pécunière de cinquante livres pour trafic d'eau-de-vie avec les Indiens. Il sera nommé, néanmoins, marguillier de sa paroisse. Fonction qui lui attirera d'autres ennuis. Malgré l'ordre du roi, Aubuchon s'arroge un rang auquel il n'a pas droit dans les processions à l'église. Le 10 mars 1675, cette manie des grandeurs lui attire les vertes réprimandes de l'autorité civile. Au matin du 2 décembre 1685, Jean est trouvé sans vie dans son lit. Les circonsttances du décès éveillent les soupcons. Il aurait été assassiné. Marguerite Sédilot accuse Jacques Paillereault d'avoir tué son mari. Le procès durera trois ans sans que personne ne soit jugé coupable.

6 Novembre 1692 (Mtl)

Maugue, C. (1677-1696)

Quittance de Antoine Adhemar, notaire et greffier du bailliage de Montréal, au nom et comme tuteur des enfants de défunt Jean Aubuchon dit Lesperance et Marguerite Sedillot, son épouse, de Villemarie, à Pierre Lamoureux de St Germain, marchand, de la ville de Villemarie.

Doc #: 16921106PA019618

[NI04551] Elle est dans les premières élèves jeunes épouses de l'école de Marguerite Bourgeoys en 1658.

[NI04561] ANCÊTRE DIRECT DE SIR WILFRID LAURIER, DE BENJAMIN SULTE ET DE SIR LOUIS AMABLE JETTÉ.

[NI04564] Au recensement de 1666 elle habite avec la famille de sa fille Marie. Son prénom est Marie et elle est âgée de 55 ans.

[NI04566] Elle fut prise par les Indiens Loups.

[NI04572] dite Laviolette.

[NI04573] Le Gaut dit Deslauriers.

Mon 8ième arrière-grand-père.

[NI04578] dit Laviolette.

[NI04579] Il était maçon.

[NI04581] dit Latreille.

Il était maître-boulanger.

[NI04589] Il était un soldat du régiment De Carignan, compagnie De Lafouille.

[NI04592] Au recensement de 1666 la famille habite l'île d'Orléans avec son beau-frère François Savarre (sic), âgé de 8 ans.

[NI04593] Aussi Marguerite.

[NI04611] Il était pilote de navire.

9ième arrière-grand-père de mon épouse.

Il est venu avec La Recrue en 1653.

Au recensement de 1666, la famille habite Québec. Ils ont un domestique engagé du nom de Nicolas Fournier, âgé de 24 ans.

[NI04613] ANCÊTRE DE THOMAS CHAPAIS ET DE THÉODORE ROBITAILLE.

[NI04615] Au recensement de 1666 à Québec Antoine déclare être un maçon et son nom est inscrit ainsi; Anthoine Broussard.

[NI04617] aussi Aucler.

[NI04629] dit Le Picard.

Il était un soldat du régiment De Carignan, arrivé le 17 août 1665, compagnie d'Hector Andigné de Grand'Fontaine.

Il était menuisier.

[NI04630] Pasqué.

Jeune veuve qui avait trois enfants de son premier mariage.

[NI04632] Décédé accidentellement.

[NI04633] Elle a fondé l'Institut Notre-Dame-du-Bonsecours.

Première bachelière universitaire du Québec.

[NI04635] Major général, avocat et sénateur.

[NI04637] Avocat et juge de la Cour supérieure.

[NI04638] Il était avocat et secrétaire du Barreau de Montréal en 1903. Il succéda à Maurice Duplessis comme bâtonnier du Québec, en 1908.

[NI04639] Fille du consul de France.

[NI04640] Avocat.

[NI04642] Il est le gérant fondateur de la Banque Provinciale, devenue la Banque Nationale, après sa fusion avec la Banque Canadienne Nationale.

[NI04646] Il était maître-coutelier.

[NI04651] Elle était domestique chez Guillaume Couillard.

[NI04652] Il était maître-tailleur.

[NI04653] Les Dessaints sont aussi des St-Pierre.

Son non a aussi été écrit ainsi: Damiane Desavis.

[NI04656] dit Algonquin.

[NI04673] Aussi Binaudière.

[NI04674] Son nom s'écrivait aussi Plouffe.

[NI04682] Au recensement de 1666 son nom est inscrit ainsi: Pascade.


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[NI04689] 23 Mai 1764 (Mtl)

Soupras, L.-J. (1762-1792)

Accord entre Joseph Cardinal et Amable Aimbault, son épouse, de la côte Saint
François, paroisse Saint Laurent, et Jacques Cardinal, de la côte Saint Remis dit les Sources, paroisse Saint Jôachim de la Pointe Claire, frère et beau-frère.

Doc #: 17640523PA024806

[NI04706] Au recensement de 1666 la famille habite Trois-Rivières. Le nom de Jacques est inscrit ainsi dans le registre: Bertaut.

[NI04713] dite Boisdoré.

[NI04715] dit Malet.

[NI04720] Il était capitaine de milice.

[NI04727] dit Le Grand Picard.

[NI04743] Le 10 janvier 1705, Pierre Boucher concède à Adrien, qui demeure à l'île Ste-Marguerite, une habitation de 2 arpents de front par 25 de profondeur.

C'est le lot numéro 33 de la seigneurie de Boucherville.

Le 20 novembre 1715, Louise Boucher de Montbrun, concède une terre à Adrien.

Le 28 août 1724, il possède une maison, une grange, 43 aprents de terre labourable et 5 arpents en prairie.

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21 Septembre 1714

Adhémar dit Saint-Martin, J.-B. (1714-1754)

(Mtl) Obligation de Adrien Lamoureux et Denise Veronneau, son épouse, à Jean
Soumande, marchand bourgeois, de la ville de Villemarie.

Doc #: 17140921PA011952

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10 Décembre 1731 (Mtl)

Loiseau dit Châlons, A. (1730-1760)

Accord entre Adrien Lamoureux, habitant et Denise Veronnot, son épouse, de Boucherville, et Jacques Raguindeau, habitant et Marguerite Veronnot, son épouse, de Boucherville; et Charles Langevin, habitant, veuf de Madeleine
Veronnot, de Boucherville, et Catherine Guertin, veuve de Denis Veronnot, habitant, de Boucherville.

Doc #: 17311210PA019103

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26 Mai 1736 (Mtl)

Loiseau dit Châlons, A. (1730-1760)

Observation: Acte rayé au répertoire.

Vente de la terre de l'île Ste Margueritte située à Boucherville; par les enfants de défunt Adrien Lamoureux, à François Vigé.

Doc #: 17360526PA019380

[NI04744] 3 Mai 1735 (Mtl)

Loiseau dit Châlons, A. (1730-1760)

Vente d'un emplacement situé au bourg de Boucherville; par Joseph Laporte et Agathe Lebeau, son épouse, du bourg de Boucherville, à Denise Verronnot, habitant, veuve de Adrien Lamoureux, de Boucherville.

Doc #: 17350503PA019316

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7 Septembre 1735 (Mtl)

Loiseau dit Châlons, A. (1730-1760)

Convention entre Denise Veronnot, veuve de Adrien Lamoureux, Jean-Adrien
Lamoureux, François Lamoureux, Joseph Lamoureux, Adrien Lamoureux, Pierre
Lamoureux, Catherine Lamoureux, veuve de Constantinot, Jacques Charbonnot, veuf de Françoise Lamoureux, tuteur de ses enfants, François Menard et Josette Lamoureux, son épouse, et Joseph Charle et Angélique Lamoureux, son épouse, tous frères et soeurs.

Doc #: 17350907PA019334

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23 Mars 1736 (Mtl)

Loiseau dit Châlons, A. (1730-1760)

Observation: L'intitulé mentionne la date du 20
mars 1736.

Quittance de Denise Veronnot, veuve de Adrien Lamoureux, et tous ses enfants et gendres à tous ceux qu'ils leur devaient.

Doc #: 17360323PA019367

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29 Juin 1736 (Mtl)

Loiseau dit Châlons, A. (1730-1760)

Testament de Denise Verronnot, veuve de Adrien Lamoureux, du bourg de Boucherville.

Doc #: 17360629PA019382

[NI04747] dit Ladéroute.

Il était tisserand (selon le recensement de 1681).

Il possédait la concession numéro 35 de Boucherville.

Il est l'ancêtre de Eméla Gareau, ma grand-mère.

[NI04752] Soldat du Régiment De Carignan, companie de La Fretière.

[NI04753] Fille du Roi, reçu à la Pointe St-Charles, en 1669.

[NI04758] dit St-Onge.

[NI04759] Aussi Tailbot.

[NI04760] Le 28 mars 1657, à 19 ans, il passe un contrat d'engagement devant le notaire Moreau, avec Antoine Grignon, Pierre Gaigeneur et Jacques Massé.

Joachim est l'ancêtre des familles RIENDEAU.

[NI04761] Aussi Alton.

[NI04784] Aussi Rigaud.

[NI04785] dit Du Tilly.

Marchand, capitaine, commandant de milice.

[NI04792] dit Lamarre.

De St-Illiers-la-Ville, diocèse de Chartres, Ile-de-France.

[NI04796] dit Jean De Paris.

Mon 8ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666 la famille habite l'île d'Orléans et ils ont deux domestiques engagés; Gilles Goutreau, 19 ans et Pierre Nepveu, 20 ans.

[NI04797] Dans le recensement de 1666 on la prénomme Thoinette.

[NI04806] dit La Giardière.

[NI04808] Au recensement de 1666 la famille habite la région de St-Jean, St-François et St-Michel. Elle a deux domestiques engagés; René Binet, 25 ans, et Urbain De La Forest, 20 ans. Louis est veuf à ce moment et son fils marié, Noël demeure avec sa femme et son père.

[NI04810] Il était chirurgien.

[NI04827] dit Lacroix. Il était seigneur.

Sieur de Lacroix.

Soldat du régiment De Carignan, compagnie De Lafouille.

Ils se sont installé à Boucherville et ont eu 7 enfants.

[NI04837] dit Champagne.

[NI04838] dit De La Gardelette.

Soldat du régiment De Carignan, compagie de St-Ours.

[NI04840] Sieur De Vallon.

[NI04858] dit Gadbois.

[NI04860] dit Gatebois.

Il était menuisier.

[NI04880] Taylor.

Il était un anglais protestant.

[NI04902] dit Baron.

[NI04906] dit Lajeunesse.

[NI04907] dit Lajeunesse.

[NI04909] dit Le Tardif.

Il semble qu'en prenant ce dit nom il a prit le nom du premier mari de sa mère, qui était Olivier Le Tardif.

[NI04914] Soldat De Carignan, compagnie de Grand'Fontaine.

Il était maître-apothicaire.

[NI04917] dit Vertefeuille.

Ecris son nom aussi Beauchamp.

[NI04921] dit Boisverdun.

Capitaine de milice.

Au recensement de 1666 il habite avec sa famille à l'île d'Orléans. Son nom est écrit ainsi: Gaultier. Ils ont deux domestiques engagés; Mathias, 22 ans, et Jacques Bouteleux, 31 ans.

[NI04922] Au recensement de 1666 son nom est inscrit ainsi: Camust.

[NI04927] dit Michel.

[NI04929] 22 Mars 1717

Adhémar dit Saint-Martin, J.-B. (1714-1754)

(Mtl) Vente d'une terre située à Contrecoeur; par François Viger et Françoise Lamoureux, son épouse, de l'île Ste Marguerite, à Antoine de Laroque, habitant, de Contrecoeur.

Doc #: 17170322PA012181

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[NI04930] Il était aussi domestique chez Charles Lemoine sieur de Longueuil au moment de son mariage.

Maître de barque et plus tard, habitant à Boucherville.

Ils ont eu 10 enfants.

[NI04931] Fille du roi.

Avant son mariage elle a été servante chez Charles Lemoine, sieur de Longueuil.

[NI04947] dit Bellerose.

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25 Avril 1731 (Mtl)

Loiseau dit Châlons, A. (1730-1760)

Vente de deux concessions situées en la censive de la seigneurie de Boucherville; par Jean Tournois, maître couvreur de bardeaux et habitant, de Boucherville, à François Ménard dit Bellerose et Josèphe Lamoureux, son
épouse, de Boucherville.

Doc #: 17310425PA019065

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[NI04951] Il était architecte de Lyon.

[NI04960] Ecrivait aussi son nom ainsi: Labachant.

[NI04961] Aussi Serriez et Sceriez.

[NI04965] Robert. dit Lafontaine et dit Lapommeray.

[NI04969] 9 Juin 1733 (Mtl)

Loiseau dit Châlons, A. (1730-1760)

Observation: L'intitulé stipule qu'il s'agit d'un contrat de concession de Monsieur de Boucherville à Joseph et François Lamoureux en date du 11 juin 1733.

Vente de terre située à Boucherville en la côte St Joseph au second rang; par Etienne Peltier, forgeron et habitant, et Josette Pepain, son épouse, de Verchere, à Jean-Baptiste Pepain, habitant, de Boucherville, son frère.

Doc #: 17330609PA019188

[NI04971] Aussi Joseph Charles.

[NI04984] On dit qu'il se serait mariés à Sainte-Famille, Ile d'Orléans.

En 1681, à l'âge de 16 ans, au recensement on écrit qu'il demeure à la Seigneurie de La Chesnaye avec Pierre Perrotin.

[NI04988] dit St-Onge.

[NI04997] dit Lacroix.

[NI04998] dit Bellerose.

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26 Août 1736 (Mtl)

Loiseau dit Châlons, A. (1730-1760)

Vente 1) de droits sucessifs situés dans la Nouvelle France 2) la devanture d'une terre située dans la seigneurie de St Blain au Marigaut et 3) d'une obligation; par Charles Menard dit Belleroze, habitant et Madeleine Lamoureux, son épouse, de Verchere, à Joseph Charle, de Boucherville, leur frère.

Doc #: 17360826PA019389

[NI05004] dit Deslauriers.

Soldat du régiment De Carignan, compagnie de Contrecoeur.

Il était fermier. Ils se sont établit à Contrecoeur et ont eu 13 enfants.

[NI05005] Fille du roi.

[NI05013] Coderre. Aussi Aymeric dit Caudaire.

Soldat De Carignan, compagnie de M. De Contrecoeur.

[NI05015] Boucher.

[NI05028] dit Gasion.

[NI05029] Jeanne a eu 5 maris.

[NI05034] Au recensement de 1666 la famille habite l'île d'Orléans et Antoine déclare être un charpentier.

[NI05038] dit Mignau.

[NI05051] dite Laplante.

[NI05059] Sieur Dussault et Duclos.

Maître de barques.

Bourgeois de Québec.

[NI05063] Au recensement de 1666, la famille habite Sillery.

[NI05066] Il vint en Nouvelle-France, sur le navire le Moulin D'Or, avec sa mère et son frère André.

[NI05071] dit Rochefort.

Soldat De Carignan, compagnie De La Tour.

[NI05075] dit Brindamour.

[NI05095] Aussi Fellan.

[NI05096] dit Fellan.

Il était domestique.


On retrouve le nom de François Ferland dans le livre des comptes du Séminaire de Québec. Il aurait commencé à travailler pour ces derniers vers 1674 ou 1675.

Le 6 juillet 1679, il épousa Jeanne-Françoise Milloir. Elle était âgée de 25 ans, mère de 4 enfants et propriétaire d'une ferme à St-Pierre de l'Île d'Orléans. Cette même année, il se vit confier l'exploitation de la ferme de sept arpents de front de Denis Roberge.

[NI05097] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Milloir et Millois.

[NI05102] dit Le Bouteleau.

[NI05105] dit Lamy.

[NI05107] dit La Fougère.

Il était sellier. Au recensement de 1666 il habite avec sa femme l'île d'Orléans. Son métier est indiqué comme étant tellier (sellier).

[NI05108] dit Belleville.

[NI05112] dit De Beaumont.

[NI05119] Il était le fermier de Monsieur Pierre Boucher.

[NI05120] dit Laverdure.

Venu avec La Recrue de 1653, d'Anjou.

Il était serrurier, armurier et habitant. Ils ont eu 8 enfants.

Il fut condamné à être pendu pour avoir eu des rapports incestueux avec l'une de ses filles et avoir tenté d'en avoir avec les autres. Sa condamnation fut commuée en bannissement perpétuel. Il ne peut s'approcher de Montréal à moins de trente lieues sous peine de punition corporelle.

[NI05122] Aussi Gasnier.

[NI05123] Aussi Gasnier.

[NI05124] Pendant une dizaine d'années il fut concessionnaire de Grosse-Isle avec Robert Emond.

[NI05131] Première religieuse Canadienne à entrer à la Congrégation de Notre-Dame de Montréal, avec sa soeur Marguerite en 1678.

[NI05132] Première religieuse Canadienne à entrer à la Congrégation Notre-Dame de Montréal, avec sa soeur Ursule, en 1678.

[NI05144] Marchand, maître pharmacien et épicier à Saint-Benoit de Paris.

Il a loué une maison sur la rue Saint-Jacques, à Paris, pendant 16 ans, selon une note du 16 novembre 1649. A eu 5 fils.

[NI05148] Au recensement de 1666 la famille habite l'île d'Orléans.

[NI05156] Escuyer et Sieur De Valence.

[NI05157] Les armes De Maillart: D'azur au chevron d'or accompagné de 3 fers de pique aussi d'or, 2 en chef et 1 en pointe.

[NI05162] Il était Seigneur de Breuil et de La Boissière.

[NI05164] Sieur de Vaugien.

Il était gentihomme ordinaire de la chambre du roi.

[NI05166] Seigneur de Paponville en Beauce, France.

[NI05168] Sieur De Valence. Notaire et secrétaire du roi, de 1504 à 1507. Greffier au parlement de Rouen.

[NI05170] Seigneur De Brézolles.

[NI05172] Seigneur De Champaigne.

[NI05173] Dame de La Boissière.

[NI05174] Seigneur de Vaugien et de Sargis, paroisse de St-Rémy près de Chevreuse. Elu en l'élection de Paris en 1549.

[NI05176] Sieur De Mauny.

[NI05177] Sieur de La Fons. Seigneur De Souville en Gâtinois.

Ecuyer. Valet de chambre du Roi.

[NI05179] Vicomte de Cauderec. Receveur des aides et autres finances du roi, vers 1500.
Seigneur de Louanville, Beauce, France.

[NI05181] Seigneur de La Boissière, paroisse de Goupillères près de Montfort-l'Amaury.

[NI05183] Seigneur de Brézolles.

[NI05185] Seigneur de Nézément. Procureur du roi Louis XII, à Blois.

[NI05187] Seigneur de Champagne.

[NI05188] Sieur De La Bouteillerie, Roquemont, Vaux-sur-Orge et de La Boissière en Beauce, France.

[NI05190] Seigneur de Vaugien et de Villiers-St-Paul, France.

[NI05192] Sieur de La Motte d'Esgry (des Gris).

Il était conseiller au parlement de Paris 17.


Il avait le fief de Neufmouline, partie de La Herelle, canton de Breteuil (Oise).
Un hommage pour ce fief 05-03-1533 où il est dit fils et héritier de feu Imbert Luillier (Léon Mirot, Inventaire analytique des hommages rendus à la chambre de France, (Melun, 1932), p. 393, item 4080; communication d'Yves Gagné)]

[NI05193] Elle n'est pas Catherine Lemaistre m Jean Luillier et fille de Jean & Jeanne
Huauls parce que Jean, époux de Catherine, est décédé avant 02-05-1511) (Guillaume Blanchard, Généalogies des présidents de Paris et des conseillers du parlement de Paris jusqu'en 1712, mss., microfilm LDS no 656808)]

[NI05194] ou Nicole.

Conseiller du Roi. Il possède un fief à Villers-les-Rigault.

[NI05195] Elle était mineure à son mariage.

[NI05196] Seigneur de Torrettes au comté de Nice.

[NI05198] Valet de chambre ordinaire du Roi.

[NI05199] ou Vian.

[NI05200] Bourgeois de Chartres.

[NI05201] Seigneur d'Epretot.

[NI05202] Il était homme d'armes.

[NI05204] Seigneur Du Breuil et de Lignières.

[NI05205] Dame de Nézément.

[NI05206] Il était homme d'armes du Comte de Penthièvre.

[NI05208] Seigneur de Champagne, en Normandie, France.

[NI05209] Dame de Champagne.

[NI05210] Aussi prénommé Guyon.

Il était Seigneur de La Bouteillerie et de Roche-Guyon.

Extrait d'un vieux document:

"...peut-être Guyon Le BOUTEILLER (on retrouve en 1514 Jean Le BOUTEILLER puis en 1502 Guion Le BOUTEILLER, tous deux seigneurs de La Bouteillerie, puis en 1498 Guyon comme neveu de Guillaume Morhier, seigneur de la Boessière; en 1565, Bénigne le Bouteiller rendant hommage d'un fief au même endroit) (HRCF 1 2260, 2261 et 2263)]".

[NI05211] Seigneur de Villiers-St-Paul en Beauvaisis, en 1448.

Maintenu dans sa noblesse le 18 août 1485.

[NI05212] Dame de St-Villiers-St-Paul.

[NI05213] Seigneur de la Motte Des Grey (ou D'Egry).

[NI05214] D'Hozier.

[NI05215] Conseiller du Roi et général des monnaies.

Seigneur De Beaugy, vivant en 1500.

[NI05218] Elu de Meaux, possédant un fief à Villers-les-Rigault.

[NI05220] Seigneur de Torrettes au comté de Nice.

[NI05221] Seigneur De La Saussaye et De La Robaye.

Homme d'armes de la compagnie du Comte De Dunois.

[NI05222] Elu pour le Roi en la ville de Blois. Vivant en 1480 et 1485.

[NI05223] Seigneur de Villemourans-les-Bloiz.

Vivant à Blois en 1430, employé dans les finances du Roi.

[NI05225] Seigneur de Plesses-Ménart.

[NI05229] Seigneur Des Maniquan de la Motte Des Gris.


Ascendance: Geoffroy, Gén. de l'ancienne et illustre maison des Luilliers, S.L.N.D., cité dans Saffroy No 44540 (Imbert n'est pas mentionné parmi les fils de Jean)]

[NI05233] Seigneur De Guiencourt, Troux et Châtillons-sous-Bagneux

[NI05235] Seigneur De Morsant.

Cité en 1393.

[NI05236] Testament: 8 février 1452.

[NI05237] ou Beauce?

[NI05241] Seigneur De Merquenetz et de Marle lez Callonne Ricouart aupres de Bethune.

[NI05242] Chevalier.

[NI05244] Seigneur De Goupillères.

[NI05245] Chevalier.

[NI05247] Seigneur de Magnanville, Beaurepaire...

[NI05248] Dame De Champhart.

[NI05249] Peut-être cité en 1353. cité en 1389.

[NI05252] Des Seigneurs De Cléreau en Vendomois.

[NI05253] Chevalier. Capitaine et gouverneur de La Bastille en 1319.

[NI05257] Reçu bourgeois D'Arras en 1356.


Ascendance: Notes généalogiques sur quelques familles d'Artois et de Flandre, par Paul Denis du Péage]

[NI05258] Peut-être Bertrand aussi.

Anobli en décembre 1375. Maître des monnaies de Paris.

[NI05259] Ascendance: filiations bourguignones et nivernaises, tome I, par Henri de Jouvencel, LDS #1122729]

[NI05261] Ecuyer. Seigneur d'Esclimen-en-Artois.

[NI05262] Aussi Allorge.

[NI05263] Seigneur De Morsant en 1338.

[NI05264] Dame De Cuigny.

[NI05265] Chevalier.

[NI05267] Maître des comptes lai.

[NI05268] (cette union n'est pas corroborée du côté Montmorency et cette lignée est considérée comme une fraude et peu probable) (donc, on ne va pas plus loin
dans cette lignée à moins de prouver cette filiation). Selon une autre source, ce serait plutôt Huguette, veuve de Jean Burnetot Source: titre omis, no 4a]

[NI05269] Changeur à Paris, général des monnaies, prévôt des marchands.

[NI05273] Pierre Des Landes.

Changeur du trésor royal en 1348 et concierge du palais royal.

[NI05275] Seigneur du fief Pasquier. Conseiller et chambellan du roi.

[NI05277] Nom incertain. Peut-être cité en 1306.

[NI05278] Chevalier.

[NI05279] Anobli en août 1339.

[NI05282] Trésorier de France en 1347.

[NI05284] Vivant en 1300.

[NI05285] Le prénom est incertain.

Secrétaire du roi Charles V en 1378.

[NI05287] ou Hugues.

Chevalier. Seigneur De La Lande, de Morsant...

Cité en 1300.

[NI05288] Maître de l'écurie du Roi en 1298-1299.

[NI05289] Rem. 1306 Etienne de Châteaucarton.

[NI05291] Sieur De Martinsart, vivant en 1280.

[NI05292] Cité en 1279 et vivant encore en 1302.

[NI05293] Nom incertain.

[NI05294] Maître de l'écurie du Roi en 1295.

[NI05295] Sieur De Martinsart.

[NI05296] Cité en 1254 mais incertain.

[NI05297] Prénom incertain.

[NI05298] Incertain.

[NI05299] Incertain.

[NI05300] Incertain.

[NI05301] Cité en 1233, incertain.

[NI05302] Cité en 1212, incertain.

[NI05303] Cité en 1208, incertain.

[NI05304] Cité en 1179, incertain.

[NI05305] Cité en 1138, incertain.

[NI05309] Baptisé le 18mars 1640. Parrain-marraine; Jean Capet et Marguerite Derillaud.

[NI05321] Héros de la Rivière-Ouelle.

Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré.

[NI05324] Brossard.

[NI05337] dit Deschênes.

[NI05342] Charpentier.

Héros de la Rivière-Ouelle.

[NI05349] dit Desjardins.

[NI05356] Première famille à s'établir à Ville Marie.

Il était maître-menuisier.

Ils sont arrivés avec Monsieur De Maisonneuve le 18 mai 1642.

[NI05357] Ils ont eu 7 enfants.

Il semble qu'ils avaient un domestique engagé en 1666; François Dumats, 18 ans, tailleur de pierre.

[NI05359] Aussi prénommée Catherine.

[NI05361] dit Le Jeune, en opposition avec son père dit Laisné.

Maître armurier, arquebusier, habitant et bourgeois.

[NI05363] dit La Solaye.

Ex-soldat du régiment De Carignan.

[NI05364] Ils ont eu 11 enfants.

[NI05366] Domestique engagé, tailleur et laboureur.

Ils ont eu 2 enfants.

[NI05369] Venu en 1665.

Il était laboureur.

Ils ont eu 5 enfants.

[NI05370] dit Laramée.

Il était laboureur. Arrivé en 1665.

Ils ont eu 8 enfants.

[NI05371] Maître-taillandier et habitant.

Ils n'ont eu aucun enfant.

[NI05373] Aussi Chesnier.

Charpentier.

ANCÊTRE DIRECT DU PATRIOTE LE DR CHÉNIER.

Au recensement de 1666 la famille habite St-Michel, St-François ou St-Jean. Elle a deux domestiques engagés, Jean Moreau, un charpentier de 22 ans et Simon Allain, 20 ans.

[NI05376] Charpentier.

[NI05378] dit Deslile.

[NI05383] dit Lamarche.

Soldat du régiment De Carignan, compagnie Du Guay.

Ils ont eu 15 enfants.

[NI05386] Il était laboureur.

Il est venu avec La Grande Recrue de 1653.

Ont eu 6 enfants.

[NI05387] Marchand de Lachine.

Homme violent.
LVLNF, p. 467.

[NI05389] Aussi Quenet.

Il venait tout juste d'arriver en Nouvelle-France lors de son mariage.

Il était maître-chapelier, marchand bourgeois, contrôleur des fermes du roi et habitant.

Ils ont eu 13 enfants.

En 1687 il obtint un permis, de la France, pour ouvrir un commerce de fabrication de chapeaux de fourrure, de couvertures en fourrure et de gants. Il était l'un des six chapeliers à cette époque, en Nouvelle-France. Sa boutique était situé sur De la Commune près de la porte de Lachine. Il opéra son commerce jusqu'en 1710.

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Among the eight initial land grants; in Beaurepaire, there were one to Jean Guenet (or Quenet). Guenet (1647-1733) was one of the early entrepreneurs of the French colony. He was 31 years of age when on May 18, 1674. He acquired the 12 Arpents at Pointe-Anaouy which he called Beaurepaire (Terrier 129, Cadastre 7 Thomson Point). Perusal of numerous notarial documents pertaining to transactions in which he was involved provides a vivid insight into the life of this early pioneer and a picture of living conditions in New France during the late seventeenth and early eighteenth centuries (see Appendix {7)).

Guenet was baptised on April 11th, 1647 in the ancient trading town of Rouen. He was the son of Jean Guenet and Marthe Varin of St Godard ( Rouen). Guenet Senior was director of the "Compagnie des Indes Occidentales in Tadoussac" and his uncle, Roger Guenet, was a cunseiller au Parlement in Rouen. On the maternal side, one of his uncle was the royal notary and Jean-Baptiste Varin was a medallist for the royal court of France. This family background certainly assisted Guenet's career in the fur-trading business in New-France. In 1687 he was granted a permit from France allowing him to open a hatters shop, to make fur hats, fur blankets, and gloves. (He was classified as one of six chapelliers in Canada at that time). His boutique was located on de la Commune near la porte de cette ville dite Lachine. He kept it until 1710.

He acquired his first property in LaSalle. (Lot 498) in 1672 where he was granted a concession near the mill erected by the Sulpicians. On December 8, 1675 he married Etiennette Hurtubise (1656-1717) daughter of a neighhouring farmer. Guenet was a merchant and an "importer" and he became controller of the omains ot the king and the tax collector for the seigneurs of the Island of Montreal. Consequently he became very familiar with all the lands of the seigneury.. It is not surprising, since he was in constant negociation with the Sulpicians, that he acquired several strategically-situated sites. After obtaining Beaurepaire he proceeded to secure from Sieur de Chailly 'a part of the fief noble called Bellevue at Bout de l'Ile (Senneville) This fief had been originally granted in 1672 to the Berthe brothers.

Guenet moved to fief Bellevue in 1678. According to the census of 1681 he was located there with his 25 year old wife and two children. Pierre and Helene. He had 15 arpents under cultivation, two cows one gun and employed a 40 year old male domestic. This location offered great advantages in intercepting the Indians bringing furs down the Ottawa river, before they reached Ville-Marie.

This was illegal for on November 8 1680, He was sent to jail and fined 2000 livres for trafficking skins with distant tribes.

In 1685, he bought a farm situated at Pointe-Caron in Baie d 'Urfe and in 1694 he added to his possessions the eight arpents immediately west of his concession of Beaurepaire. This land had been abandoned by his cousin Jean LeMire. Thus he controlled the three major points of land where the Ottawa Indians passed on their way from Lac des Deux Montagnes to Lachine.

In 1689 after resumption of the war with the Iroquois, the entire west Island was exposcd to surprise attack. Guenet was forced to move with his family back to the protection of Ville Marie. Girouard stated that during the entire period from February 16th, 1689 to October 10th,1701, Guenet lived at Ville-Marie. At the close of the war. he renewed his interest in Beaurepaire for, on November 15th,
1701, we find Guenet letting a contract to a mason to have a chimney* built for his home there. In two years Guenet had the farm operating. for he then decided to lease it as a unit to Jean de Lalonde dit Lespérance and Jeanne Gervais his wife. (On November 30. 1703). Guenet was still designated as a hatters and residing in Ville Marie. He signed the lease with Lalonde before notary Antoine Adhemar It is an interesting: document. He leased the title to the farm together with one half the grain harvest for a period of six and one half years. This method of leasing à moitié was used frequently in New France. The property included a barn, stables, and a bakery. However. in leasing it Guenet retained for himself and his family the right to live in the house at their convenience. Lalonde undertook to farm the property and deliver one half of the produce to Guenet in Ville Marie. Guenet
included in the leave four oxen and eight head of cattle. They agreed to split any increase in the size of the herd. Lalondc was allotted the use of the house when Guenet and his family were not there.

Where Lalonde and his family lived when Guenet chose to live in the house is not made clear. An elaborate formula for splitting the increase in the pig population was then agreed to, together with a formula for sharing the hens, capons, roosters and eggs. Guenet provided a labourer to assist the lessee with the vegetable garden and the produce was to be split evenly.

Just prior to signing the lease, Guenet had an inventory of all his goods and farm animals made by the notary, Antoine Adhemar. Among the usual list of items was an enumeration of his wine cellar which included seven pints and seven pots of Spanish wine..It is interesting to note that French wines were not on the list.

Guenet's first wife was interred at Montreal on Sept. 17th, 1717. After having borne thirteen children. In 1718, at the age of 71 years , he married Francoise Cuillerier widow of Joseph Trottier, owner of the fief of L'Ile Perrot and daughter of Rene Cuillerier , another wealthy merchant from Lachine.

This happy occurrence helped prolonged his life for a further 15 years.. In 1724 we find him on rue St.-Pierre with his second wife. He died on April 17th. 1733

During his lenghthy career, Guenet amassed a fortune as maitre Chapelier, merchant,.court interpreter, importer, gentleman farmer, road inspector, inspector of beaver licences and fee collectors for the seigneurs of the island of Montreal. He was certainly Beaurepaire first distinguished citizen..

[NI05390] Sieur de Bailleul.

Ecuyer, officier des troupes de la marine et Chevalier de Saint-Louis.

Il demeurait à Contrecoeur.

Ils n'ont eu aucun enfant.

[NI05393] Venu avec sa mère veuve Françoise Goubilleau.

Ils ont eu 11 enfants.

[NI05395] Nièce de Marguerite Bourgeoys.

Elle est devenue soeur de la Congrégation.

[NI05396] Nièce de Marguerite Bourgeoys.

[NI05397] Fondatrice des Soeurs de la Congrégation de Notre-Dame.

[NI05398] Notaire royal.

Ils ont eu 3 enfants.

[NI05399] dit Plermel.

[NI05400] dit Paquet.

Maçon.

Ils ont eu 7 enfants.

[NI05402] Ils ont eu 6 enfants.

[NI05403] Ils n'ont eu aucun enfant.

Ils avaient deux domestiques engagés en 1666; Ignace Ballent, 20 ans, et Antoine Baudet, 25 ans.

[NI05405] Collaboratrice de Marguerite Bourgeoys, lors de l'ouverture de son étable-école.

[NI05408] Sieur De Fontblanche.

Il était maître-chirurgien.

Soldat du régiment De Carignan, compagnie De La Tour.

Ils ont eu 2 enfants.

[NI05411] dit Le grand Beauchamp. Aussi écrit Bauchand.

Il était chapelier.

La famille s'est établie à la Pointe-aux-Trembles sur une concession que Jacques avait obtenue le 25 octobre 1662 des seigneurs de Montréal.

Au recensement de 1667, Jacques possédait deux bestiaux et six arpents défrichés. A celui de 1681, le cheptel avait grossi à huit bêtes à cornes et 16 arpents en valeur. Bien que son métier était charpentier, il cultiva la terre. Cela ne l'empêcha pas de s'enrôler dans la milice de la Sainte-Famille, escouade fondée par Monsieur de Maisonneuve afin de défendre Ville-Marie.

La famille comptait huit enfants dont deux fils.

[NI05412] aussi Dardenne.

Aussi indiqué 1638 comme année de naissance.

[NI05415] dit Goyer.

[NI05417] Ils n'ont pas eu d'enfant.

[NI05418] Inscrit aussi sous le nom de Jean Le Roy.

Tué par les Iroquois.

[NI05420] dit Lacroix.

Tailleur d'habits. Ils ont eu 9 enfants.

[NI05421] dit Lacroix ou Le Grand Lacroix.

Il était tailleur d'habits et habitant.

[NI05423] Greffier et notaire venu de Paris à Ville-Marie en 1643.

Il fut tué par les Iroquois en 1657.

Ils ont eu 2 enfants.

[NI05424] Marchand-épicier. Garde-magasin et seigneur. Capitaine d'une compagnie.

Co-seigneur de Varennes avec son beau-frère Michel Messier.

Ils ont eu 10 enfants.

Sa belle-mère, Françoise Gadois, demeure avec la famille en 1666. Ils ont aussi, en cette année de recensement, deux domestiques engagés; Claude Bosseron (Beauceron?), 19 ans, et Pierre Poupart, 16 ans.

[NI05425] Il était marchand de poissons.

Tué par les Iroquois sur sa terre, appelée "La couchée de Jean Groux".

[NI05430] dit Lajeunesse.

[NI05433] Il était tanneur, marchand bourgeois, interprète pour le roi en langues Iroquoises.

Arrivé vers 1665, ils ont eu 11 enfants.

[NI05434] Elle fut tuée lors du massacre de Lachine.

xxx

[NI05435] Elle fut tuée lors du massacre de Lachine par un casse-tête Iroquois.

xxx
VLNF p. 168

[NI05436] dit Langliche.

Il est arrivé du Maine, France vers 1673. Il était laboureur et ils ont eu 7 enfants.

[NI05437] dit Boutentrain.

Arrivé en 1671 dans la colonie et en 1677 à Montréal. Il était laboureur.

Ils ont eu 3 enfants.

[NI05443] Arrivé vers 1666.

Domestique engagé, cordier et laboureur.

Ils auront 7 enfants.

[NI05450] Seigneuresse de l'Ile Perrot après le décès de son mari.

[NI05451] dit Léveillé.

Venu avec La Recrue de 1659. Il est défricheur et marchand bourgeois.

Ils ont eu 16 enfants.

(LVLNF, p. 292)

[NI05452] Aussi Lucault.

[NI05454] Ils n'ont eu aucun enfant.

[NI05455] dit Laliberté.

[NI05461] Aussi Regnault.

[NI05462] Aussi Crespeau.

[NI05463] Le mariage fut annulé car ce triste sir était déjà marié en France, à Louise De
Lille (Delisle). Il est notre premier bigame Canadien.

[NI05464] Fille adoptive de Jean Gervaise.

zzz (LVLNF, p. 278).

[NI05465] Arrivé en 1658.

Habitant.

[NI05468] dit Tourblanche.

Soldat du régiment De Carignan, compagnie De La Mothe.

[NI05469] ANCÊTRE D'ERNEST GUÉNETTE, D'ÉMÉLA GAREAU ET DE MÉLINA LANCTÔT.

Il est venu en Nouvelle-France en 1645, au moment où la population était de 300 habitants seulement. Ils ont amené 4 enfants de La Rochelle et en auront 3 autres ici.

Notes:

Jacques Archambault, born in about 1604, the son of Antoine Archambault and Renee Ouvrard, was originally a laborer at Lardilliere, parish of Dompierre-sur-Mer a village in the canton and arrondissement of LaRochelle in [Charante-Maritime] previously the French province of Aunis. He probably was a wine grower as well, since he sold three casks of white wine to Hierosme Bonnevye, a La Rochelle merchant, on 15 August 1637 [registrar Savin, notary at La Rochelle]. He came to Canada in about 1645, bringing along his wife, Francoise Tourault [also spelled Toureau] and six children: 2 sons and 4 daughters.


Upon his arrival at Quebec, it seems likely that Jacques Archambault had a guarantee of protection from Pierre Legardeur de Repentigny. At first, he worked on the farm of Pierre Legardeur of Repentigny [registrar Bancheron 26 July 1647], who, pleased with the services of his helper, leased his farm to him on 16 Oct 1647 [registrar Lecoustre].

The five-year lease provided Archambault with 1 dwelling, 2 oxen, 2 cows, 1 heifer, pigs, all appraised at a value of 732 livres. Jacques was already in debt to Legardeur. He was committed at this time to pay him 898 livres, 10 sols, upon the return of the ships from France. In addition, "in two years" Jacques must pay 500 livres "for half of the land which he will leave him the first year". The tenant could cut all the firewood that he wanted, even sell it, by paying 10 sols a cord. This somewhat complicated contract, signed by notary Lecoustre, means that Jacques had just over-committed himself. This enterprise turned out to be unprofitable. In fact, Archambault declared himself 800 livres in debt to Marie Favery, the widow of Repentigny, on 26 Jan 1650. In 1651, Jacques Archambault, whose children had settled in Quebec and Montreal, received two land grants in
the two localities.

The one at Quebec was from the governor d'Aillebout, 15 Sept 1651,
confirmed by M. de Lauzon at Cap-Rouge, bordering on one side the farm of
Nicolas Pinelle [another of our ancestors] and on the other side, the farm of Pierre Gallet. The land grant at Montreal was from M. de Maisonneuve, 18 Sep 1651, and amounted to 30 arpents of land adjoining the city, between the properties of Urbain Tessier [another one of our ancestors] and Lambert Closse. He also received one arpent of land within the city north of Notre-Dame street between St. Lambert and St. Joseph streets [St. Sulpice] [Terrier, 163, 165]. On 15 Feb 1654, our colonist set about establishing himself at Montreal [Faillon, Histl, II, 188].

The same year, 19 Apr, he signed an agreement to work together, armed, with the franchised citizens of Gaudarville in the development of their lands and to spend their nights in the fort, because of the Iroquois threat. Michel Morin promised in the name of the absent Jacques Archambault. [Scott, N.D. de Ste. Foye, 540, ff], and on 24 Sep, he acquired a house, built on his land by Etienne Dumets for a price of 71 livres. On 24 September, Dumets gave a receipt for the purchase, in the presence of Marin Boucher, "soldier at the fort of Quebec". [another of our direct ancestors] [registrar Rouer].

During the winter of 1655, Jacques and several residents of Ville-Marie made a deal with the master surgeon Etienne Bouchard. The latter was hired on 30 March "to dress and give medications for all sorts of things, illnesses both natural and accidental, except for the plague", to the signers and their family for the yearly amount of 100 sols or 5 livres. This was the first example of health insurance established on the continent. Jacques was surely part of this system because it would be very useful for his family living in the territory.

It was not until 13 Feb 1657 [registrar Saint-Pierre] that he said adieu to Quebec, giving power of attorney to P. de Quen, S. J., to liquidate his properties there. In 1662, they were in the possession of Gilles Danjou [registrar Audouart, 15 Feb 1662]. The regions of Quebec, Trois-Rivieres and Montreal urgently needed colonist. Each government tried to keep in its territory the hesitant resident or those passing through. It was in this way the Jacques Archambault was one day led to say good bye to Quebec in order to settle definitively at Montreal. There, the eldest of the family had shed his blood. In 1651 his son Dennis was killed by the explosion of a cannon that he attempted to fire at some Iroquois marauders. It was the third time that he loaded the cannon. [Relat.Jes.36, 137; Faillon, Hist.II, 126-27].

The following is my interpretation (interpretation of Jack Langlois, a subscriber on the Quebec list), however misguided, of an article taken from the History of Canada by Abbot Faillon [after it had been processed through a computer translator program] To protect colonists while they were working and to help with the conservation of the country, MR. Maisonneuve decided that it was necessary to construct strongholds in the countryside in which to store the weapons and have them at the ready day and night. In this intention he gave the
responsibility of these strongholds to inhabitants known for their courage and their values. They were to build their homes nearby and always be at the ready.
Three among them were to distinguish themselves in the use of weapons.
Urbain TESSIER dit Lavigne, Jacques ARCHAMBAULT and Francois Bailly shared
in the responsibility of the one known as Enfant Jesus built at the extremity of Lavigne's concession.[vol 3 pg 18-19]

Was Archambault a well diviner? At Ville-Marie in the fall of 1653 Jacques Archambault was credited with the construction of the first well in the island of Montreal. This fact is related by several historians . The fact is, he contracted to build numerous wells: for M.de Maissonneuve, 11 Oct 1658 [registrar Basset] He dug a well, 5 feet in diameter, inside the fort of Ville-Marie, at the Place d'Armes. He guaranteed at least 2 feet of stable water in the bottom of the well.
Promised remuneration: 300 livres. On 8 June, 1659, Father Gabriel de Queylus contacted Jacques. He needed a well "in the garden of the hospital of the said place". Archambault, without turning a hair, guaranteed water like a master dowser, "two feet of stable water at least---in the presence of a current of water". The cleric would provide a support of 8 feet of wood, twenty planks, the stone, the lime, the sand, etc. But Jacques took care of the ropes and received 300 livres and 10 pots of eau-de-vie in exchange for spring water! Jean Aubuchon and Jacques Millot signed as witnesses to this transaction. [Ibid]

17 May 1660 Jacques Leber asked Jacques Archambault to dig a well, like the two others which he had already dug, for the use of the community. The depth would be 15 to 18 feet. Promised price: 300 livres and 10 pots eau-de-vie. [Ibid]; for Claude Robutel, 16 Nov 1664.

Things were going quite well. Jacques had work and he was highly respected. His children were all flying on their own wings. Only one, our grandmother Jacquette, was living at Quebec.

This is when Francoise Tourault fell gravely ill. Doctor Bouchard could do nothing to insure against death. On 9 December 1663, our courageous ancestress, 64 years old, was laid to rest, in the presence of her grieving loved ones.

For Jacques, this was a catastrophe. How to come out of it? He was no longer in the springtime of his life! Whether because he was feeling the inertia of old age or because he suffered without his wife's help, Jacques Archambault gave up farming. On 24 Oct 1663 [registrar Basset], he ceded to Jean Auger dit Baron the redoubt of l'Enfant-Jesus, which overlooked his farming estate. On 15 Dec 1663, he leased his land for three years, to Pierre Dardenne [registrar Basset].

At the age of over 60 years, he still felt the need for companionship. On 26 Jan 1666, before the notary Ameau at Trois-Rivieres, he signed a marriage contract with Marie Denot, a native of Porcheresse [Charente, France], the widow of Mathieu Denot, sieur du Bourg, and of Louis Ozannes. The marriage document is lost, although the ceremony took place at Cap-de-la-Madeleine. Evidently there were no children born to this marriage.

First it was necessary to settle the matter of the estate of Francoise Tourault, which was half of the property. The 5 surviving Archambault children each had a piece of it, 3 square arpents of land. They proceeded with the distribution on 26 April 1668. There were no quarrels, no blood was shed. However, Jean Gervaise had difficulties when the Sergeant Francois Bailly placed the boundaries of his portion, on 31 July 1670. Gervaise was not in the area and his pride was wounded.

According to Faillon, on 15 May 1672, Jacques Archambault was among the 29 notable people who initiated the election of Mayor Louis Chevalier, the first syndic. [Faillon, Hist. III, 362] The ancestor remained a landowner with 12 arpents of land.The Sulpicien Fathers showed themselves interested in buying a piece of it, 5 perches and 3 feet in length by 12 feet in width, all abutting Rue Saint-Jacques, near Urbain Tessier. On 3 December 1675, Father Gilles Perot gave 100 livres to Archambault in payment for this purchase.

Etienne Guyotte, a Sulpicien priest and the curate of Ville-Marie, signed the death certificate of Jacques Archambault, on 15 February 1688. He died at Montreal at 84 years of age and was buried on 15 Feb 1688.

The Dictionary of Nobility by M. Jouffroy of Eschanvannes [Paris] says that a branch of the Archambault family was among France's nobility. This branch inhabited the Orleanais and the cote d' armes is described as this: Azure with three lions of gold; in heart an escutcheon of money to the pal of muzzles; load of three flanchises of gold. [this out of translator].

Jacques is another model of the simplicity and tenacity of which Nouvelle-France has left numerous figures. It is with pride that all the families with the names Archambault and Archambeault now living in French Canada claim this ancestor. Francoise Tourault and Jacques Archambault still live among us, due to their descendants, as numerous as the stars in the sky!

[NI05470] Aussi Toureau.

[NI05472] dit Graveline.

Arrivé avec la Grande Recrue en 1653.

Il est procureur et syndic des habitants et ont eu 8 enfants.

[NI05474] Arrivé vers 1665.

[NI05476] dit Barbot.

Arrivé en 1642. Il fut tué par les Hurons, à la mi-juin 1651.

[NI05482] Aussi Celle et dit Duclos. Et son nom s'écrivait aussi Lescel.

Venu en 1645 et à Ville-Marie en 1651. Il était écuyer, syndic des habitants.

Ils ont eu 10 enfants.dit La Salle et dit Du Sally.

Juge civil et criminel.

[NI05486] dit Larose.

Arrivé en 1665 en tant que soldat du régiment De Carignan.


Ils ont eu 5 enfants.

[NI05487] Venu en 1664 en tant que domestique engagé, charpentier et laboureur.

Ils ont eu 10 enfants.

[NI05490] dit Laframboise.

[NI05493] Marchand de vin.

[NI05496] Sieur Des Musseaux.

Escuyer. Juge civil et criminel. Bailli.

En 1666 ils ont deux domestiques engagés; Jean Hébert, 26 ans, tanneur, et Jean Sénécal, 19 ans.

[NI05499] dit Le Beauceron.

Arrivé avec La Grande Recrue de 1653.

Il était huissier, maître-charpentier et habitant. Après la naissance de 8 enfants, Nicolas meurt brûlé dans les ruines de sa maison.

[NI05500] Fille du roi.

Elle a eu 4 enfants (tous avec Pierre?).

[NI05506] dit Planchard.

Ils ont eu 8 enfants. Il fut prit et tué par les Iroquois.

[NI05507] dit Planchart.

[NI05510] Il est arrivé en 1677. Ils ont eu 12 enfants.

[NI05511] Arrivé avec La Grande Recrue de 1653.

Ils ont eu 10 enfants.

[NI05512] Venu en 1653 avec La Grande Recrue.

Il était chirurgien, défricheur, scieur de long.

Ils n'ont eu aucun enfant.

[NI05513] dit Pariseau.

Venu en 1665 avec le régiment De Carignan, compagnie de La Fredière.

Il fut tué par les Iroquois. Ils ont eu 8 enfants.

[NI05516] dit Lafortune.

Au moment du mariage il demeurait à Varennes. Ils ont eu 5 enfants.

[NI05517] de l'Assomption.

[NI05521] dit Lajeunesse.

Soldat du régiment De Carignan.

Ils ont eu un enfant.

[NI05527] ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
16 Mars 1739 (Mtl)

Simonnet, F. (1737-1778)

Vente d'un emplacement situé en la ville de Montreal, rue Saint Paul; par Jean-Baptiste Blaud, habitant, de l'île Jesus, Etienne Blaud et Marianne Alhé, son épouse, de la ville de Montreal, et François Blaud, habitant, de Verchere, ce faisant tous fort pour Joseph Bourdon, habitant et Jeanne Bleau, son épouse,
de Boucherville, et pour Marie-Josèphe Bleau, novice chez la Congrégation Notre-Dame de Montréal, leur soeur, et aussi du consentement de Catherine Campeau, veuve de François Bleau, leur mère, à Nicolas Guillet de Chaumont, notaire royal, de la ville de Montreal.

Doc #: 17390316PA024270

[NI05528] Il était boulanger.

Ils ont eu 13 enfants.

[NI05529] dit Larivière.

Défricheur, il est arrivé avec La Grande Recrue de 1653.

Ils ont eu un enfant et Pierre fut tué par les Iroquois, le 24 mars 1661, lors d'une embuscade. Son corps décapité fut retrouvé le 22 juin suivant.

[NI05538] Il était greffier au bailliage de Vic.

[NI05546] Ils n'ont eu aucun enfant.

[NI05549] Ils n'ont eu aucun enfant.

[NI05551] dit St-Amour.

[NI05568] Seigneur du Cap St-Ignace (ou de L'Islet). Il a hérité de la seigneurie de son père en 1699.

[NI05570] Seigneur du Cap St-Ignace (ou L'Islet).

[NI05586] De La Chenaye.

[NI05588] Sieur De La Chenaye.

[NI05589] Sieur De La Ferté.

Echevin de la ville de Québec en 1673.

Il y eut deux violons à la noce et c'était la première fois.

[NI05592] Seigneur De Beauport.

Médecin et escuyer.

Au recensement de 1666, évidemment la famille demeure à Beauport. Ils ont quelques domestiques engagés; Paul Hue, 25 ans, Jean Langlois, musnier (meunier) de 24 ans, Pierre Du Mesnil, 30 ans et Jean Chaimbre, 23 ans, meunier et domestique.

[NI05593] Sieur De Gaspé.

[NI05598] Seconde épouse du Sieur Simon Denis.

Inscrite sous le nom de Du Taxte dans le recensement de 1666.

[NI05599] Sieur De La Trinité.

Escuyer et noble. Conseiller du roi.

Dans le recensement de 1666 il est indiqué que la famille demeure à Beauport. Ils déclarent avoir quelques domestiques engagés; Robert Laporte, 30 ans, couroyeur, Mathurin Villeneuve, thonnellier, 19 ans, François Musnier (Meunier), ferendinier, 22 ans, Jean Rasset (Racette), 20 ans, menuisier et Antoine, un musnier (meunier) de 50 ans.

[NI05603] Seigneur De Maure.

Conseiller.

ANCÊTRE DIRECT DE SALABERRY.

[NI05605] dit Gayon.

[NI05614] De Saint-Denis.

[NI05615] Sieur de Beauport et Sieur de Saint-Denis.

Noble.

Au recensement de 1666, la famille demeure à Beauport. Ils ont 5 domestiques engagés; Pierre Grouleau (Grosleau), 24 ans, Guillaume Valade, 24 ans, Louis Le Mieux, 14 ans, Charles Esnoust, 45 ans et Marie Barbaut, une servante de 18 ans.

[NI05618] dit De Tilly.

Gouverneur des Forts.

Au recensement de 1666 la famille, qui demeure à Québec, a 4 domestiques engagés; Jean Bray, 22 ans, Jean Du Val, 22 ans, Jean Denis, 21 ans, tireur de pierre et Gilles Cadieu, 20 ans.

[NI05620] dit De Tilly.

Ecuyer et noble.

[NI05628] dit De Villiers.

[NI05629] Sieur De Villiers.

Officier dans les troupes du détachement de la marine et commandant pour le roi.

[NI05630] dit De Verchères.

[NI05633] Noble.

ANCÊTRE DE MADELEINE DE VERCHÈRES.

[NI05635] dit Villedaigne.

Au recensement de 1666 la famille habite l'île d'Orléans et ils ont un domestique engagé, Grégoire Grondin, 20 ans.

[NI05636] Inscrite sous le nom de Flot dans le recensement de 1666.

[NI05637] Grand-père de Madeleine De Verchères.

[NI05643] Sieur De Forillon.

[NI05644] dit De La Vallière.

[NI05647] Escuyer et Sieur De La Poterie.

GOUVERNEUR DE LA VILLE DE TROIS-RIVIÈRES.

Au recensement de 1666 ils ont 7 domestiques engagés; Pierre Millet, 71 ans, Pierre Lolas, 23 ans, Laurent Drout, 24 ans, marié en France, Vincent Marly, 27 ans, Jean Jacques Bourgeois, 17 ans, Jean Bellamy, 18 ans, Estienne Bocart, un meunier de 25 ans.

[NI05650] Elle était religieuse.

[NI05652] Sieur De La Ronde.

Escuyer.

Au recensement de 1666, à Québec, ils ont 4 domestiques engagés et une servante; François Savin, 26 ans, Jacques dit Laverdure, 30 ans, Jacques dit le Sauvage, 32 ans, Charles 18 ans, et la servante, Marie Boyleau, 16 ans.

[NI05655] Aussi Barbot.

[NI05656] dit Sansregret.

Soldat et maçon.

[NI05662] Aussi Barbot.

[NI05670] dit Magdeleine.

[NI05671] ou Le Roy.

[NI05677] Aussi Barbot.

[NI05691] dit Content.

[NI05693] dit De L'Epine.

[NI05699] dit Jolin.

[NI05700] Il était forgeron.

[NI05704] Dans le recensement de 1666, Mathieu est décédé et son nom est inscrit Chauret.

[NI05705] Dans le recensement de 1666 Sébastienne est veuve et vit avec ses enfants à Beauport. Ils ont un domestique engagé du nom de Michel Pottier, 22 ans. Sébastienne est prénommée Bastienne dans le registre.

[NI05710] Algonquine. 9ième arrière-grand-mère de mon épouse.

[NI05717] Au recensement de 1666 il habite avec son épouse l'île d'Orléans. Il déclare être cordonnier. Ils n'ont pas d'enfant (ils viennent tout juste de se marier).

[NI05718] Son nom s'écrit aussi ainsi: Du Monmainier.

[NI05723] Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré.

[NI05726] dit Aloignon.

Au recensement de 1666 la famille habite à l'île d'Orléans. Ils ont un domestique engagé; Simon Chambellay, 24 ans.

[NI05737] dit Laviolette.

Tisserand et habitant.

ANCÊTRE DE SIR JOSEPH ADOLPHE CHAPLEAU.

[NI05755] Maître-maçon.

ANCÊTRE DU CURÉ LABELLE.

Au recensement de 1666 ils ont un domestique engagé; Jean Sigouin, 20 ans, qui est cordonnier de métier.

[NI05758] dit Huet.

[NI05766] Aussi Texier.

[NI05772] dit St-Denis.

[NI05779] Aussi Texier.

[NI05787] dit Montpellier.diit Montpellier.

A leur noce il y a eut un balet; 5 soldats...

[NI05793] dit Lavallée.

[NI05797] Ils ont eu 3 fils et 9 filles.

[NI05802] Dit Bellefontaine (à cause d'une source appelée "Bellefontaine" sur sa terre de Côteau Fortin, à Cap Tourmente).

Julien était cultivateur et boucher. Il est mon 8ième arrière-grand-père.

Sieur de Bellefontaine et co-seigneur de Beaupré et de l'Ile d'Orléans.

Dans le recensement de 1666 il déclare avoir 50 ans, ce qui nous donnerait l'année 1616 comme naissance. A noter que tous les âges déclarés à ce moment, pour les membres de la famille, incluant son épouse, sont exactes. La famille habite la côte de Beaupré. Elle a un domestique engagé, Nicolas Palmy, âgé de 25 ans.

Julien Fortin dit Bellefontaine est né le 9 février 1621 à Notre-Dame de Vair, arr. de Mamers, evêché de Le Mans , Maine (Sarthe ). Il était le fils de Julien Fortin, boucher, et Marie Lavye.

En 1634, Robert Giffard, propriétaire de la seigneurie de Beauport en Nouvelle-France, vint séjourner à l'auberge 'Le Cheval Blanc' qui appartenait au grand-père maternel de Julien, Gervais Lavye. Julien, qui n'avait que 13 ans à l'époque, y entendit sans doute Robert Giffard parler du Canada... Lorsque Giffard revint en France en 1650, afin de recruter des colons, Julien était du nombre de ceux qui décidèrent de s'embarquer à Dieppe, en Normandie, en route pour la Nouvelle-France.

Ils arrivèrent à Québec à la fin de l'été 1650. Le voyage avait duré trois mois.

Très tôt, Julien Fortin acheta une propriété juste en face de Ste-Anne de Beaupré; il l'a revendit quelques année plus tard à Robert Caron. En 1657, Julien Fortin devint co-propriétaire de la seigneurie de Beaupré et de celle de l'Ile-d'Orléans. Il vendit le tout avec profit à Mgr. de Laval en 1662. En 1659, il reçut une concession de 6 arpents à Cap Tourmente( Saint-Joachim), sur le bord de la rivière. Ce territoire fut connut autrefois sous le nom de 'La Côte Fortin'. Julien possédait aussi des terres à la Petite Rivière Saint-François, dans Charlevoix.

Le recensement de 1667 nous révèle que Julien Fortin vivait à St-Joachim, il avait 2 domestiques à son emploi et possédait 8 arpents de terres défrichées, une étable et 7 animaux.

Julien Fortin avait épousé Geneviève Gamache le 11 novembre 1652, à Québec.
Geneviève, née vers 1636 à St-Ilier-la-ville, év. de Chartres, était la fille de Nicolas Gamache dit Lamarre et de Jacqueline Cadot.

Julien et Geneviève eurent 12 enfants. Plusieurs moururent dans la fleur de l'âge en raison des épidémies de l'époque: fièvre scarlatine, rougeole, petite vérole... À l'âge de douze ans, leur fille Barbe, souffrant de pleurisie, fut recommandée à Ste-Anne par ses parents qui firent un voeu à la Sainte et commencèrent une neuvaine à la fin de laquelle, Barbe, 'reçut' une guérison complète. On crut au miracle...

Julien Fortin est décédé le 10 août 1692 à l'Hôtel Dieu de Québec. Geneviève Gamache s'éteignit le 5 novembre 1709 à l'Islet.

Un fait intéressant: le 6 octobre 1661, Julien Fortin avait témoigné en cour, du pillage des fermes de Jean Picard, de la veuve Caron et de Claude Bouchard par les Iroquois. Il témoigna également du massacre de six personnes dont Louis Guimond.

[NI05803] dit Lamarre.

[NI05811] dit Dessalliers.

[NI05823] ANCÊTRE DIRECT D'ÉTIENNE PARENT.

[NI05827] Aussi Cavelier.

Maçon et tailleur de pierres.

Au recensement de 1666 la famille demeure à Beauport.

ANCÊTRE DIRECT DE FRANÇOIS NICOLAS.

[NI05832] Il semble qu'il ait été anormal. Le 26 juillet 1716, ses frères Antoine et Jean-Baptiste, devant le notaire Abel Michon, ont signé un document afin que les Dames Hospitalières l'admettent à l'Hôpital Général de Québec afin qu'elles le nourrissent et l'entretiennent sain et malade toute la vie durant. A chaque année ils se sont engagés à donner à l'institution douze minots de blé froment et à léguer aux religieuses la part de Thomas à la succession de sa mère, Madeleine Olivier.

[NI05840] dit Pontife.

[NI05859] Matelot.

ANCÊTRE DE SIR FRANÇOIS CHARLES STANISLAS LANGELIER.

[NI05868] Meunier.

[NI05870] Il est meunier selon le recensement de 1666. La famille habite l'île d'Orléans. Ils ont trois domestiques engagés; Pierre L'Or (Lord), 20 ans, Mathurin Grin, 40 ans, et Guy Baudin dit St-Martin, 26 ans.

[NI05871] Elle est inscrite sous le nom de Elisabeth Girard, au recensement de 1666.

[NI05877] dit Beaumier.

[NI05882] Aussi Gagné.

Il fut baptisé à St-Martin, à Igé ; il naissait de Louis et de Marie Launay le 13 septembre 1612. Louis pratiquait le métier de meunier avec son père à Guémansais ; plus tard, il travailla à la meunerie de Courtoulin, paroisse de Saint-Côme.

Vers vingt-six ans, il décida de prendre épouse : il arrêta son choix sur Marie Michel, fille de feu Pierre et de Louise Gory.

Vers 1643, les Gagné franchissaient l'océan ; un texte du greffier, Henri Bancheron, permet de les retracer vivant à Québec, Louis pratiquait le métier de laboureur ; il devint le grand patron de la ferme St-Charles pendant six ans, soit de 1646 à 1652. Le 20 octobre 1650, Olivier Tardif lui concédait cinq arpents de front de terre à l'Ouest de la Grande Rivière, maintenant appelé Ste-Anne de Beaupré.

Neuf enfants naissaient du couple Gagné : Louis, Louise, Marie, Pierre, Olivier, Louis (2), Anne, Ignace et Joachim qui perpétuèrent le patronyme Gagné. Ainsi, ils se répandirent généreusement dans les régions de Charlevoix, Cap-St-Ignace,
Petite-Rivière, Ste-Anne-du-Petit-Cap et les environs.

[NI05883] Au recensement de 1666, Marie est veuve et demeure avec ses enfants sur la côte de Beaupré.

[NI05887] Marchand.

[NI05891] Il écrivait aussi son nom ainsi: Dumay, dit Demers.

[NI05892] dit Voidy.

[NI05897] Parrain et marraine; Olivier Le Tardif et Marguerite Couillard, veuve de Jean Nicolet.

Il était l'aîné des enfants Racine. Ils ont eu 10 enfants; 6 garçons et 4 filles.

[NI05898] Il était cultivateur et habitait la Côte Saint-Denis, à Saint-André-Avellin.

[NI05900] Il apparaît sur le recensement de la ville de Hull en 1871 (à moins que ce ne soit pas la même personne).

[NI05901] dit Tranchemontagne.

[NI05902] Elle était institutrice à Saint-André-Avellin.


Présente à ses noces; Marie Louise Lacoste, probablement sa cousine.

[NI05903] Ont signés le registre: Eusèbe et Ulger Lacoste.

[NI05904] Il était forgeron.

Ont signés le registre; Ulgère, Eusèbe, Julie, Alfred, Sophie, Cordélia et Eugénie Lacoste. Ainsi que les Séguin.

[NI05905] dit Ladéroute.

[NI05908] Cultivateur.

[NI05911] Ou Landriot.

[NI05915] dit Bélisle.

[NI05916] dit Bélisle.

[NI05918] Il acheta une terre à un mille en bas de Montebello vers 1822 et s'y établit pendant plusieurs années. Il alla tenter sa chance aux Etats-Unis, près de Chicago dans l'Illinois. A cause des troubles aux Etats-Unis, il revint au Canada vers 1855, dans la région de Montebello.

[NI05920] Parrain: Joseph Lacoste et marraine: Sophie Sabourin.

[NI05921] Parrain; Joseph Lacoste, marraine; Angélique Bovet.

[NI05926] Après le décès de son épouse il s'est établi avec sa famille à Blezard, en Ontario, en 1902.

[NI05932] Parrain; Pierre Bisson, marraine; Rosalie Couillart.

[NI05933] Parrain; Antoine Landriau, marraine; Julie Demers.

Présents à l'inhumation; Joseph et Pierre Lacoste.

[NI05934] Parrain; Aimé Turgeon, marraine; Rose de Lima Sabourin.

[NI05936] Parrain; Edouard Racicot, marraine; Marie Eloïse Lacoste.

Il était fromager, marchand et travailleur forestier en Abitibi avec ses fils dont quelques-uns s'y sont établis.

[NI05937] Elle était mineure.

Présents à ses noces; Samuel, Ludger, Catherine Lacoste et, évidemment son père, Eusèbe Lacoste.

[NI05941] Elle était mineure.

Ont signés le registre; Eloïse Lacoste (la mariée) et Samuel Lacoste.

[NI05945] Elle était mineure.

[NI05948] Parrain; Alfred Lacoste et marraine; Mélina Rondeau.

[NI05949] Parrain; Monsieur le Curé J. R. Bélanger et marraine; Catherine Lacoste.

Auteur de "Mémoires d'un Vieux Radoteux".

[NI05950] Elle était mineure.

[NI05954] Il apparaît dans le recensement de la ville de Hull en 1871.

[NI05955] Elle était Amérindienne du pays des Outaouais. Arrivée à Montréal en 1672.

Elle a donné naissance à deux enfants qui mourront en bas âge eux aussi.

[NI05962] dite Potvin.

[NI05964] dit Larivière.

[NI05984] dite St-Jean et aussi Nouel.

Aussi Delfournaux.

[NI06013] dit Desroussels.

[NI06014] dite Dion.

[NI06018] dite Dallère.

[NI06019] dit Des Rousselets, De Russel, Derusse.

Soldat du régiment De Carignan, compagnie De Maximy.

[NI06032] Au moment de la signature de son contrat de mariage, le 14 octobre 1665, Antoine Cassé déclara ne pas savoir signer. Mais nous avons la preuve qu'il savait signer puisqu'il apposa sa signature au bas de l'acte de mariage de l'un de ses fils. Selon Drouin, ce phénomène s'explique très bien. Beaucoup de nos ancêtres savaient lire et écrire ou du moins, signer leur nom. Cependant ils étaient plus habiles à manier la charrue que la plume. On sait que lors de leur mariage, nos ancêtres avaient comme ambition d'obtenir la présence des personnalités en vue à cette époque, en Nouvelle-France. Comme par exemple, le Gouverneur ou l'Intendant. Alors en présence de ces dignitaires, nos aieux, éprouvaient de la gêne, au moment de la signature, à signer de façon malhabile à la suite des calligraphies de ces personnes. Ils préféraient plutôt dire qu'ils ne savaient pas signer.

Après son mariage avec Françoise Piloy, Antoine Casse demeura sur la côte de Beaupré. Quelques années plus tard il fut attiré par les riches terres de l'Ile d'Orléans et dès 1669 il s'y établi. Il ne devait pas y demeurer longtemps car Charles Couillard, alors seigneur de Beaumont, attirait les colons dans sa seigneurie et Antoine répondit à l'appel. Il dû même être un des colons les plus entreprenants car, en 1681, il était le seul, à Beaumont, à posséder des animaux.

[NI06033] Dit De Pitié.

Elle était une fille du Roi.

[NI06046] Seigneur de L'Islet.

[NI06054] dit Planchet.

[NI06065] Aussi De Neau.

[NI06066] dite Boucher.

[NI06068] dite Valcourt.

[NI06069] Il serait né chez les Iroquois.

[NI06099] dit Sansoucy.

[NI06100] Aussi Ruelle.

[NI06104] dit Bouteleau.

Tisserand en toile selon le recensement de 1666. La famille habite l'île d'Orléans. Son nom est inscrit Le Clerq sur le registre.

[NI06109] dite De La Tour.

[NI06112] Soldat du régiment De Carignan, compagnie De Porte.

[NI06116] Au recensement de 1666 la famille habite soit St-Jean, St-François ou St-Michel, à Québec.

[NI06129] Il était notaire royal.

[NI06138] Aussi Morneaux.

Il était arquebusier.

[NI06139] Tailleur d'habits.

8ième arrière-grand-père de mon épouse.

Au recensement de 1666 la famille habite Sillery et elle a un domestique engagé; Claude Villerance, 18 ans.

[NI06146] Seigneur des Eboulements avec son frère Charles. Il fut aussi le premier seigneur de la Pointe-au-Père.

Il est le troisième fils de la famille et son parrain fut Pierre Le Voyer, vicomte d'Argenson, gouverneur de la colonie.

[NI06149] dit De L'Espinay.

Procureur du Roy. Lieutenant de l'amirauté.

[NI06152] Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré. Le nom est écrit Costé.

[NI06157] ANCÊTRE DIRECT DE SIR GEORGES ELIE AMYOT.

[NI06160] Au recensement de 1666 son nom est écrit Minville.

[NI06161] Au recensement de 1666 son nom est écrit ainsi: Giguière. La famille habite la côte de Beaupré et elle a un domestique engagé du nom de Simon D'Orillage, il a 22 ans.

[NI06162] Ma 9ième arrière-grand-mère.

[NI06163] Mon 9ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré et elle a un domestique engagé du nom de Noël Viaut, âgé de 38 ans.

[NI06176] Religieuse sous le nom de Soeur Marie Thaïs de Saint-Joseph, congrégation des soeurs des Saints Noms de Jésus et Marie. Fondatrice d'une mission en Californie.

[NI06184] Il était compositeur.

[NI06193] Ingénieur. Secrétaire particulier des juges de la Cour d'Appel.

Il fit aussi des recherches dans le domaine maritime et fut à l'origine d'une invention nommée le "frein Lacoste", que la marine américaine expérimenta. Il décéda prématurément, avant le couronnement de ses efforts, d'une pneumonie.

[NI06194] Aussi prénommée Birdie.

[NI06199] Il était ingénieur.

[NI06200] Consul de France.

[NI06202] Il était avocat.

[NI06203] Avocat.

[NI06210] Appelé John.

[NI06214] dit Dion.

[NI06265] Le prêtre a inscrit comme nom, le 13 novembre 1674, Gongeauté.

Aussi Beaugeaure et Bougeant.

[NI06270] Filleule de son grand-père Nicolas Fasche.

[NI06271] Décédée lors de l'épidémie de 1702-1703.

[NI06296] Aussi Dumays.

[NI06298] Aussi Dumays.

[NI06307] Aussi Demers dit Dessermons.

Cultivateur de juin 1691 à octobre 1694 et boulanger de septembre 1702 à mai 1707.

[NI06309] Parrain et marraine; Marie Archambault et Jean Dumoys.

Elle sera déshéritée par ses parents à cause de sa conduite libertine.
LVLNF, p. 385.

[NI06311] dit Montfort.

Cultivateur et voyageur.

Ils ont demeuré sur la rue Outaouaise II (Michillimakinac), à Montréal.

[NI06312] dit Chefdeville.

Cultivateur habitant.

[NI06313] dite Laverdière et dite Bléry.

[NI06314] Ils ont eu 5 fils et 8 filles.

[NI06315] Ils ont eu 7 fils et 2 filles.

Il était charpentier.

[NI06316] Ordonné prêtre le 21 novembre 1683. Il devint secrétaire de Monseigneur de Laval, nommé chanoine et retourne en France où il décédera.

Il était un excellent artiste-peintre.

[NI06318] Parents de 8 fils, 2 filles et 3 anonymes.

[NI06321] Elle est entrée chez les soeurs Hospitalières de Saint-Joseph en 1675. Elle y a fait profession en 1677.

[NI06324] Mon 9ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666 la famille habite l'île d'Orléans et elle a un domestique engagé; Jean Robert, âgé de 19 ans.

[NI06325] Ma 9ième arrière-grand-mère.

[NI06326] Il est le fondateur de la ville de Côte-à-Beauchesne, sur les bords de la rivière Wabash (Indiana).

[NI06330] dit Sainte-Marie.

[NI06332] dit Dauphiné.

[NI06333] Il participe, en 1755, à la construction du fort Duquesne (Pittsburgh).

[NI06335] Aussi Le Vasseur.

Jumeau de Jean François.

[NI06338] dit Richaume.

[NI06339] dit Lacroix.

[NI06341] Voyageur, interprète.

Il a travaillé pour la compagnie du Nord-Ouest, l'American Fur Company et le gouvernement des Etats-Unis pendant trente-cinq ans.

Il a guidé l'expédition de Lewis et Clark en 1805-1806, les premiers à partant de St-Louis à se rendre au Pacifique.

Toussaint avait trois femmes Amérindiennes, sa préférée était Sakajoué.

[NI06342] Elle était Amérindienne.

[NI06345] Sieur De Lemon.

[NI06357] Aussi Forault. Il vint en Nouvelle-France à bord du navire Saint-Jean-Baptiste de Dieppe.

Il se fixa à Montréal le 20 novembre 1689. Il loua un emplacement sur la rue Saint-Gabriel. En peu de temps il devint l'un des charpentiers les plus sollicités de Montréal.

[NI06362] dit Lebeau.

[NI06371] dit Le Baron.

[NI06372] dit Lacombe.

[NI06373] dit Le Bacon.

Tissier et habitant.

[NI06375] Dit Lacombe.

Ses parents sont de Chartres, Orléanais, France.

ANCÊTRE DIRECT DE FRANÇOIS BIBEAU.

[NI06380] dit La Poussière.

Il était maçon.

Au recensement de 1666 son nom est écrit Gendre et la famille habite la côte de Beaupré.

[NI06386] dit Point Du Jour.

Au recensement de 1666 il demeure à Beaupré et il est veuf.

[NI06393] dit St-Onge.

[NI06395] Notaire royal et greffier.

[NI06396] Aussi sous le nom de Léger.

[NI06397] Aussi Josset et dit Laloire.

Venu avec La Grande Recrue. Ils ont eu 12 enfants.

Dans un document il est inscrit 1632 comme année de naissance.

[NI06405] ANCÊTRE DIRECT DU DR CHÉNIER.

[NI06416] Mon 9ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666 son nom est inscrit Chalifour. Ils ont un domestique engagé du nom de Jacques Baudoin, âgé de 25 ans.

[NI06421] Epicier et marchand à Poires.

[NI06427] Soldat du régiment De Carignan, compagnie De Labrisardière.

[NI06429] Au recensement de 1666, il habite avec sa femme à l'île d'Orléans.

Il déclare être "faiseur de rets".

[NI06430] Aussi Mignié et Magné.

Son nom est inscrit ainsi au recensement de 1666: Musnier (comme Meunier).

[NI06432] Aussi Chartrain.

[NI06449] dite Leblanc.

[NI06456] Au recensement de 1666 la famille habite l'île d'Orléans.

[NI06466] dit Nantel.

Capitaine de milice.


4 Février 1716

Adhémar dit Saint-Martin, J.-B. (1714-1754)

(Mtl) Observation: L'acte a été rédigé le 29 juillet 1714.

Dépôt d'un règlement avec un procès-verbal de visite des terres de la communauté de Jean Berlouïn dit Nantel, veuf de Marguerite Forget, de l'île Jesus.

Doc #: 17160204PA012079

[NI06471] aussi Magot dans un document.

[NI06472] Il était fermier.

Ils ont eu 12 enfants. En 1681, il possède un fusil, deux bêtes à corne et 4 arpents en valeur.

ANCÊTRE DU CURÉ LABELLE.

[NI06475] Arrivé de Picardie ves 1671.

[NI06477] 25 Juillet 1739 (Mtl)

Comparet, F. (1736-1755)

Contrat de mariage entre Ignace Paquet, fils de François Paquet et de Marie Marcoux, de Charlebourt; et Marie-Marguerite Labelle (20 ans), fille de François Labelle et de Geneviève Augé, de l'île Jesus.

Doc #: 17390725PA022705
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3 Avril 1740 (Mtl)

Simonnet, F. (1737-1778)

Quittance de Elisabeth Brunet, veuve de Pierre Busson dit Subtil, de la ville de Montreal, rue Saint Francois, à Ignace Pasquet, maître maçon, de l'île Jesus.

Doc #: 17400403PA024405

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[NI06481] Aussi Bouhours, Bour, Bours et dit Lachapelle.

[NI06482] 23 Octobre 1715

Adhémar dit Saint-Martin, J.-B. (1714-1754)

(Mtl) Renonciation de droits successifs immobiliers situés au petit village, paroisse de Notre Dame de Beauport à Quebec; par Antoine Bourg dit Lachapelle et Marianne Vendendaigue, son épouse, et Jean Ducas et Marie-Charlotte Vendendaigue, son épouse, à Claude Vendandaigue, de l'île Jesus.

Doc #: 17151023PA012066

[NI06486] dite Potvin.

[NI06487] Aussi Alard et Richard.

[NI06497] Seigneur de La Bouteillerie et de Roche-Guyon.

Il est passé au service des Anglais dans la dernière phase de la guerre de Cent ans, au lendemain de la prise de Rouen en janvier 1419. Il était avec les Anglais à l'époque de Jeanne D'Arc et il y demeura jusqu'à sa mort en 1438. Il défendait alors sa seigneurie et place-forte de la Roche-Guyon. Ce fief de la Roche-Guyon fut confisqué par Henri V, roi d'Angleterre, à la chateleine Perrette de la Rivière (on dit qu'elle était renommé pour sa beauté et son élégance), veuve de Guy VI de la Roche-Guyon (elle avait défendu son domaine contre le comte de Warwick contre Gui Le Bouteillier). Le roi Anglais lui avait offert de le conserver en mariant Guy Le Bouteillier, mais elle refusa d'épouser "le plus vil des traîtres".

Le fief fut donné par Henri V, à Guy, le 20 mars 1420.

[NI06498] Dame de Vaux-sur-Orge et de La Boissière en 1452.

[NI06499] Baron D'Escornaix.

[NI06501] Seigneur de Dudzeele et Straten en France.

[NI06503] Seigneur De Ghistelles.

[NI06504] Dame de Straten.

[NI06508] Seigneur de Durbuy.

[NI06510] Seigneur de Dinslaken.

[NI06512] Duc de Brabant.

[NI06514] Connu aussi sous le nom de Philippe II Août, Roi de France.

Il accéda au trône de France en 1180.

[NI06515] De Méranie.

Elle était une princesse.

[NI06516] Connu sous le nom de Louis Le Jeune, roi de France.

Il accéda au trône en 1137.

[NI06517] De Champagne.

[NI06518] Connu sous le nom de Louis Le Gras, roi de France.

Il accéda au trône en 1108.

[NI06522] Connu sous le nom de Philippe I Le Juste, roi de France.

Il accéda au trône en 1060.

[NI06534] Roi de France.

Il accéda au trône de France en 1030.

[NI06535] Aussi Anne De Kiev.

[NI06538] Connu sous le nom de Robert II Le Pieux, roi de France.

Il accéda au trône de France en 996.

[NI06542] Il accéda au trône de France en 987.

Il est le fondateur de la dynastie des Capétian. Son empire comprenant de nombreux fiefs à Paris et Orléans en faisait un gouvernant de la France ayant beaucoup d'emprise sur ses sujets.

Quand Louis V, de France, le dernier de la lignée des Carolingien, décéda en 987, sans successeur, la popularité de Hughes lui fit gagner l'élection au trône.

Quoique plusieurs nobles tentèrent de ne pas se soumettre à son autorité, ils n'eurent guère le choix lorsque Hughes instaura un système d'ordre dans le royaume.

[NI06548] Connu sous le nom de Hughes Le Grand, de Neustria, Comte de Paris, Duc de France.

[NI06551] roi de France.

[NI06556] Elle était la princesse du Saint Empire Romain.

[NI06557] Aussi Hubert 1, Comte De Vermandois.

[NI06562] Comte De Péronne, dans la région de Paris.

[NI06567] Il accéda au trône d'Italie en 812. Il y resta jusqu'en 818.

[NI06571] Connu aussi sous le nom de Roi des Langobordiens.

Roi d'Italie.

Il accéda au trône d'Italie en 781 jusqu'en 810.

[NI06573] Charles 1er Le Grand, connu sous le nom de Charlemagne.

Roi des Francs et Empereur d'Occident.

[NI06578] Louis Le Pieux.

[NI06607] Il était capitaine de milice.

[NI06622] dit St-Jean.

Soldat de Bégon.

[NI06626] Brosseau dit Lajoie.

[NI06629] Soldat De Carignan, compagnie De Grais.

[NI06633] Au recensement de 1666 ils ont un domestique engagé; Jacques Renaut, 18 ans.

[NI06637] Seigneur et Intendant.

[NI06654] dit Lacroix.

[NI06655] dite Montpellier.

[NI06658] Aussi Mahé.

[NI06659] dit Lacroix.

[NI06663] Sieur De L'Espinay.

Ecuyer.

Au recensement de 1666, la famille habite à Québec et elle a un domestique engagé du nom de Pierre Cretel, un cordonnier, âgé de 25 ans.

[NI06665] dit De L'Espinay.

[NI06667] 3 Octobre 1705 (Qc)

Lacetière, F. de (1702-1728)

Compromis entre Etienne Mirambeau, marchand, de la ville de Québec, et Jacques Barbel, notaire royal, de la ville de Québec, au nom et comme procureur de Eustache Fortin, habitant, du Cap Saint Ignace, oncle maternel et
tuteur de Marie-Catherine Lepicard et Joseph Lepicard, enfants mineurs des défunts Jean Lepicart, marchand et Marie-Anne Fortin, de la ville de Québec.


28 Juillet 1732 (Qc)

Pinguet de Vaucour, J.-N. (1726-1748)

Obligation de Eustache Fortin et Louise Cloutier, son épouse, du Cap St Ignace, à la succession de feu Jean Lepicard, à ce présent et acceptant Etienne Verron de Grammenil, au nom et comme tuteur de Marie-Catherine de Grammenil, sa fille, et Marie-Louise Riche, veuve de Jean-Joseph Lepicard, tutrice naturelle des enfants issus de son mariage.

Doc #: 17320728PA005739

[NI06669] dit Desrosiers.

Chirurgien.

Au recensement de 1666, pour la côte de Beaupré, ils ont une fille pensionnaire, Louise Guillot, âgée que de 6 ans et le beau-frère de François, Zacharie Jolliet, âgé de 19 ans.

[NI06673] Charron de la compagnie.

[NI06674] dite La Caille.

[NI06688] Sieur De La Chevrotière.

Il a eu une maîtresse, Marguerite Josselin, a qui il a donné un enfant. Un jugement le force à payer pour cet enfant, le 13 mai 1675.

[NI06695] dit De La Bissonnière.

[NI06696] dit Longval.

[NI06700] dit Lespine.

[NI06713] Lieutenant, Conseiller et Chevalier de St-Louis.

[NI06715] Ingénieur de la marine.

Chevalier de St-Louis.

[NI06719] Chevalier et capitaine.

[NI06721] Seigneur De St-Ours. Capitaine du régiment De Carignan.

[NI06728] dit Bellerive.

[NI06733] Sieur Des Islets.

[NI06736] Marchand.

[NI06738] Soldat.

[NI06741] dit Laramée.

[NI06742] dite Lardon.

[NI06749] Aussi écrit Vendendaigle.

[NI06758] Soldat et maître-tourneur.

[NI06763] Fermier de La Redoute de Monsieur De La Durantaye.

Au recensement de 1666 la famille demeure à Beauport. Ils ont un domestique engagé, Jean Lafrance, 21 ans.

[NI06765] 9ième arrière-grand-père de mon épouse.

Au recensement de 1666 le nom est aussi inscrit ainsi: Dillot.

[NI06783] dit Tourville.

[NI06784] dite Latour.

[NI06806] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Marsta.

Venu avec La Recrue en 1659.

Il était tailleur de pierres, maître maçon et habitant.

Ils ont eu 7 enfants.

[NI06814] Au recensement de 1666 René habite avec son épouse, sans enfants, soit à St-Michel, St-Jean ou St-François.

[NI06834] dit Lachapelle.

[NI06835] Venus avec la recrue en 1653.

Il s'est noyé accidentellement.

[NI06841] dit Lachapelle.

Il était chapelier.

[NI06842] yyy

[NI06848] dit Lafontaine.

Il possédait la concession numéro 32 à Boucherville.

Au recensement de 1666 la famille habite Trois-Rivières. Ils ont deux domestiques engagés; Simon Caillouet, 35 ans, et Hierosme (Jérôme) Langlois, 64 ans, maître-serrurier.

JACQUES EST L'ANCÊTRE DES MÉNARD ET DES LAFONTAINE. Et aussi, par son fils Maurice, celui de Pierre Rousseau, le grand-père à Lise et par sa fille Marie, celui de Eméla Gareau, ma grand-mère. Il est, à mon épouse et moi, notre 8ième arrière-grand-père et aussi mon 9ième.

Ils étaient tous les deux interprètes à Michillimakinac (aujourd'hui Détroit).

Michillimakinac devint un poste de traite des fourrures en 1679. Il devint très rapidement le centre de la traite des fourrures. Le poste fut fortifié en 1761. Ses 7000 habitants étaient composés de Français et de membres des nations des Hurons et des Outaouais.

Le nom original Michillimakinac signifiait "tortue". Il fut changé par la suite par Makinac et c'est aujourd'hui la ville de Détroit.

[NI06849] Claude était boucher.

[NI06853] Il était armurier et arquebusier.

[NI06855] Il était procureur fiscal. Maître-boulanger. Arrivé de Touraine en 1653.

Ils ont eu 9 enfants. Aussi indiqué 1616 comme année de naissance.

En 1666, selon le recensement, ils avaient deux domestiques engagés; Gilles De Rennes, 45 ans, et Antoine De Serre, 22 ans.

[NI06856] Besnard.

[NI06870] Huissier du roi.

[NI06880] Aussi Roguer.

[NI06882] Maître-armurier.

[NI06886] dit Delisle.

Sieur Des Cormiers.

Au recensement de 1666, la famille habite Sillery. Jacques déclare être un chandellier et habitant.

[NI06887] Dans le recensement de 1666, son nom est inscrit ainsi: De La Porte.

[NI06890] dit Rousson.

Ils demeuraient sur la rue Saint-Jacques au même moment où sa grand-mère, Anne-Marie Fannexeke était aussi propriétaire sur la même rue, le 31 décembre 1704.

[NI06891] dite Laviolette.

[NI06892] dit Laviolette.

Il était soldat De Duplessis.

[NI06896] dit L'Epinette.

[NI06897] Aussi écrit Biard au recensement de 1666.

[NI06904] dit Rousson.

[NI06905] Ecrit aussi son nom ainsi: Bré.

Habitant de Soulange.

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26 Février 1760 (Mtl)

Vuatier, T. (1751-1785)

Observation: Acte sans intitulé.

Vente d'une terre située en la seigneurie de Soulange; par Etienne Bray, habitant et Barbe Dazé, son épouse, de Soulange, à Pierre Leconte dit Lafleure, habitant, de Lachine en l'île de Montreal, ce acceptant pour lui Charles Leconte dit Lafleure, habitant, de Soulange, son frère.

Doc #: 17600226PA025940

[NI06907] dite Desnoyers.

[NI06917] dite Laframboise. Aussi prénommée Madeleine dans un document.

[NI06925] dite Montreuil.

[NI06933] Chirurgien.

[NI06935] dit La Haye.

Il était charron.

Pris et tué par les Iroquois en 1659 mais plus probablement en 1663.

[NI06936] Aussi Meret.

[NI06944] dit Cardinal.

[NI06945] dit Cardinal.

[NI06950] dite Desrosiers.

[NI06952] dite Cardinal.

[NI06955] dit Soulanges.

Il était cordonnier.

[NI06963] Ce nom s'écrivait aussi ainsi: Du Bau, Dubeau, Dubos...

[NI06976] dit La Palisse, dit Le Parisien.

Il était cordonnier. Soldat du régiment De Carignan, compagnie De Lafredière.

[NI06978] Huronne.

[NI06979] dit Macouce.

[NI06981] Sieur De Longval.

Marchand.

[NI06983] dit De Vieux Pont.

Lieutenant.

[NI06985] dit Linctot.

Et son nom s'écrivait aussi ainsi: Godefroy.

Au recensement de 1666 la famille habite à Trois-Rivières. Son fils Michel (son épouse Perrine et leur petite fille de 6 mois) habitent avec eux. Ils ont 6 domestiques engagés; Pierre Chaperon, 22 ans, Roger De La Touche, 19 ans, Gilles Durand, 24 ans, Nicolas Fréron, 17 ans, Jean Rat, 23 ans, et Charles Des Nos dit La Plume, 18 ans.

[NI06991] dit St-Cerny.

[NI06994] dite Lafranchise.

[NI07006] Venus avec la recrue de 1653.

[NI07015] dite Brindamour.

[NI07016] Il était marchand, notaire royal et substitut du procureur du Roi aux Trois-Rivières.

[NI07020] Capitaine de milice et notaire royal.

[NI07022] Sieur de Grandmesmil.

[NI07024] Sieur De Saint-Quentin.

Lieutenant du Roy.

Au recensement de 1666 la famille habite Trois-Rivières. Elle a deux domestiques engagés, Robert Henry, 20 ans, et Nicolas Dupuis, 24 ans.

[NI07025] Aussi Marguerise et Marguerite.

[NI07034] Soldat du régiment De Carignan, compagnie De La Varennes.

[NI07047] dite Lafontaine.

[NI07048] dit Lafontaine.

[NI07049] dite Delorme.

[NI07051] dit Laframboise.

Ils étaient tous les deux interprètes pour le Roi en la langue Outaouaise.

Au recensement de 1666, la famille habite Trois-Rivières. Ils ont un domestique engagé du nom de Claude Sauvageau, 20 ans.

[NI07053] Aussi Brousseau.

[NI07061] dit Maurisseau. Et aussi Rochereau.

[NI07062] Son nom s'écrivait aussi ainsi: D'Héry.

[NI07064] Au recensement de 1666 la famille habite Trois-Rivières.

[NI07066] dit De La Mothe.

Au recensement de 1666 la famille habite Trois-Rivières. Ils ont un domestique engagé du nom de Antoine Lespinay, 20 ans.

[NI07077] Laboureur à Port-Royal en 1671.

[NI07079] Aussi Brot, Brault, Breau...

[NI07080] Aussi Bourg et, probablement, Bourque.

[NI07081] Laboureur à Port-Royal en 1671.

[NI07084] Aussi Elisabeth.

[NI07085] dit Sansoucy.

[NI07095] Capitaine de milice. Capitaine du Port à Port-Lajoie.

[NI07097] Charpentier.

[NI07110] dite Camirand.

[NI07111] dit Camirand.

[NI07117] dit Lafranchise.

Son nom s'écrivait aussi Pastourel.

Soldat du régiment De Carignan, compagnie de Monsieur De Saurel.

[NI07121] 3 Juillet 1738 (Mtl)

Comparet, F. (1736-1755)

Echange de terres situées à l'île Jesus entre Joseph Etie et Angélique Labelle, son épouse, de l'île Jesus, et Pierre Rengée, marchand, de la Rivier des Prairie.

Doc #: 17380703PA022663

[NI07122] En 1681, il est le chef de l'une des quatre familles établies à Saint-François de la seigneurie de l'Ile Jésus. Il y a alors une population de 27 personnes.

Sabotier et habitant, venu en Nouvelle-France vers 1665. Ils ont eu 10 enfants, les 3 premiers nés en France et les sept autres à Lachenaye.

[NI07130] dit Bruneau.

[NI07131] dite Lafleur.

[NI07136] Dans un document son nom est inscrit ainsi: Edmond.

Au recensement de 1666 la famille habite l'île d'Orléans. François vient de naître, il a 12 jours et sa soeur Marie a 17 mois.

[NI07155] dit Boiry dit Lavergne.

[NI07158] Habitant.

[NI07171] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Chuisnard.

[NI07174] dite Le Blé.

[NI07186] dit De La Fontaine.

Au recensement de 1666 la famille habite l'île d'Orléans.

[NI07187] Son nom est inscrit ainsi; Target, au recensement de 1666.

[NI07192] dite Valcourt.

[NI07197] Le Parchemin
21 Septembre 1738 (Mtl)

Comparet, F. (1736-1755)

Transport et quittance de Jacques Foy dit Lacroix et Agathe Goguet (mineure), son épouse, à Louis Courval, au nom et comme tuteur et chargé des biens de la succession de feu Jean Goguet et Bourgeois, son épouse.

Doc #: 17380921PA022669

[NI07203] dit Lafontaine.

Soldat du régiment De Carignan, compagnie De La Fredière.

Sabotier et laboureur. Ils ont eu 7 enfants.

[NI07204] Venue en 1676, après la fin de l'envoi des filles du Roi, reçue à la Pointe St-Charles.

[NI07205] dit Poulin.

[NI07228] Il était taillandier.

[NI07230] Cadet militaire de août 1696 à janvier 1697.

[NI07233] dit Deschats.

Boucher.

[NI07236] dite Duverdier.

[NI07240] dit Le Breton.

Menuisier.

Il fut propriétaire sur la rue Saint-François-Xavier, de 1687/11/22 à 1695/02/10.

[NI07244] Fille du roi.

[NI07245] dit Sieur De Laverdière.

Chirurgien et agriculteur.

Nommé juge et bailli de la seigneurie de la Côte de Beaupré, par Mgr Laval, et de
la seigneurie de l'ile d'Orléans.

[NI07253] dite Passavant.

[NI07259] Venu avec La Recrue de 1653.

Il est maçon, scieur de long et défricheur.

Ils ont eu 13 enfants.

[NI07285] Il possédait la concession numéro 26 de la seigneurie de Boucherville.

Le samedi matin, 27 mai 1690, le Conseil souverain est saisi de l'appel de Jean Haudecoeur, habitant du bourg de Boucherville, condamné par le bailli de Ville-Marie pour le meurtre de François Pougnet, vivant marchand de Ville-Marie. Il avait été condamné "d'avoir le poin de la main droite coupé, devant la porte de sa victime, et ensuite six coups vifs sur les jambes, cuisses et bras sur un échafaud et mis ensuite sur une roue la face tournée vers le ciel pour y finir ses jours".

Le Conseil Souverain met cette sentence "à néant". Jean Haudecoeur sera étranglé avant de recevoir les coups et après être demeuré 24 heures sur la roue il sera secrètement enterré.

A-a-a-a-a-arrière... petit cousin de Lise.

[NI07289] Il portait aussi le nom de Labrie.

[NI07290] Son nom s'écrivait aussi ainsi: Doucinet.

[NI07291] dit Saint-Michel.

[NI07301] dit Oué et aussi Houé.

Soldat.

[NI07311] dit Beauchemin.

[NI07331] dit Languedoc.

5 Octobre 1732 (Mtl)

Loiseau dit Châlons, A. (1730-1760)

Bail à ferme de terre située en la grande île St-Joseph; par François Boucher de Laprairie, écuyer et cadet à l'aiguillette d'un détachement de la Marine, du bourg de Boucherville, à Louis Lacoste dit Landot et Marianne Lacroix, son épouse.

[NI07332] dit Lacroix.

[NI07337] dit Belhumeur.

Habitant, ils ont eu 8 enfants.

[NI07338] Fille du roi.

xxx

[NI07343] Maître d'armes.

[NI07345] dit St-Jème (ou Saint-Jemme).

Ils ont eu 9 enfants. Ils avaient un domestique engagé, en 1666, André Rapin, âgé de 24 ans.

[NI07346] Aussi Soldé.

[NI07385] dit L'Acadien.

[NI07412] De la nation Naskapi.

[NI07424] Aussi prénommé André.

Dit Arnaut et dit Desmoulins.

[NI07425] dite Pominville.dite Pomminville.

[NI07441] dite Montpellier.

[NI07442] Jardinier.

[NI07446] dit Courville.

Coureur des bois, interprète de langues Indiennes.

[NI07451] dit Chaumine.

Sieur de Lavigne.

[NI07462] Capitaine.

[NI07464] Il se faisait appelé Sicard.

Capitaine de Milice.

[NI07468] Chirurgien.

[NI07470] Chirurgien.

[NI07472] Chirurgien.

[NI07476] dit La Rose.

Charpentier de navires.

[NI07494] Aussi Terrienne.

[NI07503] Il était maître-menuisier et vint en Nouvelle-France vers 1655, 1656.

[NI07505] dite Lajeunesse.

[NI07507] dit Hestel, dit Estène et dit Stebre.

[NI07538] dit Carbonneau.

[NI07539] dit Tourville et dit Filion.

[NI07541] dite Deslongchamps.

[NI07544] Prénommé Jacques dans un document.

Au recensement de 1666, la famille habite Trois-Rivières.

[NI07548] Aussi Henault et dit Deschamps.

Il était défricheur. Il s'était engagé le 18 avril 1653 pour venir en Nouvelle-France. Il est arrivé le 16 novembre 1653 sur la Sainte-Marguerite.

Il fut assassiné par le lieutenant Dumont De Blaignac.

[NI07549] dit Arcouet.

[NI07551] dit Belhumeur.

[NI07553] Marguerite Bourgeoys, dès son arrivée à Ville-Marie, en novembre 1653, a écrit sur elle: "Monsieur de Maisonneuve me donna pour élever Jeanne Loysel, la PREMIÈRE ENFANT VIVANTE DE MONTRÉAL. Elle avait quatre ans et demi".

Avec sa soeur Françoise elle a fait partie des premiers élèves de l'école-étable de Marguerite Bourgeoys.

[NI07557] dite Lebeau.

[NI07558] dit Moinet.

[NI07567] Violée et tuée, à coups de hache, par l'Amérindien Michel Oustante, le 12 juillet 1689, alors qu'il était ivre. Oustante habitait la Mission du Sault (St-Louis). Ce dernier fut reconnu par le frère de la victime, Nicolas, à cause de la marque en forme de croix qu'il a au milieu du front et une échelle à la cuisse.

Justice ne sera jamais rendu, et ce, malgré un long procès où témoignèrent plusieurs personnes et malgré les demandes du père de Jeanne, car on craignait "...de révolter les Sauvages du Sault dans un temps de guerre dangereuse".

(LVLNF, pp. 287 à 299).

[NI07569] dite Laferrière.

[NI07590] Au recensement de 1666 la famille habite à l'île d'Orléans. Elle a un domestique engagé, Anthoine Drappeau (sic), âgé de 24 ans.

[NI07591] Ma 9ième arrière-grand-mère.

dite Grandry. Son nom est inscrit Grandy dans le recensement de 1666.

[NI07592] Mon 9ième arrière-grand-père.

dit Pontife.

Notaire-royal et greffier.

Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré. Jacques déclare être "Athelot Calfateur". Il peut s'agir d'une faute d'ortographe et être Mathelot.

[NI07599] Recensement de 1666; la famille habite l'île d'Orléans. Elle a un domestique engagé qui est aussi maçon, Nicolas de la Ruel, 28 ans.

[NI07615] Jack.

[NI07620] dit Boismenu.

[NI07623] Moinet.

[NI07628] dit Laforge.

[NI07629] Le 16 octobre 1691, Anne Charlotte réclame la séparation de biens et de corps.

Son époux dit qu'ils sont un mauvais ménage à cause de la mauvaise humeur de sa femme mais consent à la séparation de biens.

Le partage sera fait par Gabriel Cardinal et il devient le curateur d'Anne Charlotte.

Anne Charlotte et Michel sont condamnés à se tenir à distance.

Elle couche avec les militaires et fait la chose même en plein jour à l'extérieur. Elle donne même des rendez-vous près de la chapelle Bon Secours.

xxx

[NI07631] dit Le Picard.

Menuisier.

[NI07648] Fille du roi, reçu à la Pointe St-Charles en 1668.

[NI07653] Aussi Mallet.

Laboureur arrivé en 1659.

Ils ont eu 6 enfants.

[NI07657] Sieur De Lavigne.

Ils étaient bourgeois. Ils avaient deux domestiques engagés en 1666; Etienne Gentes, âgé de 18 ans et Jacques Hurtaut, âgé de 25 ans.


Urbain Tessier est né en 1624, à Château, en Aujou. Plusieurs années plus tard, le plus ancien document qui révèle sa présence en Nouvelle-France est la première concession que lui signe M. de Maisonneuve le 10 janvier 1648.

À Québec, le 28 septembre 1648, il épousait Marie Archambault. Leur voyage de noces consista à remonter le fleuve à la rame jusqu'à Montréal où la vie continua comme elle avait commencé.

Urbain pratiquait un métier rude, mais très recherché, il exerçait le métier de scieur de long, sans compter sa terre qu'il cultivait en même temps. En ce temps, la scie mécanique n'existait pas encore et la planche à bâtir se faisait à la main.

L'ancêtre Urbain Tessier vécut une expérience peu banale, car en mars 1661, alors qu'il travaillait sur l'une des corvées qu'on organisait dans le temps, il fut capturé par les iroquois, avec trois autres de ses amis. Marguerite Bourgeois parle incidemment des supplices terribles qu'ils endurèrent, sans compter
l'inquiétude extrême de laisser chacune de leur famille livrée à elle-même, surtout dans ces années là.

L'ancêtre, homme d'un physique robuste, ne s'en laissait pas imposer. Il paraît aussi que la vie de famille comptait énormément pour lui. Urbain et Marie firent baptisés seize enfants, entre les années 1649 et 1679. Mais six moururent en bas âge et dix, dont sept garçons, contractèrent mariage.

Après une vie de dur labeur, l'aïeul décédait le 21 mars 1689, à Montréal. Son épouse, Marie Archambault, lui survécut encore plusieurs années et s'éteignit le 16 août 1719, à Pointe-aux-Trembles.

Les descendants du couple Tessier/Archambault se firent connaître sous les noms de Lavigne et de Tessier, au Québec surtout, et aussi en Nouvelle-Angleterre et dans l'Ouest canadien.

Notons pour conclure qu'à la septième génération, Moïse, un marchand de Montréal a donné au pays trois fils qui furent des musiciens remarquables : Arthur, né en 1845, fonda l'École de Musique de l'Université Laval et forma plusieurs artistes ; Horace-Emery étudia l'orgue à Montréal et à Paris ; Ernest,
virtuose et compositeur, fonda en 1889, l'orchestre de Montréal et dirigea pendant plus de vingt ans des concerts publics, au parc Viger de Montréal.

[NI07662] dit De St-Martin.

Soldat du régiment De Carignan, compagnie De Monsieur De Saurel.

Notaire-royal.

[NI07674] dit Baron.

[NI07676] dit La Bière.

Habitant, arrivé en 1664.

Ils ont eu 7 enfants.

[NI07679] dit Lafleur.

Sergent de garnison et marguiller de Montréal. Il est tué par les Iroquois le 2 juillet 1690, lors de l'escarmouche de la coulée Groulx. Enterré à la hâte au même endroit, il est finalement exhumé puis inhumé dans le cimetière de Montréal, le 2 novebmre 1694.

[NI07680] Marchand de blé.

[NI07682] dit St-Amour.

[NI07690] Forgeron et voyageur.

[NI07711] dit Champagne.

[NI07720] Martine était une "fille du roi".

[NI07740] dit Valcourt.

[NI07763] dit Dorval.

[NI07765] Sieur D'Orval.

Chirurgien.

[NI07768] Aussi écrit Leguen et Luguen.

[NI07771] xxx

LVLNF, pp. 386-387.

[NI07778] dit Lalande.

Tailleur.

[NI07781] Soldat de Monsieur Le Villiers.

[NI07783] xxx

[NI07788] Aussi Demers et Demay.

Il est arrivé en Nouvelle-France vers 1644 et à Ville-Marie en 1647.

Il était fermier de Monsieur De Varennes.

Ils ont eu 12 enfants.


Dans un document date d'inhumation; 17 juillet 1711 à Montréal.

Il est probablement celui qui injuria le Sieur De La Fredière qui voulait chassé sur ses terres. Humilié ce détestable personnage fut condamné le malheureux à la torture sur le cheval de bois. André passa une longue heure avec des poids de cent livres aux pieds. La Fredière courtisait aussi les dames. Pour obtenir les faveurs d'Anne Thomas il éloigna son mari en lui donnant une corvée de dix-neuf jours... Dérangeant, Jean Talon en parla au gouverneur Tracy qui le fit prendre un vaisseau en direction de la France. Au grand soulagement de la population.

[NI07789] Aussi Chefdeville.

Elle est arrivée en 1651.

[NI07793] Noble.

[NI07795] dit De Folleville.

Charles prétendait que seulement 3 enfants étaient les siens...

[NI07796] dite Folleville.

Elle était cabaretière.

xxx

[NI07800] dit Folleville.

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18 Juin 1706 (Mtl)

Lepailleur de LaFerté, M. (1701-1732)

Observation: L'intitulé mentionne la date du 18 février 1706.

Obligation de Gabriel Testard dit Folleville, de l'île Jesus, à Jean-Baptiste Nolan, marchand, de la ville de Villemarie.

Doc #: 17060618PA018674

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4 Août 1706 (Mtl)

Lepailleur de LaFerté, M. (1701-1732)

Cession de parts de terre situées sur le niveau de la rue St Paul en la ville de Villemarie; par Gabriel Testard, de l'île Jesus, Jean Testard, Joseph Lefebvre et Marie Testard, son épouse, Alexis Marchand, époux actuel de Jeanne Testard, de Batiscan, et encore comme fondé de procuration de Catherine Testard, veuve de
Augustin Douaire, à Marie Testard et Antoine Duquet dit Madry, de Lachesnaye,
Jean-Baptiste Nolan, marchand, de Villemarie, à ce présent et acceptant pour ladite Dame.

Doc #: 17060804PA018686

[NI07818] Sieur De Repentigny (Sieur D'Arpentigny).

yyy (LVLNF, p. 324)

[NI07819] Escuyer. Sieur D'Arpentigny.

Au recensement de 1666 la famille habite Québec et ils ont deux domestiques engagés; Pierre Martin, 22 ans, et François Tourmente, 13 ans.

[NI07821] dit De Belle-Borne.

Célèbre interprète, commis et voyageur.

[NI07831] Marchand de Montréal.

En 1701, il souffre de violent maux d'estomac qui l'empêchent de garder toute nourriture. Une Iroquoise du nom de Marie Chambly, accepte d'allaiter le malade à condition d'être habillée à "la francoise de pied en cap". Cette fille des bois, parait-il, a la poitrine généreuse et bien galbée.

[NI07846] Conseiller du prince de Condé.

[NI07847] Sieur D'Argentenay.

[NI07852] Lieutenant des troupes de la marine et officier du fort Ponchartrain de Détroit.

[NI07858] Marchand bourgeois.

Dans le recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré.

[NI07861] Il aurait été bigame, pendant que sa femme est ici en Nouvelle-France, il court le cotillon en France et se serait même marié en Allemagne.

yyy
LVLNF, p. 430.

[NI07862] Il eut un deuxième enfant avec Marie mais l'abandonna pour une autre femme. Marie porta plainte. Mais son mari fut tué lors d'une escarmouche entre habitants et Iroquois.

[NI07865] dit St-Maurice.

[NI07869] dit Ladouceur.

[NI07881] dit Ladouceur.

Soldat de Dumesnil.

[NI07885] dit Beaufort.

Soldat du régiment De Carignan, compagnie De Lafredière.

Tailleur.

[NI07895] dit Laprée.

8ième arrière-grand-père de mon épouse.

Au recensement de 1666 la famille habite Trois-Rivières.

[NI07905] dit Le Meilleur.

[NI07917] Nicolas était maître-charron.

ANCÊTRE DU CARDINAL VILLENEUVE.

Il mourra aussi chez sa fille ayant tenté en vain de se faire garder chez ses fils.

[NI07918] Elle mourra chez sa fille.

[NI07925] dit Forestier.

Au recensement de 1666 son nom est écrit Forestier.

[NI07938] Son nom s'écrivait aussi ainsi dans un registre: Légier.

[NI07942] Il était maître-tailleur.

Il était voisin de son beau-père Jean de Lalonde, l'ancêtre des Lalonde, établi sur les rives du Lac St-Louis.

Il est l'ancêtre des Daoût du Canada et des Etats-Unis.

Vers 1700, Guillaume était capitaine de la milice pour la région de Lachine et de La Prairie. Il était un des premiers "habitan" à cultiver le blé et à partager un moulin communal sur l'Ile Perrot.

Il fut le parrain de Guillaume de Lalonde, son beau-frère. Au moment du baptême c'est le Sieur Pierre Cavalier qui servit de parrain par procuration. Car Guillaume D'Aoust était parti combattre les Iroquois. Cela se passa en août 1684.

[NI07944] Aussi Hugues.

[NI07949] Sieur De Blainville.

Lieutenant d'un détachement de la Marine.

[NI07950] dit Champagne.

[NI07959] Son nom s'écrivait aussi Moysan.

[NI07962] Témoin dans l'affaire de Jeanne Danny dite Tourangeau et l'Iroquois Oustante. (LVLNF, p. 297).

[NI07963] Témoin dans l'affaire Jeanne Danny et l'indien Oustante. (LVLNF, p. 296).

[NI07966] dit Laplaine.

Soldat de la compagnie du Sieur De Cloche.

[NI07974] Exécuté sur la fourche patibulaire, le 27 novembre 1667, après avoir été reconnu du viol de la petite Jeanne Poullet, âgée de 11 ans, fille de Suzanne Miville et de Antoine Paulet. (LVLNF, p. 300)

[NI07975] (LVLNF, p. 302) Elle fut violée ainsi que Geneviève Hayot, par Pierre Pinelle.

[NI07981] Fils de Pierre Le Gardeur De Repentigny.

[NI07984] dit Larose.

Au recensement de 1666, ils ont 6 domestiques engagés; Jean Viger, 45 ans, matelot, Jacques Duhamel, 23 ans, Pierre Roy, 22 ans, Michel Hasté, 20 ans, serviteur, François Blot, 24 ans, boulanger et Jean Mardor, tonnelier, 25 ans.

[NI07986] Elle est la fille adoptive d'Antoine Primot et Martine Messier.

Ses vrais parents sont Guillaume Thierry et Ysabeau Le Messier.

[NI07987] Lieutenant-général et Seigneur de Longueuil et de Châteauguay. Noble.

Il est arrivé en Nouvelle-France à l'âge de 15 ans, en 1639, en tant que serviteur des Jésuites.

Procureur du roi en 1666.

Il maîtrisait parfaitement les langues indiennes. Il faisait le commerce de la traite des fourrures, de là lui vint sa richesse.

Au recensement de 1666, la famille a les domestiques engagés suivants:
Joachim Brunet, 20 ans, Désir Vigier, 22 ans, matelot, Simon Guillory, 20 ans, arquebusier, Adrien Sainct-Aubin, 18 ans et la servante Catherine Moytié, 16 ans, épouse de Désir Vigier (ou Viger).

[NI07988] Aubergiste de Saint-Jacques de Dieppe.

[NI07990] Premier baron de Longueuil.

Chevalier de St-Louis.

Commandant du massacre des habitants de Corlaer, aujourd'hui Schenectady dans l'État de New-York. Cette ville est attaquée à l'hiver 1690, en représailles pour le massacre de Lachine survenu l'été précédent.

[NI07992] Sieur D'Iberville.

Illustre marin.

Il a fondé la Louisiane, en 1698, et c'est à partir du nom de l'un de ses navires Le Prince que l'on baptisa Port-au-Prince, à Haiti. Il fut probablement empoisonné par les Anglais, à la Havane, car il préparait l'organisation d'une immense armada qui aurait longé les côtes de l'est du continent américain afin de s'emparer des villes côtières.

[NI07995] Chirurgien.

[NI07996] Ils avaient deux domestiques engagés en 1666; Jean Bloui, 23 ans, savetier, et Robert Coutard, 22 ans.

Catherine Thierry Primot est sa fille adoptive.

[NI07997] Le 29 juillet 1652, à l'âge de ans, Martine est au champ à une portée de fusil du fort. Trois Iroquois l'ont attaqué. Elle se défendit comme une lionne. Elle succombe aux nombreux coups et s'affaisse étendue par terre. Un Indien décide de mettre son genous sur sa poitrine afin de la scalper. La douleur provoquée par le poids de l'Indien la ranime. Voyant sa position précaire elle utilise toutes ses forces et décide de prendre son agresseur par la partie intime de son anatomie et elle serre. Il lui lâche la chevelure et essaie de faire lâcher prise à Martine qui criait. Pendant ce temps les Français arrivent en grand nombre. Le premier qui arrive près d'elle, l'embrasse par compassion. Elle le gifle. Surpris les autres lui demandent la raison de son geste. Elle répond: "Parmenda je croyais qu'il voulait me baiser". C'était une femme vertueuse. Le nom de "Parmenda" lui ai resté. Dans leur journal, les Jésuites affirment que les Indiens lui avaient infligé six blessures.

[NI07998] En 1666 Marie Anne est pensionnaire au collège de Québec, chez les Ursulines, sous le nom de Marie Anne de Saint-Denys Juchereau.

[NI07999] dit De La Combe.

Capitaine dans le régiment De Carignan.

Noble.

[NI08003] Lieutenant général des armées du roi.

[NI08008] zzz (LVLNF, p. 264).

[NI08019] Maître-tonnelier.

(LVLNF, p. 377)

Au recensement de l'été 1666 la famille habite à Québec.

[NI08029] dit Rémillard et dit Rouillard.

[NI08031] Grenier.

[NI08036] dite Elisabeth. Aussi Delguel.

[NI08037] dit Lacombe.

Boulanger.

Concession # 135 (ancien parcellaire), rue Saint-François Xavier.

[NI08052] Aussi Hély.

[NI08058] 9ième arrière-grand-père de mon épouse.

Son nom est écrit Creste dans le recensement de 1666 (le "s" pour " ^ "). Pierre est charron et habitant. La famille habite Beauport et ils ont un domestique engagé, qui est chapelier. Il s'appelle Pierre et est âgé de 24 ans.

[NI08059] Golin dans le recensement de 1666.

[NI08077] Aussi Gabory et dit Le Major.

[NI08087] Mon 8ière arrière-grand-père et le 9ième à mon épouse.

Il était un pionnier du tissage de la toile, lorsqu'il s'établit en Nouvelle-France, en 1651. Quoique tisserand en toile, cela ne l'empêcha pas de cultiver sa terre.

Il vint en Nouvelle-France, en 1654, avec Robert Giffard, qui lui concéda une terre sur sa seigneurie de Beauport.

Au recensement de 1666 il habite toujours avec sa famille à Beauport. Il déclare être tisserand en toile.

En 1667, il avait deux bestiaux et seize arpents en valeur.

Quatorze ans plus tard, soit en 1681, il avait onze bêtes à corne et un cheval, et cinquante-trois arpents de terre en culture.

[NI08094] dit Laminée.

[NI08095] dite Courville.

[NI08098] dite Bellefeuille.

[NI08101] dit Bellefeuille.

[NI08104] Aussi Grenier. Et aussi dit Pellerin.

9ième arrière-grand-père de mon épouse.

Au recensement de 1666 la famille habite soit St-Michel, St-Jean ou St-François. Elle a un domestique engagé, Pierre, 25 ans.

[NI08122] Au recensement de 1666, ils habitent à l'île d'Orléans, sans enfants.

[NI08130] Regnault.

[NI08141] Prénommée aussi Jacqueline.

[NI08148] 9ième arrière-grand-père de Lise.

Son nom s'écrivait aussi ainsi: Meunier.

Venu du Mans en 1644. Il était bêcheur et habitant.

Il était un soldat du régiment de Carignan, compagnie de La Mothe St-Paul.

ANCÊTRE DE RENÉ EDOUARD CARON.

Ils ont eu 9 enfants. Dans le recensement de 1666 son nom est écrit Jean Mounier. La famille habite la côte de Beaupré et l'ancêtre déclare être habitant.

[NI08149] Arrivée en Nouvelle-France en 1647, probablement avec Monsieur De Maisonneuve.

[NI08158] Boutonnier.

[NI08168] dit Lamontagne.

Soldat du régiment De Carignan, compagnie De Berthier.

[NI08176] Soldat du régiment De Carignan.

[NI08177] Marie était une "fille du roi".

[NI08181] dit Jolicoeur.

[NI08191] Maçon.

Au recensement de 1666 la famille habite à Sillery. Elle a deux domestiques; un non- engagé; François Gourdon, 45 ans, et un engagé, Jean Pinsard, 30 ans.

[NI08194] dit Nosse (selon le recensement - peut-être aussi Noce).

Au recensement de 1666 la famille habite Sillery.

[NI08201] Maroist.

[NI08205] Chaufournier.

Au recensement de 1666, la famille habite la côte de Beaupré. Ils ont un domestique engagé; Jean Midiou dit Villeneuve, 27 ans, travaillant au mois.

[NI08206] dite Le Borgne.

Son nom s'écrit aussi Josse, tel qu'il apparaît dans le recensement de 1666.

[NI08211] dit Lecompte et aussi dit Mongrain.

[NI08213] Comte De Roussy.

[NI08258] dit Lacroix.

[NI08261] Bourgeois.

[NI08267] xxx

[NI08272] Maçon et habitant.

[NI08275] BesSonet.

Bigame.

[NI08281] Arrivé avec la Recrue de 1653.

Il était scieur de long et défricheur. Ils s'établirent à la seigneurie Du Tremblay à Boucherville.

Il fut tué par les Iroquois.

Ils ont eu 6 enfants.

[NI08282] Aussi Dodin et Godin.

Tuée par les Iroquois en même temps que son mari.

[NI08283] dit Francoeur.

[NI08286] Sieur De Cadillac.

Fondateur de la ville de Détroit, en 1701, appelée alors Pont Chartrain.


Antoine de Lamothe, Sieur de Cadillac

Born at Toulouse in 1657; died at Castelsarrasin, 16 October, 1730. He
was the son of a parliamentary councillor, and entered the army at the age
of sixteen. Sent to Acadia in 1683 he served in the Port Royal garrison,
studied the conditions of the English colonies, and in 1689 proposed the
conquest of New York and Boston. He took part in the unsuccessful
Caffinière expedition during which the English destroyed an establishment
that he had just begun on Mt. Desert Island, given him in 1688 by
Governor de Denonville, together with an estate at the mouth of the Union
River on the coast of Maine. Despite his adventerous marriage at Quebec
(1687) with Thérèse Guyon, the daughter of a wealthy merchant, he
returned to France in financial straits. The king took him under his
protection, and in 1691 sent him out to Frontenac, Governor of New
France. The latter, meditating an attack on the coast of New England,
used all the information he could obtain from the crafty and resourceful
young officer, who prepared several memoirs for this special purpose.
Under these influential patrons Cadillac advanced, and was successively
made captain of an infantry, naval ensign, and, in 1694, commandant of
Michillimakinac. In this last office he distinguished himself by his skill in
controlling the savages of the West who threatened to unite with the
Iriquois; but he likewise took advantage of his position to carry on illegal
traffic, and quarraled with the Jesuits who endeavoured to prevent his
abuses in the brandy traffic. Returning to Quebec in 1697 he wrote an
interesting account of Michillimakinac, and was sent to France by
Frontenac for the purpose of making known the latter's views. Falling
seriously ill, he promised to erect a chapel in the Franciscan church at
Quebec, which promise he fulfilled in 1699. He then proposed to the
Court to build a fortified post at the head of Lake Erie, thus to secure the
line of fortifications from the West and prevent the Indians of the interior
from trading with the English.

In June, 1701, Cadillac founded the city of Detroit, which he called Pont
Chartrain in honour of his protector. Here he erected a church and a fort,
attracted colonists, parceled out land, gathered the Indians, proposing to
civilize them by having them intermarry with the French, and, in 1705,
obtained a monopoly of the trade of this post, at first given to a special
company. He next aimed at making Detroit "the Paris of New France",
suggested the cutting of a canal between Lakes Erie and Huron, and
asked that the settlement be made a marquisat in his favour. Having
become absolute master of Detroit, with the promise of being appointed
its first governor, his ambition eventually led to his undoing. The merchants
of Montreal complained that he was depriving their city of trade, Governor
Vaudreuil objected to the power that he was arrogating to himself, and the
Jesuits protested against abuses in his transactions with the Indians.
Recalled to France in 1710, Cadillac subsequentially made Governor of
Louisiana, where he arrived in 1712. Entering into partnership with
Crozat, he devoted himself chiefly to mining and to trading with the
Spaniards. However, in 1716 he was deposed, tried, and sentenced to the
Bastille, whence he emerged in 1718, and was restored to favour. In 1722
he obtained a decree whereby he regained possession of his Detroit
property and he was later made Governor of Castelsarrasin, department
of Tarn and Garonne, where he died. His body was interred in the old
Carmels church, since transformed into a prison. Cadillac was shrewd and
far-seeing, and would have been capable of great things had not his career
been blighted by a caustic temperament and an insatiable desire for gain.

Archives coloniales de France, series C., II; Acadie, II, carton 10; Canada, series C.,
II, XI-XXXI, series B., XIX-LXIII; Archives des affaires étrangères, Canada, IV;
MARGE, Découv. et Etablis., V, 133-346; ROCHEMONTEIX, Jésuits et Nouv.
France au 18e siècle, I, 59-74, 242; SULTE, Hist. Can. Franc., VI, viii; RAMEAU,
Notes historiques sur la colonie canadienne du Détroit (1861); VERREAU, Quelques
notes sur Antoine Lamothe de Cadillac in Revue Canadienne (1883); BURTON, A
Sketch of the Life of Antoine de la Mothe Cadillac (Detroit, 1895); IDEM, In the
Footsteps of Cadillac (1899).

J. EDMOND ROY
Transcribed by Ann Johnson & Jessie Reak

[NI08290] dit Després et dit Dumontier.

[NI08291] Sieur De Bellechasse.

Tonnelier.

[NI08300] Sieur De St-Martin.

Enseigne de vaisseau. Capitaine des troupes du Canada.

[NI08303] dit Beauséjour.

Caporal au régiment De Berry, compagnie De Geoffreteau.

[NI08307] Chirurgien major des hôpitaux.

[NI08315] Sieur De Bourg Joli et dit Carignan.

Venu avec la Recrue de 1653.

Au recensement de 1666 la famille habite Trois-Rivières. Elle a un domestique engagé du nom de Pierre Dupré dit le Gascon, 20 ans.

[NI08328] dit Langlois.

[NI08361] dit Ladéroute.

[NI08363] Aussi prénommée Mathilde.

[NI08364] dit Choinière.

[NI08375] dit Sauvé.

[NI08395] Lorsque sa mère mourut, il avait 4 ans et fut donné en adoption à John Pope.

Ils ont demeuré à North Hampton et ensuite à Deerfield, Nouvelle-Angleterre.

[NI08396] Tuée lors du massacre de Deerfield.

[NI08397] Après le décès de son mari, Judith a émigré à Dorchester, Massachusetts, en 1636, où elle est allé rejoindre son frère Israel.

Ma 10ième arrière-grand-mère.

Elle avait trois enfants dont deux de son précédent mariage: John et Mary Denman, nés en 1620 et William Smead, né en 1634.

Ils ont traversé l'océan sur le navire "Winthrop Fleet".

[NI08400] Venu en Nouvelle-Angleterre en 1632.

[NI08401] Mon 10ième arrière-grand-père.

[NI08403] James, un fermier anglais du sud-est de l'Angleterre, et son épouse Alice, tous deux puritains, ont émigré à Dorchester, Massachusetts, en 1630.

[NI08405] Ou prénommé John.

Mon 12ième arrière-grand-père.

[NI08408] Ma 13ième arrière-grand-mère.

[NI08413] Ou prénommé Thomas.

Mon 17ième arrière-grand-père. Ancêtre de la famille Gareau.

[NI08423] Mon 13ième arrière-grand-père.

[NI08425] Le Révérend Thomas Stoughton.

Il est mon 11ième arrière-grand-père.

Il est le 10ième arrière-grand-père de l'acteur Patrick Swayze.
9ième arrière-grand-père du président américain Franklin Delano Roosevelt.
6ième arrière-grand-père du président américain Ulysses S. Grant,
héros de la guerre de succession.

[NI08427] Aussi De Stuckten (Dutch variation).


According to my information, Francis Stoughton b abt 1531 in Ash Ken, d 1557 in Sandwich had only one issue, "Rev." Thomas b abt 1557 and d abt 1622. If this is the same Stoughton family, I would refer you to "The English Ancestry of Thomas Stoughton 1588-1661 and his son Thomas Stoughton 1624-1684 of Windsor CT". I know a copy of this genealogy may be found at the CT Historical Society, Ref. #CHS929.2 S8893t (e-mail copied from a forum)

[NI08437] Epitaphe de Walter:

"Walter de Stocton obit sutus de Maner de Stoughton terri vocal Chamberdaynes landsin stoke die Saubat in Fest Mildred..." "Viry prue Feb. A" 3 Hen V Et 91 S Stogh" "fuitful et haer, at otat viginh annos" Inq. Cap ad Guildford 15 Feb. a:3 Kent".

Ceci est du Olde English et signifie qu'il est décédé à la fête de St-Mildred le 20 février 1416.

[NI08438] On le rapportait vivant en 1371.

Il possédait le Manoir de West Clandon et demeurait à Stocton durant le règne du roi Edward III, qui régna de 1327 à 1377.

[NI08439] Fondateur du St-Michael's Hall, à Cambridge.

Il acheta les Manoirs de Poper Harow et de Effingham aux enrirons de 1315.

On pense qu'il serait né avant 1290 et décédé autour de 1357. La première information du registre de Immediate Lords a été inscrite en 1345 quand Henry s'est installé au Manoir avec sa femme Joan et leurs six enfants (enregistrés car on en compte sept).

[NI08443] Ses dernières volontés sont datées du 2 août 1307 (à une ou deux années d'erreur).

[NI08445] On a écrit aussi Ricardus.

[NI08447] Il était "Verderer" de la Forêt de Windsor. Un "verderer" est un responsable officiel. Il reçu un permis du roi Edward I pour disposer à sa guise de Stockton et pour transformer 160 acres de terrains à Stockton en 1272 ou en 1292 (la date n'était pas inscrite clairement mais 1292 est plus probable).

Ce territoire est considéré comme étant une partie de domaine ancestrale de la famille Stoughton.

[NI08448] Vivait en 1291 environ.

[NI08449] N'était pas nécessairement parente. Elle porte le nom de l'endroit où elle vivait: Stocton.

[NI08450] Vivant en 1261 ou 1276.

[NI08451] Vivant au temps d'Henri III, qui régan de 1216 à 1272.

[NI08453] Baron De Stocton.

Mon 27ième arrière-grand-père.

Réponse reçue, le 19 avril 2000, à un courriel envoyé à Burke Stoughton qui a travaillé sur la lignée de Godwin.

Mario,

Hello, I might be able to help you on this subject. I believe Godwin de
Stocton was probably born in Northern France, in Normandy, circa 1085 or
before. Although a good number of genealogists have stated the Stoughton
name is derived from de Stocton and is of Anglo-Saxon ancestry, I disagree.
Although the Stoughton are definatly descended from the de Stoctons, I do
not feel they were Anglo-Saxon. Also, there were probably two or more people named Godwin.

It is my theory that one of the Godwins helped William conquor England, in 1066 and was a Norman. He or his family was rewarded with a large, profitable and rich estate in county Surrey, England and it was recorded in the Domesday book of 1086. I feel Godwin was a Norman for the following reasons: 1. He was mentioned in the Domesday book, as Godwin de Stocton, which was his first name, his Surname and the surname prefix and the Saxons, of that day, were only listed in this book by their first name since they were "Men of least account" and were conquered people; 2. Godwin was listed as Baron of Stocton and this estate turned out to be about 2400 acres of prime real estate and was very rich. This was a very large estate and estates of this size were usually afforded by only the very well appointed and/or much favored people. The Saxons of the day just were not land owners of such large holdings because William had confiscated all their holdings to pay off the Norman Knights who assisted his invasion of England. 3. This estate stayed in the Stoughton family for about 600 years and no Saxon or Anglo estate ever made that claim and 4. The owners of the estate were appointed to government positions, through the generations and Saxons just were not incorporated into the government in those days.

If this theory holds true than Godwin de Stocton was of Norman ancestry and
the Normans were descended from Rolf and other Viking Seafaring marauders
of the early 7th and 8th centuries.

Keep in mind, there is no documented proof of this conjecture of mine and it is only a theory. It does fly in the face of all the other books that have Godwin listed as an Anglo-Saxon. But, most of those books just wrote what was stated in the early books and they could have just repeated the same mistakes.

Now, the question remains, for me: How are you related to Godwin??? I do
have a list of his descendants, but I'm not sure of the accuracy of this list since many of the dates written are out of sync.

Hope this has helped somewhat.

Burke Stoughton

[NI08495] vip

Cousin et neveu par alliance de Théodore Roosevelt. Démocrate, secrétaire adjoint à la Marine (1913-1920), gouverneur de l'état de New-York (1929-1933), il devint président des Etats-Unis en 1933 et fut réélu en 1936, 1940 et 1944. Il tenta de redresser l'économie des Etats-Unis (New Deal) après la crise de 1929-1932, décida les Etats-Unis à participer à la Seconde Guerre mondiale (1941) et fut l'un des principaux artisans de la victoire alliée.

[NI08507] vip

Général Américain commandant les forces fédérales à la fin de la guerre de Sécession (1864-65).

18ième président des Etats-Unis, du 4 mars 1869 au 3 mars 1877.

Héros de Appomatox.

[NI08509] Révérend Robert Chamberlain.

Pastor of the Parrish of Stroud.

[NI08529] vip

Acteur de cinéma Américain.

[NI08530] dit La Pensée.

[NI08532] dit La (et Le) Pensé(e).

Soldat du régiment De Carignan, compagnie De Lafredière.

[NI08533] Aussi écrit Malleto.

[NI08539] dit Lacaille.

[NI08543] Au recensement de 1666, son nom est inscrit ainsi: Gausselin. La famille habite l'île d'Orléans et a trois domestiques engagés; François Noël, 22 ans, Jean Pacault, 23 ans et Louis Sivadier, 22 ans. Gabriel déclare être habitant.

[NI08544] Au recensement de 1666 son nom est inscrit ainsi: Leliepvre.

[NI08566] Aussi Brouillé et dit Laviolette.

Soldat du régiment De Carignan, compagnie De Monsieur Petit.

[NI08576] dit Charbonnier.

[NI08586] dit Le Sabotier.

Il est venu avec le navire La Recrue en 1653.

Au recensement de 1681, Louis Guertin âgé de 50 ans a encore huit enfants avec lui, possède trois bêtes à corne et trente arpents en valeur. Il est décédé en 1687, laissant des enfants mineurs, dont des fils pour assurer sa descendance.

[NI08587] Fille du roi.

Aussi Cameus.

[NI08595] Aussi Agrin.

[NI08603] dit Languedoc.

Fermier, voyageur dans l'Ouest à plusieurs reprises, dans le Michigan et le Mississipi et trappeur.

[NI08604] dit Beaudet.

[NI08624] dite Bellefontaine.

[NI08630] Cohé.

[NI08636] dit Lavaigne.

[NI08655] Aussi Perrault et Prou.

[NI08660] dite Nantel.

[NI08661] 16 Avril 1729 (Mtl)

Guillet de Chaumont, N.-A. (1727-1752)

Autorisation de Nicolas Reaume, habitant, à Marguerite Berlouin, son épouse, de l'île Jesus, épouse antérieure de Pierre Charbonneau, tant en son nom que comme mère et tutrice de ses enfants mineurs.

Doc #: 17290416PA021890

[NI08683] dit Fort.

[NI08687] dit Le Verrier.

[NI08691] dite De Montigny.

[NI08692] 21 Mars 1740 (Mtl)

Comparet, F. (1736-1755)

Obligation de Pierre Paradis et Louise Papineault de Montigny, son épouse, de l'île Jesus, à Gilles Lecourt, négociant, de Lachenay, ce acceptant tant en son nom que pour Lamarque, marchand bourgeois, de Montreal, et Gamlin, marchand bourgeois, de Montreal, et compagnie.

Doc #: 17400321PA022729

[NI08699] dite Locat.

[NI08701] dit Locat.

[NI08707] dit Locat.

[NI08708] dit Locat.

Soldat du régiment De Carignan, compagnie De Grand-Fontaine.

[NI08716] dit Maillet.

[NI08719] dit Desmoulins.

[NI08725] dite Mayeux.

[NI08726] Soldat du régiment De Carignan, compagnie De St-Ours.

Il était maçon.

[NI08743] dit Locat.

[NI08751] Aussi Amyot et dit Villeneuve.

[NI08756] Outaouaise.

[NI08758] Amérindienne.

[NI08761] Amyot dit L'Erpinière.

[NI08794] dit Brindillière.

Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré. Elle a un domestique engagé, âgé de 30 ans, du nom de Louis Desmoulins (Desmolin dans le registre).

En 1641, Paul Chomedey sieur de Maisonneuve traversait l'Atlantique avec un contingent de 54 personnes (dont 4 femmes) dans le but de fonder Ville-Marie (Montréal). Massé-Joseph Gravel, originaire de Normandie, faisait partie du voyage.

Le 18 mai 1642, Ville-Marie était fondée. Cependant, Massé-Joseph Gravel avait préféré s'établir sur une terre à Château-Richer, sur la côte de Beaupré. Outre la culture de la terre, il faisait également négoce à Québec. Entre autre, il contracta pour la maçonnerie et la charpenterie du château St-Louis et de l'église de Québec.

Selon le recensement de 1667, Massé-Joseph Gravel avait 52 arpents de terre défrichés et 38 bestiaux, ce qui était particulièrement exceptionnel pour l'époque.

Il eut huit enfants; six fils qui se marièrent et deux filles qui se firent religieuses Ursulines à Québec. L'une d'elle fut la fondatrice du monastère des Ursulines des Trois-Rivières.

Le nom de Gravel n'est pas étranger au Moyen-Age. En effet, en 1301, en France, on retrouve un Seguin Gravel, seigneur de terres en la paroisse de Veroz et Oroux. Il était le fils de Jean Gravel.

[NI08795] Marguerite a eu deux couples de jumeaux; Marguerite et Elisabeth, en 1653, et Claude et Joseph, en 1662.

[NI08800] dit Lavallée.

[NI08801] Filleule de François Hertel de Périgny et de Louise de Lavaltrie.

[NI08804] Sur le recensement de 1666 son nom est inscrit ainsi Cloustier. La famille habite la côte de Beaupré. Elle a un domestique engagé; François Garinet, âgé de 22 ans.

[NI08806] ANCÊTRE DE LOUIS FRÉCHETTE.


Pierre Gagnon et Magdeleine Roger de Tourouvre, au Perche, ne viendront
jamais en Amérique. Cependant, trois de leurs fils, Pierre, Jean et Mathurin y
viendront s'établir et donner naissance à la grande famille des Gagnon.


Leur soeur, Marguerite Gagnon et son époux, Eloi Tavernier, furent cependant les premiers à venir en Nouvelle-France à la fin des années 1630.

Peu après, les trois frères Gagnon allaient rejoindre leur soeur et s'établir sur la côte de Beaupré, entre le Château-Richer et Sainte-Anne. S'ils cultivent l'été, on les retrouve cependant l'hiver dans la ville de Québec où ils font du négoce.

Le 14 août 1651, ils obtiennent une concession Place de la Basse-Ville puis, quelques années plus tard, ils font l'acquisition d'un magasin.

Bien que préoccupés par leurs affaires, les frères Gagnon allaient se marier. Jean épousait Marguerite Cochon (19 juillet 1640), Pierre épousait Vincente Devarieux (14 février 1642) et Mathurin se mariait sur le tard à l'âge de 41 ans avec Françoise Boudeau (1647). Les trois frères Gagnon eurent trente-trois enfants.

Robert Gagnon, originaire de la Ventrouse au Perche et cousin des trois autres, vint aussi en Nouvelle-France. Il se maria avec Marie Parenteau à Québec, le 3 octobre 1657. Ils s'établirent à l'île d'Orléans et eurent dix enfants.

C'est ainsi que la famille des Gagnon allait prendre racine et se multiplier en terre d'Amérique.

[NI08814] dite St-Georges.

[NI08829] Au recensement de 1666 la famille habite la côte de Beaupré. Pierre déclare être habitant.

[NI08845] dit Gadbois et dit Valandé.

[NI08855] Soldat du régiment De Carignan, compagnie de Contrecoeur.

Pierre était laboureur et ils ont eu 10 enfants.

Il a été tué au cours du massacre de Lachine par les Iroquois.

[NI08856] Fille du roi.

[NI08857] Au recensement de 1666 Marthe habite aves ses enfants nés Doyon et son nouveau mari Jacques Le Sot, un matelot, sur la côte de Beaupré.

[NI08860] dit Sansoucy.

[NI08867] de Gatineau.

[NI08868] du Lac Simon.

[NI08869] d'Orléans.

[NI08872] dit Laviolette.

[NI08873] dit Lavigueur.

[NI08876] Bourgeois.

[NI08894] Il est venu au pays avec Champlain, en 1633.

Il s'établit à la côte de Beauport, en 1637, le seigneur Giffard lui fit une concession.

Il a eu plusieurs enfants avec Françoise Grenier. Leurs trois fils prirent chacun un nom différent. Jean prit le nom de Boisverdun et s'établit dans l'Ile d'Orléans. Un autre fils prénommé Jean garda le nom de Langlois et après avoir vécu à Beauport, alla demeurer à Cap-Saint-Ignace. Enfin le troisième fils, Noël, s'établit à Beauport et prit le surnom de Traversy.

Dès 1667, Noël Langlois avait soixante arpents de défrichés sur sa terre. Ce qui était énorme à cette époque. Il est décédé le 14 juillet 1684 et inhumé à Beauport le lendemain. On peut lire dans les registres de la paroisse: "Noël Langlois âgé d'environ 80 ans et plus ancien habitant du pays, décédé le jour de devant dans la piété chrétienne après avoir reçu les sacrements de l'Église et mené une vie exemplaire avec l'approbation de toute la paroisse".

[NI08901] dite Picard.

[NI08924] Aussi écrit Berthéome.

[NI08928] Couvreur.

[NI08934] 8 Août 1720 (Qc)

Barbel, J. (1703-1740)

Observation: Acte sans intitulé.

Vente d'une terre située en l'île Jesus; par François Laberge, veuf de Marguerite
Gravelle, de la côte et seigneurie de Beaupré, paroisse du Chateau, tant en son nom que comme tuteur des enfants mineurs issus de son mariage avec ladite Gravelle, et encore comme tuteur de Louise Gravelle et comme porteur du
pouvoir de Pierre Thibault, habitant et Agnès Gravelle, son épouse, de la seigneurie de la Durantay, et de Louis Bolduc, au nom et comme tuteur des enfants mineurs de René Bolduc, veuf de Marie-Anne Gravelle, et encore comme se portant et faisant fort de Jean Gravelle, habitant, de l'île Jesus, gouvernement de Montreal, comme aussi se faisant et portant fort de Dominique Poulin et
Geneviève Gravelle, son épouse, de la côte de Beaupré, paroisse St Joachim, et de Jean Bouché, habitant et Madeleine Gravelle, son épouse, de la côte et seigneurie de Berthier, à François Bellanger, habitant, de la côte de Beaupré, paroisse de Lange Gardien, à ce présent et acceptant acquéreur pour et au nom
de Basile Bellanger (mineur), son fils.

Doc #: 17200808PA000741

[NI08935] 8 Octobre 1737 (Mtl)

Simonnet, F. (1737-1778)

Accord entre François Charles, habitant et Elisabeth Valiquet, son épouse, du bout d'en haut de la grande côte de Boucherville, paroisse Sainte Famille, épouse antérieure de Antoine Dupré dit Rochefort, habitant; et Jean Dupré, des Mil Isles, paroisse Saint Louis, Madeleine Dupré, épouse actuelle de Clément
Lajeunesse, des Mil Isles, paroisse Saint Louis, absent, Angélique Dupré, épouse actuelle de Michel Robin dit Lapointe, habitant, du Tremblay, paroisse Saint Antoine de Pade de Longueil, tous majeurs, Louis Mesnard dit Bellerose, du Tremblay de la paroisse Saint Antoine de Pade de Longueil, Charles Mesnard, de Verchere, Joseph Charles (majeur), Jean-Baptiste Mesnard, de l'île Jesus, François Mesnard dit Bellerose, du Tremblay, paroisse Saint Antoine de Pade de
Longueil, et Catherine Mesnard, épouse actuelle de Jean Letourneau, du Tremblay, tous frères et soeurs, se faisant et portant tous fort pour Marie-Rose Mesnard, épouse actuelle de François Lapierre, de Montreal, absent, tous
majeurs.

Doc #: 17371008PA024198

[NI08936] 8 Mars 1739 (Mtl)

Comparet, F. (1736-1755)

Observation: L'acte a été rédigé le 24 novembre 1738.

Dépôt d'un marché de construction d'une grange et d'une étable entre Pierre Rangér, marchand, de la Riviere des Prairis, et Michel Jabot, de l'île Jesus.

Doc #: 17390308PA022692

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9 Juin 1739 (Mtl)

Comparet, F. (1736-1755)

Obligation de Michel Gabot, de l'île Jesus, à Pierre Rangé, de la Rivier des Prairies.

Doc #: 17390609PA022701

[NI08938] ANCÊTRE D'ALBANI ET DE SIR WILFRID LAURIER.


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17 Mars 1709 (Mtl)

Lepailleur de LaFerté, M. (1701-1732)

Obligation de Paul Bouchard, marchand boucher et Louise Leblanc, son épouse, de la ville de Villemarie, à Louis Lamoureux, de l'île Jesus,.

Doc #: 17090317PA018870

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17 Mars 1709 (Mtl)

Lepailleur de LaFerté, M. (1701-1732)

Obligation de Guillaume Forget dit Despatis et Barbe Beauchamp, son épouse, de Lachesnaye, à Louis Lamoureux, de l'île Jesus.

Doc #: 17090317PA018871

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24 Juin 1710 (Qc)

Lacetière, F. de (1702-1728)

Accord entre Louis Lamoureux et Françoise Boivin, son épouse, de la seigneurie de l'île Jesus, et Jean-Baptiste Lamoureux, François Viger et Françoise Lamoureux, son épouse, Anne Lamoureux, veuve de Nicolas Bachan, leurs enfants.

Doc #: 17100624PA004512

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17 Novembre 1714

Adhémar dit Saint-Martin, J.-B. (1714-1754)

(Mtl) Obligation de André Poutré dit Lavigne, de la Pointe aux Trembles en l'île de Montréal, à Louis Lamoureux et Françoise Boyvin, son épouse, acceptant pour lui.

Doc #: 17141117PA011965

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[NI08967] dit Lafrance.

[NI08970] Chirurgien.

[NI08973] Aussi Dugué.

[NI08980] Mon 10ième arrière-grand-père et le 9ième arrière-grand-père de mon épouse.

Au recensement de 1666 la famille habite l'un de ces endroits; St-Jean, St-Michel ou St-François. Elle a deux domestiques engagés, Jacques Dubois, 23 ans, et François Pelletier, 18 ans.

[NI08986] Le Sel.

[NI09003] Aussi sous le nom de Léger.

[NI09066] Sieur de Sainte-Hélène.

Durant le siège de Québec, c'est apparemment Sainte-Hélène qui abat d'un boulet de canon le pavillon du navire amiral de Phips, le Six Friends. Blessé durant la bataille, Sainte-Hélène meurt peu après la victoire.

[NI09067] Sieur de Maricourt

En 1690, il revient d'une expédition à la baie d'Hudson, à bord d'un navire commandé par le Sieur Bonaventure et appartenant à un riche marchand de Québec, Charles Aubert de la Chesnaye.

[NI09070] Sieur de Bransat.

Commis par Messieurs de la Compagnie des Indes Occidentales à Montréal. Il est aussi Lieutenant-gouverneur à Montréal, procureur-fiscal et juge.

Ils ont deux domestiques engagés en 1666; Barthelémi Vinet, 29 ans, et Jacques Chauvin, maçon, âgé de 20 ans.

[NI09076] dit Beaulieu. Aussi Guay.

[NI09092] Sieur De La Forest.

[NI09093] En 1666 ils ont 5 domestiques engagés; Abraham Binet, 20 ans, François Renoul, 20 ans, Amédé Rollard, tailleur, 20 ans, David Chevalier, 21 ans, menuisier et Nicolas Pero, 22 ans, le célèbre explorateur interprète.

[NI09097] Tué à la chasse.

[NI09103] dit De Bondy.

[NI09104] Sieur De Bondy.

Au recensement de 1666 ils ont deux domestiques engagés; Claude dit le mathelot, âgé de 20 ans et Toussaint Tardet, 20 ans. La famille habite l'île d'Orléans.

[NI09168] Sur le recensement de 1666 il est indiqué: fille (?), donc se peut être Josephte.

[NI09180] Dans le recensement de 1666 son nom est écrit De La Roy et entre parenthèses De La Voye. La famille habite la côte de Beaupré. René déclare être habitant.

[NI09237] dit La Fontaine.

[NI09294] Seigneur De Fargy.

Escuyer.

[NI09298] Jeanne-Françoise Juchereau de La Ferté, soeur hospitalière de l'Hôtel-Dieu, décrit bien l'atmosphère tendue qui régnait parmi les membres du clergé durant le siège de Québec en 1690:

« Le père Frémin [Jacques Frémin était un Jésuite], notre confesseur, ne sortait point de chez nous, il y passait la nuit pour consumer les hosties consacrées, si les Anglais se rendaient maîtres de la place, afin d'empêcher la profanation. Il nous donnait la dernière absolution dès que le péril augmentait, s'efforçait de nous rassurer par des motifs de confiance. »

[NI09299] Procureur au siège Royal.

[NI09306] Sieur De La Tesserye.

Escuyer.

Au recensement de 1666 Cailhaut demeure, à l'île D'Orléans, avec son épouse Eléonore De Grandmaison ainsi que les enfants, de cette dernière, de son premier mariage (De Chavigny) et de son second mariage (Gourdeau).

[NI09356] Au recensement de 1666, il habite avec la famille de sa soeur Françoise, à l'île d'Orléans.

[NI09357] Au recensement de 1666 son nom est inscrit ainsi: Aune Le Maistre.

[NI09358] Au recensement de 1666 son nom est écrit Chotta.

[NI09363] Au recensement de 1666 il habite avec ses enfants, de son premier mariage, et sa seconde épouse, Esther Goidreau, avec sa fille de son premier mariage avec Jean De La Porte, à l'île d'Orléans.

[NI09369] Aussi Gautreau et Goidreau.

[NI09372] Aussi prénommé Jacques.

Sieur De Louvigny.

Gouverneur de Trois-Rivières. Chevalier de Saint-Louis. Aide-major des troupes du Roy.

[NI09409] Escuyer Sieur De Chauffour.

Au recensement de 1666 la famille habite Québec et ils ont deux domestiques engagés; André Parmentier, 25 ans, chandellier, marié en France, et Pierre Lonnac, 22 ans.

[NI09416] Noble.

[NI09419] Escuyer, Sieur De Lotbinière.

Lieutenant général de la Prévoté (de la Sénéchaussé) de Québec.

Au recensement de 1666 la famille habite Québec.

[NI09420] Escuyer.

[NI09426] Sieur De La Tour.

Capitaine des gardes de Monsieur Le Gouverneur Couvret.

Au recensement de 1666 sa famille habite Québec et il déclare être marchand. Ils ont un domestique engagé; Guillaume dit Lallemant, âgé de 24 ans. Leur neveu Charles Montpellier, 14 ans, habite aussi avec la famille.

[NI09435] Sieur De La Barre.

Marchand.

Au recensement de 1666 la famille habite Québec et ils ont 4 domestiques engagés; Gabriel Dumats, 40 ans, maçon, son frère (ou son fils) François, 24 ans, un maçon lui aussi, René Pelletier, un charpentier de 20 ans et Pierre, un autre maçon, âgé de 24 ans.

[NI09444] dit Champagne.

Son nom était écrit Maccard au recensement de 1666 à Québec.

[NI09449] Au recensement de 1666 la famille habite à Québec. Jean demeure avec sa femme et les enfants de cette dernière qu'elle a de son premier mariage. Eux n'en ont pas eu encore. Ils ont un domestique engagé; Jacques Jore, 21 ans, et une servante; Barbe Hallé, 20 ans.

[NI09460] Bourgeois. Marchand.

[NI09469] Dit l'Ecossais. Dans une biographie on mentionne qu'il est né en Ecosse et dans d'autres, en France.

Il est venu en Nouvelle-France en 1614, pour la première fois. Il revint, à bord du vaisseau "Le Sallemade", s'installer à Tadoussac le 16 août 1620, avec sa fille Anne.

Plus tard il s'est installé à Québec avec sa soeur Françoise et son beau-frère Pierre Desportes. (A noter que certains historiens mentionnent le 16 août 1620 également pour ce voyage avec ces personnes).

Il était pilote de la rivière Saint-Laurent. Il est l'ancêtre de notre marine. Il jeta les rudiments de la première carte du fleuve. Il fut appointé Guide Royal par Greffe de Le Coustre le 27 décembre 1647.

Il était propriétaire d'une vaste terre qui porte aujourd'hui son nom; LES PLAINES D'ABRAHAM. Il possédait 32 acres de terre, 12 reçus de la Compagnie de la Nouvelle-France, en 1635 et 20 acres donné en cadeau par le sieur Adrien Du Chesne, chirurgien de vaisseau de Pierre Legardeur de Repentigny, en 1645.
Ces terres furent vendues par la famille Martin aux Ursulines en 1667.

Quand David Kirke s'empara de Québec, en 1629, il nomma son frère Lewis gouverneur de Québec. Celui-ci le demeura jusqu'en 1632. Cependant la famille Martin demeura à Québec. Martin vit sa réputation ternie quand il fut accusé de mauvaise conduite face à une jeune fille de 16 ans, à Québec. Il fut emprisonné pour ses actes le 15 février 1649.

Martin et Marguerite ont eu neuf ou dix enfants.

Abraham a reçu la somme de 600 livres, du testament de Samuel de Champlain. Deux de ses filles ont également été héritières. L'histoire ne nous dit pas quel était le lien avec Samuel de Champlain, car il n'y en avait pas au niveau du sang.

ANCÊTRE DE MGR TANGUAY ET DE RENÉ-EDOUARD CARON

[NI09473] dit La Berge.

Tailleur d'habits.

Au recensement de 1666, la famille habite Québec. Jacques déclare être taillandier (tailleur).

[NI09488] Maître-taillandier.

Au recensement de 1666, la famille habite Québec. Elle a trois domestiques engagés; Mathieu Grégoire, 20 ans, Mathieu Lauvendin, un taillandier de 22 ans, et Mathurin Croiser, âgé de 50 ans.

A noter que le nom est inscrit Soumandre dans le registre.

[NI09499] Jumeau de son frère Noël.

[NI09505] dit De St-Paul et Sieur De Tonnancourt.

[NI09506] Sergent du Rounois, branche de Bourneville, bourgeois de Pont-Audemer, paroisse Saint-Aignan.

[NI09508] Sieur De Vincennes.

Officier d'un détachement de la marine.

[NI09536] dit Laframboise.

[NI09541] Au recensement de 1666, la famille habite à Sillery. Pierre déclare être tisserand en toile. Ils ont avec eux l'enfant de Madeleine, Pierre Joyneau, issu de son premier mariage.

[NI09556] Conseiller au Parlement de Rouen.

[NI09557] Il était fabricant de médailles pour la Cour Royale en France.

[NI09558] Il était le propriétaire du fief de L'Ile Perrot.

[NI09566] dite Desabrais.

[NI09598] Au recensement de 1666 la famille habite Sillery avec les deux enfants de feu Jean Nepveu, le premier époux d'Anne; Barbe et Suzanne.

[NI09627] Au recensement de 1666 la famille habite la région de St-François, St-Jean et St-Michel. Elle a un domestique engagé, Thomas Gondouin, 18 ans.

[NI09651] dit De Brisval.

Charpentier.

Au recensement de 1666 il habite aves son épouse à St-Jean, St-François ou St-Michel. Ils ont la garde d'un petit orphelin nommé Jérosme Dictain, âgé de 6 ans.

[NI09658] dit St-Crespin.

Cordonnier.

Au recensement de 1666 de St-Jean, St-Michel et St-François, ils n'ont pas d'enfants et un domestique engagé, Jean Poirier, 25 ans.

[NI09660] Jeanne est une fille du Roi.

[NI09663] Au recensement de 1666 la famille habite soit St-Jean, St-Michel ou St-François.

[NI09669] dit La Bourbonnière.

[NI09673] Sieur De Gros-Bois. Gouverneur de Trois-Rivières et Seigneur de Boucherville.

Noble.

Au recensement de 1666 la famille a 5 domestiques engagés; Thomas Frérot dit La Chesnaye, 25 ans, Nicolas Néoveaux dit Poictou, 25 ans, Pierre Picard, 20 ans, Pierre Lefebvre, 19 ans, et Jean Deforme, 15 ans.

[NI09674] Son nom est inscrit Gresnier au recensement de 1666.

[NI09675] Marchand.

[NI09676] Au recensement de 1666 elle est veuve et elle demeure seule avec son fils Jean Baptiste, à Trois-Rivières. Son nom est inscrit Esnard.

[NI09677] Seigneur de Boucherville.

[NI09679] Sieur De Grand-Pré.

[NI09680] Sieur De Gros-Bois.

Ignace Boucher de Grosbois, le fils de Pierre Boucher seigneur de Boucherville,
participent également à la défense de Québec.

[NI09697] Tanneur.

[NI09698] Seigneur De Dufort De Linctot.

[NI09702] De Bienville.

Plusieurs fois gouverneur de la Louisiane.

[NI09704] Escuyer et Sieur Du Hérisson.

Lieutenant général de Trois-Rivières.

[NI09705] dite De St-Paul.

[NI09706] Sieur De Montbrun.

[NI09711] dit La Haie.

Au recensement de 1666 la famille habite Trois-Rivièrs. Le frère de Pierre habite avec la famille ainsi que la fille de Catherine issue de son premier mariage avec Guillaume Isabel. Ils ont une domestique engagée du nom de Marthe Des Milliers, âgée de 20 ans.

[NI09715] Sieur De Normanville.

[NI09716] dit De Rocquetaillade.

[NI09717] dit De Linctot.

[NI09719] Au recensement de 1666 la famille habite Trois-Rivières. Ils ont deux domestiques engagés, âgés de 25 ans; Jacques Moron dit Sansoucy et François Fortagé.

[NI09721] Son nom est écrit De Savigny dans le registre du recensement de 1666.

[NI09724] Sieur De Berchereau.

[NI09733] dit Du Hérisson.

[NI09736] dit Lamarche.

Bourgeois taillandier.

Au recensement de 1666 la famille habite Trois-Rivières. Elle a un domestique engagé Pierre Jolly, 50 ans.

[NI09741] dit Des Huttes.

[NI09745] Au recensement de 1666 la famille habite Trois-Rivières. Marie est veuve. Ils ont deux domestiques engagés; Charles et Pierre Deshayes, tous deux âgés de 19 ans.

[NI09748] Huronne.

[NI09785] Jumelle de Marguerite.

[NI09786] Jumelle de Marie.

[NI09807] Tué par les Iroquois.

[NI09811] Au recensement de 1666 la famille habite Trois-Rivières. Françoise a trois enfants de son premier mariage (Jacques Turcot) et de son second (Marie et François Lucas) qui habitent avec eux. Ils ont un domestique engagé du nom de Jean Langlois, 30 ans.

[NI09818] Aussi Babie.

Officier du régiment De Carignan, compagnie De St-Ours.

[NI09836] Me Robert Bissot, avocat.

[NI09838] Avocat et noble.

[NI09843] Avocat.

[NI09853] Son nom s'écrit aussi Poulin.

Mon 10ième arrière-grand-père.

Il arriva à Québec le 1er juin 1636, au pied du Cap Diamant.

Au recensement de 1666 il est indiqué que Claude, tout comme son père, est charpentier. La famille habite alors la côte de Beaupré.

[NI09863] Armurier, maître-forgeur d'arquebuses, arquebusier.

[NI09871] Marchand lardier.

[NI09872] Maître-gourlier.

[NI09874] Marchand gourlier.

[NI09886] Dit Du Maine.

Dans le recensement de 1666 son nom est écrit Miloit.


Il est domestique du Sieur De Repentigny. En 1638, il volait des légumineuses au Sieur pour faire de la soupe aux pois et en manger avec ses amis. Ils chantaient alors: Bon homme, tu n'es pas maître dans ta maison, quand nous y sommes...

ANCÊTRE DU CARDINAL LÉGER, DE FERLAND, historien, ET DE LOUIS FRÉCHETTE, poète.

[NI09893] Sieur De La Poulinière.

[NI09904] dite Isabelle.

[NI09907] dit Robidas.

[NI09919] dit Manseau.

[NI09945] dit Tranchemontagne.

[NI09946] Constancineau.

[NI09949] dit Tranchemontagne.

Mon 8ième arrière-grand-père.

Il serait venu en Nouvelle-France en 1639.

Guillaume aurait reçu du roi Louis XIII, son surnom de Pépin.

Ses fils Jean et Pierre aurait voyagé au Mississipi avec le Sieur Du Luth. Le comté de Pépin et le lac Pépin auraient été nommés en leur nom.

Au recensement de 1666 la famille habite à Trois-Rivières.

[NI09956] Mon 9ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666 la famille habite Trois-Rivières. La belle-mère de Jean, Marie Rivière, âgée de 55 ans, habite avec eux. Ils ont un domestique engagé du nom de François Vannart, âgé de 24 ans.

[NI09958] dit Laciseraye et dit Descôteaux.

Mon 9ième arrière-grand-père.

Au recensement de 1666, la famille habite Trois-Rivières. Elle ce qui semble être trois domestiques car nous ne sommes certain que de l'un d'entre eux, Jean Vinconneau, 36 ans, et les deux autres, Noël Charpentier et Jean Ledue, les deux âgés de 19 ans.

[NI09959] Son nom s'écrit aussi ainsi: Auneau.

[NI09965] Aussi écrit Gaultier, et dit Romain.

[NI09969] Sieur De St-Michel.

Il était co-seigneur de Varennes avec son beau-frère Jacques Le Moyne.

Il acheta de Charles Le Moyne, une terre appelée "La Provencale" de 2 par 15 arpents. Monsieur De Maisonneuve lui en concède dix autres arpents au bout de sa terre. Son emplacement aujourd'hui est au sud, de la rue Saint-Paul, à l'est de la rue McGill et à l'ouest des environs de la rue Saint-Henri.

En 1665 il y avait à Montréal cinq granges pour entreposer les récoltes. Michel possède l'une d'elles. C'est cette année-là qu'il a construit un fortin à Cap Saint-Michel, à Varennes, une pointe de terre s'avançant dans le Saint-Laurent.

En 1672 il vend "La Provencale" à Jean Morel, afin de déménager à Varennes où il est co-seigneur. Il deviendra seigneur de Cap Saint-Michel de Varennes, en 1676.

On ignore la date de sa venue en Nouvelle-France. Toutefois il est mentionné dans un acte du notaire Maugue, à Ville-Marie, en 1650.

Il fut lieutenant et capitaine de milice. Les miliciens de Montréal avaient une réputation de durs guerriers et étaient craints des Iroquois qui affirmaient préférer affrontere deux Français d'ailleurs qu'un gars de Montréal. Il a aussi été commandant de la barque "La Générale".

A l'automne 1664, Michel, qui sert de vigie pendant que les colons ont quitté le fort de Montréal pour défricher la terre, se fait enlever par les Iroquois et fait prisonnier. Pendant ce temps on tire sur le chef des Indiens surnommé La Barrique, ses hommes le croient mort mais il s'en sortira sous les bons soins de Jeanne Mance. C'est le début des pourparlers afin d'échanger les prisonniers. Ceci se fera qu'en juin 1655. Elisabeth Moyen, âgée de 14 ans, est aussi libérée avec d'autres Français. Elle deviendra l'épouse de Lambert Closse.

Michel sera fait à nouveau prisonnier par les Agniers, le jeudi 24 mars 1661, après un dur combat près de Ville-Marie. Ces derniers l'ont échangé aux Onontagués afin qu'il soit brûlé. Mais ce ne sera pas le cas. Il s'enfuira avec d'autres Français lorsque leurs geoliers partent pour un partie de chasse. Il s'enfuit en direction du fort Orange (Albany) chez les Hollandais. Sa fuite dure 9 jours, marchant la nuit et se cachant le jour. Il gagne Manhattan (New York). Ensuite, avec l'aide des Anglais il se dirige vers Boston pour se retrouver plus tard à Québec. Il est de retour à Montréal le 3 novembre 1663.

Il sera fait une troisième fois prisonnier, au printemps 1692, lorsqu'il dirigeait un convoi de canots avec des Indiens Têtes de Boule, qui ne sont pas des guerriers, et porteur d'un message de Frontenac, pour Michillimakinac. Il est accompagné de trente hommes et de trois officiers. Lorsqu'ils rencontrent l'ennemi, les Têtes de Boule s'enfuit les laissant se défendre seuls. Il se retrouve à nouveau chez les Onnontagué avec leur chef Chaudière-Noire. Il sera de retour avant l'automne 1693.

[NI09970] Arrivée à Montréal en 1657 avec sa soeur Jeanne.

[NI09982] Arrière petit cousin de mon fils et de mon épouse.

La destruction du poste de Louis Jolliet et le récit du naufrage du Mary et du sauvetage de son équipage à l'île d'Anticosti

Louis Jolliet, véritable explorateur de l'Amérique du Nord et découvreur du Mississippi, possède à l'époque plusieurs postes de commerce et de pêche, entre autres à l'île d'Anticosti et dans les îles de Mingan, où il séjourne chaque été avec sa famille. L'historien Ernest Gagnon raconte que ces postes sont détruits par la flotte de Phips en route vers Québec. Ironie du sort, au retour de Phips vers Boston, sa flotte est dispersée par le mauvais temps et un de ses navires, le brigantin Mary, fait naufrage sur la pointe ouest de l'île d'Anticosti.

Un autre historien, Alain Grandbois, raconte les événements entourant le naufrage du Mary sur l'île d'Anticosti :

« En se rendant à Québec, les Anglais avaient brûlé ses établissements de Mingan et d'Anticosti. Ils furent cependant les premiers à souffrir de cette vaine violence. Lors de la retraite de la flotte de Phips, un certain capitaine Rainsford fit naufrage sur les côtes de l'île. Son équipage comptait soixante-sept hommes. Ils errèrent longtemps sur les rochers des falaises, coururent les forêts, parvinrent enfin au poste de Jolliet. Tout était en cendres. L'hiver venait, les tempêtes, la neige. Ils élevèrent un abri, luttèrent contre le froid, la faim. Au printemps, quarante hommes avaient succombé. Alors cinq des survivants montèrent à bord d'une mauvaise barque qu'ils avaient construite avec les débris du naufrage et purent enfin, après six semaines d'une épouvantable navigation, rejoindre la côte américaine. Un vaisseau de Boston, chargé de secourir ceux qui étaient demeurés dans l'île y trouva dix-sept hommes rongés par le scorbut et la folie.
La petite vérole avait tué les autres. »

Aujourd'hui, trois toponymes rappellent l'établissement de Jolliet sur l'île d'Anticosti : la baie Jolliet, la pointe aux Anglais et la rivière à l'Huile. Il semble même qu'à l'embouchure de cette rivière on puisse retrouver aujourd'hui encore certains vestiges du poste de traite de Jolliet ...

[NI09983] L'échange de prisonniers anglais et français après le siège de Québec

Il faut d'abord savoir qu'en remontant le fleuve vers Québec, en 1690, la flotte de Phips croise un navire qu'elle capture aussitôt. L'embarcation transporte plusieurs personnes dont la femme de Jolliet, Claire Bissot, et sa belle-mère, «mademoiselle » de Lalande. À bord du Six Friends de Phips, celles-ci assistent au bombardement de Québec. À la fin des hostilités, le 24 octobre, au moment où Phips s'apprête à retourner à Boston, mademoiselle de Lalande lui suggère de procéder à un échange de prisonniers. Elle sert d'intermédiaire entre Phips et Frontenac et permet l'échange d'une quinzaine de Français. Parmi ceux-ci, on retrouve notamment le père Trouvé, qui avait été fait prisonnier à Port-Royal. Parmi les Anglais, il y a surtout des militaires, mais aussi une jeune fille du nom de Sarah Gerish. La courte vie de cette dernière est racontée par Jeanne Françoise Juchereau de La Ferté, dans sa relation du siège de Québec. Entre autres, il est mentionné qu'elle avait été adoptée par madame de Champigny et confiée aux Hospitalières de l'Hôtel-Dieu. Il semble que c'est avec regret que la petite prit le chemin du retour et qu'elle mourut peu après.

[NI09984] Bourgeois.

Au recensement de Québec de 1666 la famille a 4 domestiques et une servante: Léonard Musnier, 45 ans, Jacques Meusnier, 19 ans, Martin Lanfillé, 19 ans, Jean Léger, 24 ans, et Marguerite Lucas, une servante de 23 ans.

[NI09993] Capitaine de milice de Bécancourt.

Grand explorateur et diplomate.

[NI09998] dit Du Buisson.

Il était arpenteur du Roi.

Lors de leur mariage il y eut deux violons pour égayer la noce et cela ne s'était jamais vu encore au Canada.

[NI10000] Aussi Mignaud et Mignaux (dans le recensement de 1666).

dite Châtillon.

[NI10016] Aussi Chefvoye.

[NI10017] Seigneur de Guermorvan et de Guerdénolé, paroisse de Louargat.

[NI10031] Marchand.

[NI10056] Maître saiteur.

[NI10060] Sieur De La Vimaudière.

Chirurgien, marchand.

[NI10061] Sieur De La Vimaudière.

Chirurgien.

[NI10080] De La Chesnaye.

[NI10085] dit Fomblanche.

[NI10086] De Saint-Sauveur.

[NI10087] Son nom s'écrit aussi Quénel.

Dite Fomblanche.

[NI10090] de Saint-Sauveur.

Il fut massacré par les Sans-culottes, au couvent des Carmes, avec les évêques d'Arles, de Beauvais, de Saintes ainsi que 91 prêtres. Jetés en bas d'un perron, ils furent tués à coup de piques, de sabres et de baïonnettes.

Béatifié en 1926.

Il est mon deuxième cousin du septième degré.

[NI10091] Escuyer, sieur De La Boissière.

[NI10092] Chevalier.

Il s'est mit au service des Anglais après la prise de Paris en 1420. Il fut nommé par eux prévot de Paris en 1422. Il resta en fonction jusqu'à la reprise de Paris par Charles VII en avril 1436. Il suivit alors les Anglais en Normandie.

C'est ainsi qu'au début de l'année 1440 il épousa la veuve de Guy Le Bouteillier et devint à son tour seigneur et défenseur de la Roche-Guyon. Capturé à Torcy-le-Grand le 25 février 1449 par des Français de Dieppe, il est décédé en octobre 1452 et fut inhumé à Saint-Honoré de Paris.

[NI10112] Interprète.

[NI10118] Soldat du régiment De Carignan, Compagnie de St-Ours.

[NI10122] Sieur Duchesne.

Il a eu un enfant avec son esclave et servante Marie indienne Panis, le 28 décembre 1708. La petite fille décédera le 2 octobre 1712.

Il fut capitaine de milice de 1721 à 1738, à Varennes. Il a eu trois fois des démêlés avec la justice, pour contrebande, en 1718, mais il sera blanchi. En juillet 1726, avec un dénommé Guyon, pour la traite de fourrure avec les indiens.
En 1736, pour avoir défriché un lieu près des forges du St-Maurice, construit une cabane et mit le feu à celle-ci en mettant en danger les forges.

[NI10138] Il était charpentier.

Il est venu en 1647 avec ses parents et ses soeurs.

Ils ont eu 12 enfants.

[NI10142] Il était un des teamsters tué lors du Bloody Brook Massacre du 18 septembre 1675.

[NI10146] Eliezer est venu s'installer à Deerfield avec les premiers colons. Il était constamment à l'hôtel de ville.

Il était diacre.

[NI10154] Mary et ses deux enfants périrent dans l'incendie de leur maison par les Français et les Indiens.

[NI10156] 2e épouse.

[NI10159] 2e épouse.

[NI10160] Il était un constable, un placier et un modérateur à l'hôtel de ville.

[NI10164] Tuée ainsi que son époux lors du massacre de Deerfield.

[NI10165] Tué ainsi que son épouse lors du massacre de Deerfield.

[NI10168] Tuée lors du massacre de Deerfield.

[NI10171] Colonel.

[NI10174] vip

Mon 6ième petit cousin du 6ième degré.


William Henry Seward

(1801 to 1872)



William Henry Seward was a very important person in Alaska's history. He was the man who arranged for Alaska to be bought from Russia, he had a very exciting life.

William Seward was born in Florida, New York in 1801. He grew up in the United
States and admired may people and presidents, including Abraham Lincoln.

Being Secretary of State, one of Seward's responsibilities was to arrange the
purchase of new territories. He wanted to purchase Alaska and the West Indies. He did not succeed in purchasing the Indies, but with Alaska he did.

In 1866, Tsar Alexander II, instructed his ambassador to go to Washington, Baron
Edourd de Stoeckl, to begin immediate talks with the U.S. Secretary of State. At the time it was W.H. Seward. Tsar would have accepted $5 million for Alaska, but the Russian ambassador, Stoeckl, talked Seward into $7,200,000 for it. The U.S. senate quickly ratified the treaty on April 14, 1867.

Many Russians didn't want to leave Alaska, because that was where they were born and grew up. They felt strange going to a place they had only heard about from their parents.

During the time Alaska was being bought, many people thought buying Alaska from the Russians for 7.2 million dollars was a terrible idea. They called it "Seward's Icebox," "Seward's Folly," and "Icebergia." As far as they were concerned, Alaska was only a big chunk of ice with Eskimos in igloos living on it. Others loved the idea of it. Either way, Alaska was bought on October 18, 1867 which is now known as Seward's Day or Alaska Day. The town of Seward was also named after William Henry Seward.

W.H. Seward did many other important things in his life. He was a lawyer in 1832,
and soon entered politics as a whig. He was a part of the state legislature, and was the governor of New York from 1839 to 1842. He also became U.S. Senator in
1849, and then ran for president. He lost to Abraham Lincoln in 1860. It was for
that, that he admired him. A year later, he became a Republican party leader which was going to last for the next eight years.

In 1865, William Henry Seward was thrown from his carriage, and his arm and jaw were fractured. While he was confined to his couch with these injuries, President Lincoln was assassinated. On that same night of April 14th, a man came into the Chamber of the Secretary and made several knife wounds on his face and neck. Some believe this man was John Wilkes Booth.

After Seward's retirement in March 1869, he visited Alaska. In 1870 he went on a
world tour. He returned to his home in Auburn, New York, where he died on
October 10, 1872.

William Henry Seward was a wonderful man who did a lot for Alaska and many
other places. He was a good sport, was nice to people, and supported equal rights for blacks. If it weren't for William Henry Seward, Alaska probably would still be a territory, and people would have little respect for us. We should all appreciate what he did for Alaska.

[NI10182] vip

5ième petit cousin du 7ième degré de mon épouse.

[NI10183] vip

Mon 6ième petit cousin du 6ième degré.


KING, James Gore, 1791-1853

KING, James Gore, (son of Rufus King and brother of John Alsop King), a Representative from New Jersey; born in New York City May 8, 1791; pursued classical studies in England and France; returned to United States; was graduated from Harvard University in 1810; studied law at the Litchfield Law School; served in the War of 1812 as assistant adjutant general of New York Militia; engaged in mercantile pursuits in New York City in 1815 and in banking in Liverpool, England, in 1818; returned to New York City in 1824 and engaged in banking, with residence in Weehawken, N.J.; president of the Erie Railroad in 1835; elected as a Whig to the Thirty-first Congress (March 4, 1849-March 3,
1851); declined to be a candidate for renomination in 1850; resumed the banking business; died at his country place, “Highwood,” near Weehawken, N.J., October 3, 1853; interment in the churchyard of Grace Church, Jamaica, N.Y

[NI10185] vip

Mon 6ième petit cousin du 6ième degré.


KING, John Alsop, 1788-1867

KING, John Alsop, (son of Rufus King and brother of James Gore King), a Representative from New York; born in New York City January 3, 1788; attended Harrow School, England, and also studied in Paris; returned to New York City; studied law; was admitted to the bar; served in the War of 1812 as lieutenant of
Cavalry; engaged in farming near Jamaica, N.Y.; member of the State assembly 1819-1821; served in the State senate from 1823 until his resignation in 1825; appointed secretary of the legation at London in 1825; Chargé d’Affaires June 15 to August 5, 1826; again elected to the State assembly in 1832, 1838, and 1840;
delegate to the Whig National Convention in 1839 and 1852; elected as a Whig to the Thirty-first Congress (March 4, 1849-March 3, 1851); resumed the practice of law; Governor of New York in 1857 and 1858; delegate to the Republican National
Convention in 1856; member of the peace convention of 1861 held in Washington, D.C., in an effort to devise means to prevent the independing war; died in Jamaica, Long Island, N.Y., July 7, 1867; interment in Grace Church Cemetery.

[NI10197] vip

Mon 6ième petit cousin du 4ième degré.

Producteur de cinéma américain.


Biography for Howard Hawks

Height 6' 1"

Mini biography

Howard Hawks debuted as director in 1926 after having worked as plane pilot and as car-racing driver. After his first eight silent movies he became a principal base of cinema in Hollywood. Being his own producer he had success in all types of genre but mainly with comedies and westerns. His most important films were Scarface (1932), Sergeant York (1941), To Have and Have Not (1944) and Big Sleep, The (1946).

[NI10198] vip

Mon 6ième arrière petit cousin du 4ième degré.

Mort dans un accident d'avion.

[NI10200] Actrice de cinéma américain.

[NI10201] vip

Actrice de cinéma américain.

Elle fut la vedette féminine de The Maltese Falcon auprès de Humphrey Bogart, en 1941.

Elle gagna l'Oscar de la catégorie: Best supporting actress, en 1942, pour son rôle dans le film "The Great Lie", tourné en 1941.

[NI10202] vip

Actrice vedette du cinéma muet américain. Elle a tourné dans plus de 120 films.

Elle a reçu l'Oscar de la meilleure actrice, en 1929, pour son rôle dans "The Broadway Melody".

[NI10219] vip

Mon 8ième arrière petit cousin du 4ième degré.

Assassin du président américain James Abram Garfield, le 2 juillet 1881.

Un individu violent, controversé, instable et probablement mentallement dérangé.

[NI10235] vip


Homme politique tchécoslovaque. Il fut le premier président de la République tchécoslovaque, en 1918.

[NI10244] vip

Mon 10ième arrière petit cousin du second degré.

Directeur intérimaire de la C.I.A. du 9 au 26 février 1953 et directeur du 26 février 1953 au 29 novembre 1961.

[NI10245] vip

Mon 10ième arrière petit cousin du second degré.


DULLES, John Foster, 1888-1959


Years of Service: 1949-1949
Party: Republican

DULLES, John Foster, a Senator from New York; born in Washington, D.C., February 25, 1888; attended the public schools of Watertown, N.Y.; was graduated from Princeton University in 1908; attended the Sorbonne, Paris, in 1908 and 1909; graduated from the law school of George Washington University,
Washington, D.C., in 1911; was admitted to the bar and commenced the practice of law in New York, N.Y., in 1911; special agent for Department of State in Central America in 1917; during the First World War served as a captain and a major in the United States Army Intelligence Service 1917-1918; assistant to chairman, War Trade Board 1918; counsel to American Commission to Negotiate Peace 1918-1919; member of Reparations Commission and Supreme Economic Council 1919; legal adviser, Polish Plan of Financial Stabilization 1927; American
representative, Berlin Debt Conferences 1933; member, United States delegation, San Francisco Conference on World Organization 1945; adviser to Secretary of State at Council of Foreign Ministers in London 1945, Moscow and London 1947,
and Paris 1949; representative to the General Assembly of the United Nations 1946-1949 and chairman of the United States delegation in Paris 1948; trustee of Rockefeller Foundation; chairman of the board, Carnegie Endowment for International Peace; member of the New York State Banking Board 1946-1949; appointed as a Republican to the United States Senate to fill the vacancy caused by the resignation of Robert F. Wagner and served from July 7, 1949, to November 8, 1949, when a duly elected successor qualified; unsuccessful candidate for election to the vacancy; United States representative to the Fifth
General Assembly of the United Nations 1950; consultant to the Secretary of State 1951-1952; appointed Secretary of State by President Dwight D. Eisenhower 1953-1959; died in Washington, D.C., May 24, 1959; interment in Arlington National Cemetery, Fort Myer, Va.

[NI10256] vip

Mon 7ième arrière petit cousin du cinquième degré.

Créateur du Postum, des Grape-Nuts et des céréales Post.

[NI10258] vip

Héritière de la fortune du fondateur des céréales Post, elle fonda, avec son mari
Hutton l'empire de General Foods.

[NI10259] vip

Second mari de Marjorie.

[NI10272] Lieutenant-Gouverneur de la colonie du Massachusetts.

[NI10296] Peut-être John.

[NI10298] Etait vivant en 1291.

[NI10299] Peut-être John.

[NI10301] Probablement Lucia.

[NI10311] Ricardus.

[NI10314] William?

[NF0012] On note aussi le 27 octobre 1894 comme date de mariage dans un registre.

[NF0023] Ce fut le premier mariage célébré en cette église.

[NF0144] Le contrat de mariage devant le notaire T. Vuatier a été rédigé le 16 octobre 1752.

[NF0147] Contrat de mariage devant le notaire T. Vuatier, rédigé le 3 novembre 1757.

[NF0172] Devant le notaire T. Vuatier.

[NF0174] Devant le notaire T. Vuatier.

[NF0189] Contrat devant le notaire Guillaume Audouart.

[NF0363] Rose était mineure.

Etaient présents au mariage le frère d'Antoine, Joseph et son beau-frère Jean-Baptiste Malboeuf.

[NF0366] Le contrat fut signé le 23 avril 1747.

[NF0414] Contrat passé devant le notaire Pierre Duquet.

[NF0432] Contrat passé devant le notaire Becquet le 24 août 1670.

[NF0441] Les témoins lors du mariage: le prêtre Paul Ragueneau, Barthelemi Anarahoui, Charles Pachirini, deux Amérindiens, et son père et Ameau St-Severn.

[NF0506] L'acte de mariage fut enregistré dans les archives du notaire-aventurier Lambert Closse. Il fut signé le 18 juin 1655.

[NF0539] Le contrat de mariage fut signé le 15 septembre 1661 à Aubert.

[NF0580] Le père de Lucille Denise, Daniel, était décédé en 1948, le jour de son mariage.

[NF0595] Contrat du notaire G. Rageot, le 30 septembre 1667.

[NF0887] Contrat du notaire Genaple.

[NF0932] Coulonges-les-Royaux est aujourd'hui Coulonges-sur-L'Autize.

[NF1186] Marie a 12 ans et 5 mois au moment de son mariage le 8 février 1672.

[NF1193] 15 avril selon Drouin.

[NF1229] 4 Novembre 1741 (Mtl)

Coron, C.-F. (1734-1767)

Contrat de mariage entre Jean Labelle, fils de Jacques Labelle et de feue Marianne Lecler, de l'île Jesus; et Marie Dazé, fille de Charles Dazé,
premier capitaine de milice et de Jeanne Chartran, de l'île Jesus.

[NF1611] Contrat le 6 janvier 1669 devant le notaire Basset.

[NF1760] Ils ont signés leur contrat de mariage le 21 septembre 1669, devant le notaire royal Becquet.

[NF2094] Le contrat notarié fut signé le 20 août 1662. Les deux frères François et Michel ont marié les deux soeurs Marsolet la même journée.

[NF2256] A la signature du contrat de mariage, nous remarquons la présence du seigneur Pierre Boucher, son épouse Jeanne Crevier, son fils Pierre Boucher, sa fille Marguerite Boucher, René Rémy et Marie Léonard, son épouse, Jean de Lafon sieur de Lafontaine, capitaine du bourg, Denis Véronneau et Marguerite Bertault son épouse, Pierre Sauchet, Joseph Huet, Robert Henry, Jean Bellet, Pierre Chaperon, Léger Baron, Pierre Boissier et Louis Robert.

[NF2366] La date inscrite au registre est le 29 février et non le 28 mais le système informatique n'accepte pas le 29.

[NF3868] 1ER MARIAGE FRANÇAIS CÉLÉBRÉ À MONTRÉAL, QUÉBEC, CANADA.

[NF4514] Le mariage eu lieu à Boucherville car à cette époque il n'existait pas de paroisse à Varennes.


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